•            Je vous ai montré les îles d'Houat er d'Hoëdic au large de Carnac.Je ne peux que vous montrer aussi Belle Isle et Groix, au large de Quiberon et de Lorient.

                Embarquons d'abord pour Belle Isle, rendue célèbre par la chanson de Voulzy.

    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)

                A Houat et Hoedic, les voitures sont interdites. Les bateaux ne transportaient donc que des passagers. Si les vedettes qui partent de la Trinité sur mer pour Belle Isle sont aussi des bateaux moyens pour piétons ou vélos, par contre au départ de Quiberon, ce sont de vrais ferries, qui transportent aussi des voitures. Belle Isle est en effet une grande île où l'on se déplace beaucoup , dans sa voiture personnelle pour ceux qui vont y séjourner un mois ou deux, et en voiture de location pour les touristes en simple visite.

                C'est la troisième plus grande île des côtes de la France métropolitaine après la Corse et Oléron :  elle a une surface de 85 km2, soit environ 15 km de long sur 6 de large.
    Ses côtes représentent 80 km. 5 350 personnes y habitent en permanence, mais la population atteignait plus de 10 000 à la fin du 19ème siècle. L'été par contre fait monter le nombre de résidants à plus de 25 000, et plus de 1000 personnes viennent en bateau pour la journée chaque jour.
               Les bateaux sont des ferries assez importants et ils mettent 40 minutes à faire les 13 km qui séparent Quiberon du port du Palais, principale ville de Belle Isle en Mer.

    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)

                On arrive sur le Port du Palais qui, il y a 40 ans, lorsque j'y allais en voilier, était alors le seul port. C'est maintenant un avant-port, qui reste en permanence en eau, où abordent les ferries, mais où il est très difficile d'avoir une des 70 place l'été, vu l'affluence.

    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)


                Quand on entre dans le port, on voit l'imposante citadelle de Vauban, dont reparlerai demain.
    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)

                Un second port a été aménagé. D'abord un chenal qui constitue un arrière port d'échouage, où l'on peut s'amarrer, à condition de mettre des supports sur les coté du bateau pour qu'il ne se couche pas à marée basse.
               Puis après avoir passé une écluse, le bassin à flot, avec une partie pour des bateaux de pêche ou de commerce et une partie pour les plaisanciers, avec une centaine de places.
    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)

     

     

     

     

     

     

     

     

    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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                Enfin à l'arrière, le bassin de la saline avec des mouillage sur bouées et des chantiers navals.
               L'inconvénient est que l'écluse n'est ouverte que 3 heures dans la journée à marée haute.

    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1) 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

                 Autour de l'avant port comm su bassin à flots, on trouve de nombreuses boutiques et restaurants. On peut en particulier louer voitures ou vélos. Les maisons d'habitations sont diverses et souvent colorées.

    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    Belle Isle en mer, Marie Galante....(1)

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  • Le droit à l'eau dans le monde.

                   Les médias parlent de plus en plus d’un problème, qui évidemment concerne peu la France, mais est important dans le monde.
                   C’est le problème du droit à l’eau potable pour tout humain.
                  En France évidemment le problème paraît évident : c’est que chacun ait l’eau courante à domicile à un prix qui ne soit pas prohibitif et que la qualité de cette eau soit satisfaisante, pour qu’on puisse la boire. Cela c'est le droit à l'eau, mais nous avons en conséquence un devoir, celui d'économiser cette a-eau et de ne pa l'utiliser de façon peu utile.

                   Contrairement à ce que vous pourriez croire, avoir l’eau courante n’est pas si vieux que cela.
                  Je me rappelle quand j’allais en vacances chez un de mes grands pères, en Dordogne il y a 80 ans,  bien qu’il y ait quand même déjà l’électricité, il n’y avait pas l’eau courante et les WC étaient au fond du jardin dans une petite cabane, juste au dessus de la fosse septique.

                   C’était particulièrement pratique la nuit dans le noir, ou lorsqu’il pleuvait et qu’il fallait prendre un grand parapluie pour y aller !! En plus on avait toujours peur qu’il y ait des araignées ou des rats dans la cabane qui servait de WC., et qu’ils viennent nous gratter les fesses !!
                   On  tirait l’eau d’un puits à coté de la maison, dans le jardin, à la main en tournant une grande roue qui actionnait une grosse chaîne d’acier avec des godets, qui plongeaient dans la nappe souterraine et remontaient l’eau. En haut de la chaîne les godets pleins d’eau suivaient la chaîne sur la roue, devenaient horizontaux, puis la tête en bas et l’eau se déversait dans une espèce de cuvette allongée en fonte émaillée munie d’une sorte de bec sous lequel on mettait des brocs qu’on remplissait ainsi. Quatre ou cinq fois par jour il y avait la corvée d’eau : deux brocs de 12 litres, et c’était lourd à porter, même s’il n’y avait que 30 mètres à faire.
                  Dans les chambres on avait pour se laver de très belles et grandes cuvettes en faïence de Gien ou de Delft, superbes et qui dataient du 18 ou 19ème siècle, avec un grand pot à eau, cela sur des tables spéciales carrelées? C’était très beau mais pas très commode, mais on arrivait quand même à se laver la figure et les cheveux et un peu le corps avec un gant de toilette.
                Il y avait aussi une douche dans une petite pièce, bricolage de grand-père digne du concours Lépine : une cuve en acier de 25 litres juchée à deux mètres de haut sur des cornières d’acier soudées. Il fallait monter par une petite échelle, l’eau chaude et froide dans des brocs et la verser dans la cuve. Du bas de la cuve sortait un tuyau d’acier muni d’un robinet, sur lequel était enfilé un tuyau d’acier muni d’une pomme de douche.
                Il y avait aussi un évier dans la cuisine, mais pour se laver les mains on versait l’eau dans d’un broc dans une casserole munie d’un long tuyau très fin en cuivre de 30 cm de long et l’eau coulait doucement à son extrémité sur nos mains.
     
             Il n’y avait pas de cuisinière au bois, au charbon ou au gaz. Juste un minuscule réchaud électrique à une plaque, qui ne servait que très rarement et toute la cuisine se faisait dans l’énorme cheminée de la grande salle commune. Des tas de chaînes pendaient dans l’âtre pour accrocher des marmites de fonte et de cuivre, et des trépieds d’acier permettaient de mettre les casseroles plus ou moins près du feu. Des grils aussi pour la viande et un énorme tournebroche avec un mécanisme d’horlogerie que l’on remontait et de gros engrenages d’acier qui faisaient tourner la broche sur laquelle on mettait rôtis, lapins gigots et volailles. Cela avait un bien meilleur goût que cuit au four domestique d’aujourd’hui ! Ce tourne-broche datait parait il de Louis XVI et se transmettait de père en fils.
     
                  Mais dans les pays émergeants, ce n’est même pas comme en ce temps là en France et il faut se poser bien des questions pour définir le droit d’accès à l’eau.            Les pays membres des Nations Unies, ont reconnu en 2010, un doit d ‘accès à l’eau, mais les critères ne sont pas évidents, qui permettraient d’établir un niveau minimal, d'exigences et de mieux orienter les efforts d'amélioration.
                Vaut-il mieux avoir de t'eau courante en permanence à domicile, mais polluée, ou de ['eau saine à une borne-fontaine à 1 000 mètres de son logement ? Lorsqu'on a accès à un réseau d'eau qui ne coule que pendant très peu d’heures par jour, vaut-il mieux investir dans un réservoir de stockage où ['eau risque de croupir, ou recourir à des systèmes d'approvisionnement fournissant une eau de moins bonne qualité ? Vaut-il mieux aller chercher soi-même son eau au puits ou à une borne-fontaine, malgré les problèmes que cela pose, ou acheter des bidons d'origine inconnue à un vendeur ambulant ? Et j’en oublie sûrement.
                Au niveau des experts, il faudrait assurer l'accès à une eau qui satisfasse un test simple de non-contamination biologique, qui nécessite moins de trente minutes pour l'apporter à l’habitation et qui soit disponible au moins douze jours par quinzaine. Ces trois critères ne sont pas suffisants pour satisfaire les conditions de potabilité et d'accessibilité du droit à l’eau de l'homme, mais c’est un premier pas.
                 Les besoins d'amélioration de l'accès à ['eau potable dans te monde sont souvent sous-estimés. Le seul indicateur statistique disponible au niveau mondial ne concerne qu'un accès à la salubrité de l'eau et mesure environ le nombre des personnes qui prennent leur eau au même endroit que des animaux , en rivière ou puits.
                   En 2019, 785 millions de personnes ne disposent même pas d’un service de base d’alimentation en eau potable et 144 millions d’entre elles doivent utiliser des eaux de surface.
                La réalité est bien plus grave : Selon l’UNICEF et l'OMS, une personne sur trois n'a pas accès à de l'eau salubre. Aujourd’hui près de 2,2 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau. Ce qui veut dire qu’elles n’ont soit pas accès chez elles, qu’elles ont accès à un puit qui se trouve plus ou moins loin de chez elle ou qu’elles ont des sources d’eau qu’elles consomment sans savoir si l’eau est traitée ou non. 
                Environ 3,6 milliards, soit la moitié de l'humanité, vivent dans des zones où l’eau est une ressource potentiellement rare au moins un mois par an et utilisent de l'eau reconnue comme non potable ou, au moins de temps à autre. une eau de qualité très incertaine.
     
                 Les différences d'accès à ['eau créent une véritable fracture sociale, ceux d'un côté, qui ont de ['eau saine en permanence à domicile, et ne perçoivent pas vraiment la valeur de l'eau potable ni la chance dont ils bénéficient. De l'autre côté, il. y a tous ceux qui ont un accès à ['eau plus difficile, plus risqué ou plus coûteux, soit environ la moitié de [a population mondiale et pour eux, l'eau potable a une valeur évidente, car ils n'y ont pas accès, ou difficilement.
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  • Tous les animaux dorment ils ?Tous les animaux dorment ils ?



     

     

     

     

     

             J’ai lu un article d’Irène Tobler-Borbély sur le sommeil des animaux, et peut être cela vous intéresse t’il que je le résume.
               Ce n’est pas facile de savoir si un être vivant est endormi, grâce à des signes extérieurs.            Un bébé humain dort parfois les yeux ouverts ; les poissons et les insectes n’ont pas de paupières.            Les chevaux, les ânes, les girafes dorment souvent debout.
                Le sommeil s’accompagne d’un relâchement musculaire, mais c’est un paramètre fluctuant et pas forcément évident à la simple vue (comment interpréter chez un poisson les mouvements de nageoires ?).
              On peut mesurer des activités cérébrales, mais cela nécessite un appareillage sophistiqué qui perturbe éventuellement le dormeur. C’est relativement aisé à faire chez un mammifère, mais beaucoup moins pour d’autres animaux.
                On observe aussi les mouvements oculaires, mais c’est aussi une opération délicate et les fluctuations sont importantes.
                Le signe le plus facile à observer est l’immobilité, malgré des stimuli tels une lampe de poche orientée sur l’animal. Si l’animal est au repos, non endormi ; le stimulus le fait bouger.

                 Je ne reviendrai pas sur l’analyse du sommeil humain que j’ai déjà faite lors d’articles dans la catégorie « éveil, sommeil, rêves ». 
               Je rappellerai seulement que deux grandes phases se succèdent à plusieurs reprises : le « sommeil profond » pendant lequel le rythme des ondes cérébrales n’est que de quelques Hertz, et le « sommeil paradoxal » (on l’appelle aussi REM : rapid eyes mouvements, car il est accompagné de mouvements des yeux), phases de REM pendant lesquelles le cerveau élimine tout ce qui lui paraît superflu dans la mémoire, ce qui donne nos rêves pendant des phases de micro-réveils. Durant le sommeil paradoxal, la fréquence des signaux cérébraux est voisine de 40 Hz, et donc de celle d’une personne éveillée. Mais l’activité musculaire est nulle, excepté les yeux et l’extrémité des doigts.             

                 La plupart des mammifères et des oiseux ont un sommeil analogue, succession de sommeil profond et de sommeil paradoxal. Seuls les dauphins parmi les mammifères n’ont pas de sommeil paradoxal. On ne sait pas pourquoi ni comment ils s’en passent. Mais en outre les dauphins en sommeil profond ont un hémisphère cérébral, qui reste éveillé à tour de rôle, sans doute pour garder l’évent respiratoire hors de l’eau.
                Chez les oiseaux le sommeil paradoxal est très court, environ une minute par cycle (20 minutes environ chez les humains). Les oiseaux migrateurs peuvent planer en l’air alors qu’ils sont en sommeil profond. Le sommeil varie beaucoup selon les espèces, les saisons , l’environnement.            On a trouvé aussi des différences de type de sommeil chez les reptiles,mais cela a été peu étudié chez les poissons (je vois mal un plongeur sous-marin faire passer un électroencéphalogramme à une sardine !!).
            Le sommeil a aussi été identifié chez les invertébrés, écrevisses, cafards, scorpions, mouches…            Des études ont été faites chez la drosophile, et ont montré qu’elle était sensible à des substances hypnotiques (par exemple utilisées lors des anesthésie).

                Il semble donc que la plupart des animaux dorment, mais on n’a étudié que 240 espèces, sur plus de 7 millions. Alors prudence !

              Ce serait intéressant de trouver des animaux qui ne dorment pas, pour mieux comprendre les rôles du sommeil.

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  • Les bébés et la grammaire.

              Vous savez que je m’intéresse au fonctionnement du cerveau humain et tout particulièrement au fait que, tous les cerveaux ayant à la naissance (sauf malformation), des potentiels très importants, leur développement chez l’enfant dépend beaucoup de l’environnement, de l’éducation des parents et de l’instruction, par la suite, par les personnes responsables.

              Une question m’a toujours intrigué : on n’apprend formellement la grammaire aus enfants qu’à l’école, après six ans, quand ils savent lire et écrire. Avant les parents ou les personnes qui en ont la garde, leur font quelques remarques quand ils parlent et emploient un mot de façon incorrecte.
              Or je me souviens que certains de mes enfants ou petits enfants qui ont parlé tôt et s’exprimaient couramment à 2 ans, certes faisaient quelques fautes de français, mais finalement utilisaient correctement articles, sujets, pronoms, adjectifs, verbes et compléments. Or on ne leur avait pas appris ce qu’étaient ces fonctions et donc ils ne le faisaient que par mimétisme, en nous entendant parler. Pourtant nos phrases ne sont pas répétitives et sont très diverses. Alors comment faisaient ils pour reconnaître ces mots, leur place et leur fonction dans la phrase.
                Bien plus j’avais, parmi mes collaborateurs au travail, un couple franco-allemand, et leur fils qui avait 3 ans parlait couramment les deux langues. Or l’ordre dans une phrase des mots selon leur fonction n’est pas le même qu’en français. Pourtant il faisait très peu d’erreurs (moins que les miennes en allemand). Comment avait il appris cette syntaxe différente dans les deux langues, sans aucune explication, et par pur mimétisme, mais qu’il appliquait aux phrases qu’il créait et non uniquement celles qu’il répétait. ?

              J'ai lu une explication dans une étude du CNRS, publiée dans la revue Current Biology, pratiquée sur des bébés francophones de 8 mois, qui ont d'abord inventé une mini langue, contenant des mots inventés et des mots voisins de la langue.
               Les bébés manifestaient plus d'intérêt et d'attention aux mots qui ressemblaient au français.

              Ces chercheurs ont montré ensuite que, dès sept mois, les bébés bilingues se fondent sur la prosodie des phrases pour distinguer l'ordre des mots et reconnaître la langue parlée.
                La prosodie est l'inflexion, le ton, la tonalité, l'intonation, l'accent, la modulation, le rythme, notamment les variations de hauteur, de durée et d'intensité, que nous donnons à notre langage oral en fonction de nos émotions et de l'impact que nous désirons avoir sur nos interlo-cuteurs et qui mettent notamment en relief non seulement le sens de la phrase, mais aussi l'assertion, l'interrogation, l'injonction, l'exclamation …. 
               Par exemple on ne peut en français faire se suivre deux syllabes accentuées, et si un nom est par exemple suivi d’un adjectif, son accentuation ne sera pas en général la même que s’il est employé seul.
                Le rythme comporte des pauses qui renseignent sur les coupures de sens en rassemblant certains mots dans la phrase.
                La structuration mélodique, la hauteur des sons, notamment sur les dernières syllabes, change en fonction du caractère assertion, interrogation, injonction, exclamation … 
               Les bébés distinguent vite ces nuances et s'en servent pour commencer à structurer leurs phrases. Ils associent ainsi inconsciemment la prosodie à une structure grammaticale.            

               Chaque fois que je lis des explications analogues sur le fonctionnement du cerveau, et sa mise en valeur au début de notre vie, je ne peux que m’émerveiller devant la Nature et les aptitudes potentielles que l’évolution nous a conférées.             
               Mais je m’effraie un peu de la responsabilité des parents et des éducateurs dans le devenir des enfants dont ils ont la charge et pour lesquels les trois, puis dix premières années de leur vie d’enfant sont capitales pour leurs avenir, encore plus que les suivantes.

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  • Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon            Lorsque l'on se promène dans l'île d'Houat, on voit partout le nom de SaintGildas. Cela mérite quelques explications 

             Saint Gildas est un moine anglais né vers l'an 500. Il s'installa en Bretagne. Vers le milieu de sa vie, il est venu en Bretagne où il s'est installé dans l'île d'Houat. Puis il a fondé l'abbaye de la presqu'île de Ruys, qui existe toujours. dans la petite ville du golfe du Morbihan de Saint Gildas de Ruys, mais qui n'a plus l'importance qu'elle avait au VIème siècle. Aujourd'hui, son centre d'accueil  est ouvert toute l'année pour accueillir des séjours individuels, des groupes, des formations, des retraites spirituelles, jusqu'à 140 personnes..

             Il est mort en 1556 sur l'île d'Houat. Ses disciples anglais ont voulu ramener son corps en Cornouailles, mais le bateau fit naufrage et on retrouva son épave su les côtes bretonnes, avec le corps intect de saint Gildas à l'intérieur. Il est inhumé dans l'église de l'abbatiale de Saint Gidas de Ruys.

            Le village et le port d'Houat portent le nom de Saint Gildas.
            Il ne possède pas de curiosité particulière et c'est plutôt l'endroit où déjeuner ou prendre un verre.

                Il y a peu de site exceptionnel. L'intérêt de Houat, c'set le caractère sauvage de la végétation, sa tranquillité en l'absence de véhicules autres que les vélos, et ses plages de sable blanc. 

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

    L'église saint Gildas du village :
               
    Comme toutes les petites églises de Bretagne, c'est surtout l'intérieur qui est intéressant, avec son décor en bois et le bateau que l'on y trouve toujours, accroché eau plafond.
    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

               Il y a également plusieurs chapelles sur l'île :
    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    Dolmens et menhirs : 

                On trouve plusieurs vestiges mais rien de comparable aux menhirs et dolmens autour de Carnac.

    Les forts :
              Le fort à la pointe ouest de l'ile n'est pas très intéressant et difficile d'accès.
              Le fort dental, proche du village, est plus intéressant. Assaez dégradé y a quelques années, il a été rénové en 2018, et sert actuellement de chambres d'hôtes.

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     



    L'éclosarium : 
              C'est un musée qui d'une part décrit l'histoire passée de l'île d'Houat et d'autre part permet de découvrir al vie microscopique marine. J'ai trouvé la visite intéressante même pour des enfants. 

    La fontaine Saint Gildas :
             
    Elle ressemble à beaucoup de petites fontaines bretonnes.
    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les plages :
             Il existe plusieurs petites pages, mais les deux principales sont la très grande plage du Gouret à l'est et la plage moyenne du Salus au sud.
    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon


            La grande plage est très occupée l'été et il y a de nombreux bateau qui viennent s'y ancrer pour la journée. Il y a trente ans, nous étions deux bateaux avec les mouettes très hardies qui venaient quémander de la nourriture. Il y a dix ans nous avons compté sur la plage plus de 120 voiliers

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon

            La plage du Salut est plus agréable, et moins surchargée en juillet, mais je ne sais pas comment cela a évolué depuis six ans. 

    Promenade dans l'île d'Houat et retour à Quiberon 

              

                

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