• Suite et fin de mes articles sur l'île d'Hoedic.

      L'île d'Hoëdic est très rocailleuse, peu de terre et beaucoup de sable. Beaucoup de vent et des embruns salés. C'est donc peu favorable à la végétation et il y a peu d'arbres et de buissons.
        Par contre on trouve beaucoup de plantes de bords de mer, peu exigeantes en eau et en terre arable et finalement on voit par terre, au milieu du sable, de jolies fleurs..

          Je ne vous dirai le nom que de certaines, et il va falloir qu'un jour je regarde un livre de botanique. J'ai pris ces photos, il y a quelques années en juillet.

              D'abord quelques jardins fleuris :

    Les fleurs de l'île d'Hoedic.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les fleurs de l'île d'Hoedic.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les fleurs de l'île d'Hoedic.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les fleurs de l'île d'Hoedic.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les fleurs de l'île d'Hoedic.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

           Puis, la nature sauvage : un rocher garni de lichen : on dirait un tapis de fleurs oranges.
           Et tout autour des fleurs d'anis sauvage qui embaument l'air.


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          Puis un petit oeillet rose mauve, au mileu d'autres fleurs jaunes; il y en a peu à cette époque, mais en juin on en voit partout dans la lande : des blancs et des roses mauves  ou des rouges.

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           Des chardons bleu-pâle qui tapissent le sable dans certaines parties de l'ïle.

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    Les fleurs de l'île d'Hoedic.  

        Des lys de sable qui étalent leur blancheur élégante

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         Les autres fleurs , je n'en connais pas le nom, alors je vous les livre en vrac. !

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  • Suite de mes articles sur l'île d'Hoedic.

           L’église d’Hoëdic est toute petite, une grande chapelle qui peut recevoir tout au plus une centaine de fidèles, mais croyant ou pas, on s’y trouve bien, dans un lieu paisible et attachant.
          En arrivant et en levant les yeux on aperçoit ses deux petites cloches qui appellent les fidèles aux offices.

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        Dans toutes les églises de Bretagne, il y a un bateau suspendu dans la nef. Ici dans une île où tous sont pêcheurs, trois bateaux  se trouvent dans la nef et les deux cotés du transsept.
        Admirez au passage le plafond en bois et ses peintures dorées de fleurs de lys et d’hermines et les vitraux simplistes, mais colorés.

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        Les murs du choeur autour de l’autel sont recouverts de bois sculpté et à l’arrière de l’église, à coté d’un confessionnal lui aussi de bois travaillé, une corde autrefois de chanvre, mais aujourd’hui en plastique, pour actionner les cloches.

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     La petite église de l'île d'Hoedic.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La petite église de l'île d'Hoedic.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La petite église de l'île d'Hoedic.




     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

          A coté de l’église, l’école, malheureusement fermée aujourd’hui, faute d’élèves, et dont les dessins sur les murs du préau témoignent du passé.

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux3/7878985elephantsafricainsdebushsurunacacialoxodontaafricanalafamilledeselephantsafricainssec.jpg
                L'homme, face à un danger a été programmé par l'évolution, d'abord pour fuir et se protéger, et ne faire face que si vraiment il ne peut faire autrement
                La nature qu'elle soit animale ou végétale a des systèmes instinctifs de défense extraordi-naires, plus efficaces.
                J'ai lu que des acacias d'Afrique (pas nos mimosas ceux de la photo ci-dessus, Acacia drepanolobium,”) arrivaient à repousser leurs agresseurs. Il est généreux, et fournit de l'ombre aux éléphants, mais sait se protéger : il devient toxique lorsque le grignotage de ses feuilles dépasse les limites de l'acceptable. Lorsque les insectes commencent à trop manger l'acacia, celui-ci produit une toxine qui rend les feuilles immangeables.Même les girafes et les gazelles n'en veulent plus.
                Des épines se dressent. Pour entretenir ses défenses l'acacia accueille dans le creux de ses épines, en leur fournissant un liquide nourricier, toute une armée de fourmis, qui repousseront les autres envahisseurs. De plus, ils émettent une odeur qui prévient les acacias voisins de se protéger à leur tour : un messager chimique arboricole qui indique qu'un prédateur est dans les parages : tous les arbres du bosquet deviennent impropres à la consommation au même moment.

                L'éléphant, avec sa peau épaisse n'a pas peur des épines de l'acacia et aime bien ses feuilles. Mais la morsure des fourmis est un vrai supplice et l'éléphant a peur des fourmis.
                 Ces éléphants ont aussi leurs moyens de persuasion : pendant la saison des amours, les jeunes éléphants mâles qui, par inadvertance, s'approchent trop près d'une femelle en chaleur, émettent ce qu'on nomme une "odeur innocente", un signal olfactif qui indique aux éléphants mâles adultes qu'ils ne vont pas courtiser la femelle. Donc pas de jalousie.
    Certains garçons devraient choisir ainsi un parfum d'innocence pour qu'on ne leur reproche pas de regarder la copine du voisin !! 

                L'homme réagit, lui aussi, à certains arguments inconscients de persuasion.
                En 2009,le psychologue Richard Wiseman, de l'Université de Hertfordshire en Grande Bretagne, a laissé plusieurs porte-feuilles dans les rues d'Édimbourg.
                Si vous en trouviez un, que feriez vous?
                Le porter ou bureau de police le plus proche ou l'envoyer à son propriétaire par la poste ? Le garder ? La réponse dépend moins de la moralité individuelle que de notre héritage évolutionniste collectif.
                Chaque porte feuille contenait une photo soit d'une famille qui semblait heureuse, soit d'un joli petit chien, soit d'un couple âgé, soit d'un bébé souriant. Lesquels avaient la plus grande probabilité d'être rendus ? 88 pour cent des portefeuilles avec la photo du bébé furent retournés, une proportion bien supérieure aux autres.
                Selon R. Wiseman, les bébés déclenchent un sentiment d'affection, un instinct de les protéger qui provient de notre évolution, afin de garantir Ia survie des générations futures.
                Ce comportement a été confirmé par des études de réactions de personnes sont on observait le cerveau en IRMf et auxquelles on présentait des photos de bébés plus ou moins mignons manifestant ou non leur affection, ou auxquels on faisait entendre des pleurs de bébés ou d'adultes.  
               On a ainsi constaté que les centres amygdaliens couplés au cortex cingulaire qui sont à la base de nos émotions, étaient beaucoup plus sollicités lorsque les bébés étaient avenants ou lorsqu'ils pleuraient, ainsi que le noyau accumbens, un des organes essentiels du système de récompense.              
               Le psychologue Robert Cialdini, de l'Université de l'État d'Arizona, a passé toute sa carrière à étudier les techniques de persuasion et il a l identifié six principes majeurs de l'influence sociale, qui, selon lui, sont tous hérités de nos lointains ancêtres et liés, d'une façon ou d'une autre, à notre survie primitive.
                Ces principes sont les suivants :
                          Réciprocité : nous nous sentons obligés de rendre la pareille quand nous avons bénéficié d'une faveur. 
                          Affection : nous avons tendance à dire oui à des personnes que nous aimons bien. 
                          Rareté : nous attribuons une plus grande valeur à des choses qui sont difficiles à obtenir.
                          Preuve sociale : nous regardons ce que font les autres quand nous ne sommes pas sûrs de ce qu'il faut faire. 
                          Autorité : nous écoutons les experts et ceux qui sont en position de pouvoir. 
                          Engagement et cohérence : nous aimons tenir parole et finir ce que nous avons commencé.
    .            Les gens qui veulent nous persuader de quelque chose, utilisent ces "drivers", sans oublier l'empathie pour attirer notre sympathie, et l'humour, pour nous mettre de bonne humeur.            
                 Mais aujourd'hui on vend n'importe quoi, même l'art de persuader. J'ai reçu l'autre jour une proposition pour un cours (payant bien sûr).... de drague. A mon âge (89 ans) !

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Caricatures3/musique.png 
                 Beaucoup de personnes que je connais lisent ou travaillent avec un fond sonore. Il m'arrive souvent de travailler sur mon ordinateur en écoutant de la musique classique?
                 Peut on vraiment travailler en écoutant la radio par exemple?
                 Les chercheurs font des études sur l'influence du bruit et de la musique sur l'attention et la mémorisation.

                Les recherches sur les environnements sonores et la mémoire ont commencé par évaluer l'effet du bruit.
                Contrairement à ce que l'on pourrait attendre, le bruit ne semble pas gêner la mémorisation. Seuls les bruits intenses et chroniques entraînent des perturbations et s'ils sont très forts des destructions dans l'oreille interne.
                Pierre Salamé, psychologue au Centre d'études bioclimatiques de Strasbourg, a étudié l'effet d'environnements sonores tels que la musique instrumentale et vocale.
                Les résultats furent inattendus : si la musique instrumentale ne gêne pas ou très peu (selon les expériences), les chansons entraînent, en ce qui concerne la mémorisation, une baisse de performances d'environ 70 % par rapport au groupe témoin travaillant dans le silence.

                 Ces recherches ayant été établies sur la mémorisation à court terme, il convenait cependant de vérifier si on pouvait généraliser les résultats à des situations plus variées de mémorisation ainsi qu à des situations d'apprentissage en milieu scolaire.
                Une expérience a été réalisée dans un collège avec six classes de sixième. Les élèves devaient passer quatre épreuves dans différents environnements sonores similaires à ceux qu ils pouvaient rencontrer dans leur vie courante.
                Les élèves disposaient de dix minutes pour mémoriser un texte d'une page en histoire, français ou biologie. Ensuite, ils devaient répondre à des questions sur ce texte pour évaluer leur degré de mémorisation, ou bien compléter un texte comportant des blancs.
               Certains travaillaient dans le silence, d'autres dans des environnements d'airs de jazz ou de musique symphonique, d'autres en écoutant des chansons à la mode. Les groupes permutaient ensuite.
                Les airs sans parole ne perturbaient pas en général le travail, ou très légèrement quand, trop connus, ils incitaient les élèves à les fredonner.
                Les airs vocaux par contre perturbaient de façon importante l'apprentissage, mais les mêmes airs étaient sans action sur la copie d'un dessin, en noircissant des cases, tâche manuelle sans nécessité de réflexion importante.
                Des essais menés sur des adultes avec de la musique classique et des airs d'opéra chantés, ont donné des résultats analogues.

                 Comment expliquer cet effet?
     
               Pendant la lecture et la mémorisation, les mots sont codés dans des systèmes sensoriels (système visuel, ou auditif si la leçon est entendue), puis dans Ie système lexical qui reconnaît les mots (centre de Wernicke), puis leur attribue un sens (centre de Geschwind), et enfin dans une mémoire sémantique, via le cortex préfrontal et l'hippocampe, qui retient le sens du texte et de la leçon. Tout se passe bien ainsi dans le cas de la lecture en silence, car Ie système lexical peut traiter les mots de la lecture.

                Mais si on entend simultanément une musique comportant des mots, les mots de Ia lecture et ceux des paroles de la musique, entrent en concurrence.
                Cela peut être comparé à ce qui se passe dans un ordinateur peu puissant, qui ralentit lorsque deux tâches sont exécutées simultanément (en fait alternativement par petits morceaux traités les uns après les autres).
                Des chercheurs américains ont montré que, si la langue de la chanson est connue, la gêne est encore plus forte, car l'individu comprend les paroles, ce qui entraîne une concurrence dans le système sémantique, c'est-à-dire l'analyse du sens.
                À l'inverse, lorsque deux tâches sollicitent des systèmes différents, par exemple mémoriser tout en sifflant, (siffler en travaillant comme les nains de Blanche Neige), cela n'entraîne pas de déficit, car les centres du cerveau n'ont pas à faire face à des doubles tâches.
               Ainsi, dans l'expérience où il s'agissait d'écouter des chansons en réalisant une activité manuelle, il n'y avait aucune de gêne, car c'est la mémoire procédurale qui était sollicitée pour le dessin.
                Du fait que le système d'analyse lexicale unique reçoit des informations de nature visuelle (la lecture) et auditive, (l'écoute des mots de la chanson, ou de la télévision), il se produit une sorte de phénomène d'engorgement cognitif, comme lorsqu'une autoroute à plusieurs voies subit un rétrécissement sur une voie, ce qui produit un ralentissement du trafic.

                   Ce phénomène de goulot d'étranglement se produit aussi à un autre niveau que celui lexical : l'attention.
               Le psychologue Christophe Boujon de l'Université d'Angers ont demandé à des élèves de CM2 (âgés de 10 à 11 ans) de lire une histoire dans une condition de lecture silencieuse et dans trois conditions d'attention partagée. Dans l'une, les élèves entendaient de la musique classique, dans l'autre, ils entendaient (sans le voir) un clip vidéo et dans la troisième condition, ils voyaient et entendaient le clip sur un téléviseur.

                Les résultats ont à nouveau montré que la musique classique ne gêne pas la mémorisation de l'histoire. En revanche, l'audition de paroles provoque une baisse de 25 %, (due au goulot d'étran-glement lexical), et regarder en même temps le clip vidéo provoque une baisse de 40 %.
                Il semble qu'il s'agisse alors d'une baisse attentionnelle, la perception des images du clip mobilise une partie des ressources attentionnelles de l'enfant, qui ne peut plus les consacrer entièrement à la tâche de compréhension et de mémorisation de l'histoire.
                 D'autres expériences ont été faites avec des musiques classiques de chambre, comportant des différences d'intensité modérées et de la musique type rock ou métal, avec de grandes amplitudes de son et des sonorités beaucoup plus rapprochées qui ne laissent pas à l'oreille des temps de repos.
                Outre les dégâts biologique si on écoute ces dernières musiques dans des écouteurs à un niveau trop élevé, ces musique plus typées et bruyantes entraînent une beaucoup plus grande fatigue, qui fait baisser l'attention. 
      http://lancien.cowblog.fr/images/Images2/l448xh336jpgmusiquecerveau1a455.jpg          Donc quand vous faites vos révisions, ou vos tâches scolaires, ne regardez pas des clips vidéo ou la dernière série à la télé? C'est comme si vous conduisiez votre voiture en regardant un DVD !!!
                Travailler en musique, oui, mais une musique sans paroles, une musique douce, sans grandes différences d'amplitude, ni haut volume sonore, genre musique de chambre classique.                
                Notre attention n'est pas élastique, les résultats de notre travail peuvent en dépendre.

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  • L'île d'Hoedic

                Lorsqu’on arrive sur Hoêdic par la mer, on aperçoit au dessus du port,  le petit village, à gauche la petite église et son clocher dont je vous parlerai demain dans mon prochain article, et au milieu une bâtisse blanche carrée, relativement haute, qui a servi pendant des années de sémaphore et a été rachetée par un estivant qui y vient l’été.


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    L'île d'Hoedic

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                   Les maisons sont basses avec un étage mansardé, blanches ou parfois en pierre, maisons de pêcheurs arrangées amoureusement et quelques maisons plus hautes, sortes d’HLM louées l’été aux estivants.
                  Un fort, érigé pour lutter contre les Anglais, mais qui n’a jamais servi, a été rénové et on peut le visiter, car il  sert aujourd’hui de musée. On a depuis ce lieu, qui est un point haut, une vue différente sur le village.

    L'île d'Hoedic

     

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               La partie nord-ouest de l’île est la plus sauvage et possède des côtes découpées, des criques rocheuses avec leurs plages de sable fin qui invitent au farniente. alors que les dunes font la joie des botanistes avec chardons bleus, immortelles et lys de mer et maintes autres fleurs . Je consacrerai un article après demain à cette flore.

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           L’eau sculpte des grottes dans les rochers et les goélands ne sont pas très farouches.

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           Couvertes d'une lande odorante de fougères et de joncs, la partie sud-est de l’ïle d’Hoëdic est plus verdoyante, avec quelques clairières et quelques arbres et buissons

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            C’est la partie qu’aiment touristes et campeurs, car il y a de grandes plages de sable fin, très tranquilles et abritées, propices aux jeux et aux bains.
    On rencontre parfois un menhir au coin d’un chemin

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    Dans les prochains jours,  je vous ferai visiter la petite église d'Hoëdic, qui, bien que toute simple,  est très belle et originale.

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