-
Quand ma fille vient en vacances en Bretagne, elle amène sa chatte, qui évidement connait bien maison et jardin.
Parfois on la cherche partout et elle est soit dans un lit sous les draps, soit dans un placard entre deux drpas ou couvertures, parfois en haut du placard, ou perchée sur un arbre.
J'ai trouvé sur internet des photos de "chat caché"; les voici en intermède : cherchez chat-rlie !
votre commentaire
-
On me demande parfois si les lampes led sont dangereuses pour la santé.
Si l’on entend par santé notre état général, il n’y a pas de risque car aucun rayonnement X n’est émis, et contrairement aux tubes fluorescent il n’y a pas de mercure qui peut s’échapper si on brise l’enveloppe. 5Cela dit, pour les tubes fluorescent la quantité est très faible et il n’y a pas de danger si on casse un tube.
Le problème est de savoir si leur lumière est sans conséquence pour nos yeux. On ne trouve pas beaucoup d’études dans ce domaine, car l’apparition des led dans l’éclairage des maisons est récente, mais Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a publié récemment un rapport d'expertise sur les effets sanitaires des systèmes d'éclairage utilisant des LED,
Par ailleurs on ne dispose pas d’un recul suffisant pour avoir une opinion définitive. Il peut falloir des années pour qu’un dommage de la rétine apparaisse.
La plupart des leds émettent une lumière très blanche, voire légèrement bleue, donc relativement énergique.
Une exposition importante à cette lumière pourrait entrainer un vieillissement prématuré de la rétine, favorisant l’apparition d’une dégénérescence maculaire (DMLA) ou son aggravation. Cette maladie dégrade progressivement la vision cen- trale, aboutissant à une vue dégradée devant soi.
Le risque est plus important pour les enfants au dessous de 10 ans, dont le cristallin n’absorbe pas les rayonnements de couleur bleue. C’est également le cas des personnes qui n’ont pas de cristallin, ou de celles qui ont été opérées de la cataracte et qui portent un cristallin artificiel.
Tout dépend de l’intensité de la lumière et de sa couleur, et de la durée d’exposition. Certaines profession exigent un éclairage important et demandent une lumière blanche intense (par exemple un bloc chirurgical).
Dans les LED bleues ou les LED à lumière blanche froide, c’est une diode bleue qui produit la lumière, dont le bleu est «transformé» par un produit phosphorescent pour obtenir du blanc. Ces deux types de diodes émettent donc une proportion de lumière bleue supérieure à celle de la lumière naturelle.
Il semble donc préférable d’éviter l’emploi des LED blanches et im est préférable de privilégier celles qui produisent une lumière chaude et de s’éloigner le plus possible de ces sources lumineuses, ou du moins de limiter les temps d’exposition des yeux (ne pas les employer comme lampe de chevet ou comme veilleuse, surtout pour les enfants).
Surtout il ne faut pas utiliser des lampes trop puissantes.
Enfin il faut savoir que, par construction la led est beaucoup plus lumineuse en son centre. Il faut donc éviter de fixer l’ampoule avec les yeux et il vaut mieux éviter les spots et utiliser des diffuseurs comme des abats-jours.
Donc pas de panique, ne jetez pas vos leds à la poubelle; les lampes que l’on trouve dans le commerce ne sont pas dangereuses si on respecte quelques précautions et qu’on n’utilise pas des lampes surpuissantes.votre commentaire
-
J’avais écrit un article sur les effets placébo et nocébo le 27 avril 2019, qui essayait d'expliquer comment notre cerveau pouvait ainsi être "trompé" par une substance chimique et le discours qui l’accompagnait.
Il m’avait été demandé par la suite d’être plus précis et j’avais écrit un deuxième article le 26/8/1022 sur les limiyes d’action d’un placebo.
Un correspondant m’écrit, « Je sais en quoi consiste l’effet placebo, mais je ne sais pas l’expliquer : est il tout à fait psychologique et quels en sont les éléments? »
Je vais essayer de vous donner quelques explications, mais je ne suis pas sûr de les connaître toutes.
Un placebo, c’est une « absence de médicament » que l’on fait prendre à quelqu’un en lui faisant croire que c’est un médicament. Cela sert notamment dans les études comparatives des effets des médicaments : on donne par exemple à un groupe, les gélules du médicament et à un autre groupe « témoin », des gélules qui ne contiennet que du sucre en poudre, mais les membres du groupe ne le savent pas et croient qu’il s’agit du même médicament. C’est un « placebo » (du latin placebo, je plairai). On compare alors les effets, car en général les effets du placébo sont moindres que ceux du médicaments mais non nuls. Ils sont en général faibles quand il s’agit de maladies graves ou microbiennes, mais peuvent être important lorsque l’action se fait par l’intermédiaire du système nerveux ou du système hormonal.
Les effets psychologiques d’un placebo :
La prise du placebo peut d’abord déclencher la libération dans l’organisme de produits chimiques naturels, proches d’un médicament quant à leur action.
C’est le cas par exemple de la lutte contre la douleur. La prise d’un placebo, par son effet psychologique agit sur l’hypothalamus, dans le cerveau, lequel par l’intermédiaire de l’hypophyse sécrète des « endorphines », neuropeptides naturels ressemblant à la morphine, et qui agissent sur des neurones qui bloquent en partie les synapse des neurones de la moelle épinière qui transmettent la douleur.
Le corps par ailleurs s’habitue aux effets de certains médicaments, et notre cerveau est conscient de ces effets. La prise du placebo peut déclencher une réaction analogue à la prise du médicament : ainsi la prise d’un placebo remplaçant un médicament stimulant, augmente néanmoins la pression sanguine et le rythme cardiaque (par l’intermédiaire de l’hypothalamus et du système orthosym-pathique.
Cet effet est particulièrement efficace sur des animaux de laboratoire ou domestiques, qui sont habituellement traités avec un médicament.
La prise d’un médicament (ou supposé tel et donc d'un. placebo), modifie le comportement du malade et ses habitudes, en raison de la confiance qu’il fait au médecin et au médicament. Certains de ces changements peuvent être bénéfiques pour la santé.
Le fait d’être soigné diminue l’anxiété due à la maladie, et donc un placebo a un effet apaisant. C’est efficace contre des douleurs bénignes (on console les enfants qui sont tombés), ou dans des troubles où le système nerveux joue un rôle : sommeil, toux, ; asthme, allergie, troubles viscéraux. Le placébo ne guérit pas, mais il peut soulager le stress et ses effets excitants et très douloureux
Les effets naturels dus à l’évolution de la maladie :
Certaines maladies peu graves guérissent d’elles mêmes, en l’absence de médicament. L’organisme fait son travail de lutte.
En général on prend les médicaments au maximum de la maladie, quand on se décide à voir le médecin. Les symptômes diminuent ensuite, même si on n’a pris qu’un placebo (ou rien du tout).
Par ailleurs des médicaments antérieurs déjà pris, peuvent avoir un effet prolongé et se superposer au placebo.
Cet effet en l’absence de tout médicament ou avec prise d’un faux traitement est ce que l’on appelle « l’effet placebo ». Il est d’autant plus efficace que la maladie est bénigne, sensible au suivi du traitement et au stress, et dépendant des réactions du système nerveux. il n’est pas facile pour un patient de savoir pourquoi son état s’améliore, et donc de juger si c’est son médicament qui fait effet, ou s’il s’agit là des conséquences d’un changement général d’attitude, de la réduction de son stress, ou le simple fait du temps qui passe. C’est pourquoi la prise d’un simili médicament peut améliorer la situation, notamment en matière de douleur.
Mais un placébo soulage, mais ne guérit en aucun cas la maladie.votre commentaire
-
Les batteries, notamment au lithium, (dont l’offre est non seulement limitée, mais l’extraction minière est également néfaste pour l’environnement), sont actuellement le meilleur moyen pour alimenter nos voitures, nos ordinateurs et nos téléphones portables. Mais elles ne permettent pas une charge ou une décharge rapide.
Pour absorber dans une voiture l’énergie de freinage et la restituer ensuite à la batterie plus lentement, on utilise des super-condensateurs, capables d’absorber et de restituer l’énergie presque instantanément (mais on peu adapter des circuits qui leur font restituer l’énergie plus lentement.). Toutefois ils ne sont pas capables d’emmagasiner de grandes quantités d’énergie, ce qui ne permet pas de les utiliser pour stocker la production des sources d’énergie intermittentes (éoliennes, photovoltaïque).
Ces super-condensateurs sont composés de deux électrodes baignant dans une solution ionique (un électrolyte) et séparées par une couche isolante. En appliquant une différence de potentiel entre les deux électrodes, les ions positifs de l’électrolyte vont migrer vers l’électrode négative, et inversement pour les ions négatifs. Pour restituer l’énergie stockée, il suffit de couper la différence de potentiel, ce qui produit un flux d’électrons qui circulent alors à travers les électrodes conductrices.Nicolas Chanut, de l’institut de technologie du Massachusetts, a développé un tout nouveau type de super-condensateur, composé de ciment, d’eau et de noir de carbone.
Lorsque le ciment prend, grâce à l’eau, le noir de carbone, qui est hydrophobe, forme un réseau de filaments conducteurs au sein de la structure (photo ci-dessous)A partir de 3% de noir de carbone, le béton peut servir d’électrode et on peut, en jouant sur cette composition, ajuster les temps de charge-décharge et la quantité d’énergie stockée. Une solution de chlorure de potassium sert d’électrolyte. et imprègne le sable du béton.
L’équipe du MIT a réalisé un petit condensateur d’environ un centimètre de diamètre et 1 millimètre d’épaisseur, pouvant stocker de l’énergie avec une tension d’environ 1 volt et en en combinant 3, l’équivalent d’un accumulateur de 3V et réalise actuellement une structure comparable à un accumulateur de 12 volts. Ces éléments auraient affiché des capacités de charge et de décharge supérieures à 10 000 cycles.
Elle estime qu’un bloc de 45m3 de béton (un cube de 3,5 m de coté), pourrait absorber et restituer 10 kWh.La consommation moyenne journalière d’un ménage français est de 12,5 kWh.
On pourrait donc utiliser les fondations en béton d’une éolienne ou d’une maison pour stocker l’énergie de panneaux solaires, pour des coûts relativement faibles. Le problème est de garder le béton suffisamment humidifié en électrolyte.
L’équipe de chercheurs envisage même d’utiliser ce procédé pour stocker de l’électricité dans des routes en béton, pour recharger les batteries des voitures électriques par induction.Espérons que cette recherche va se poursuivre favorablement, car ce serait une avancée considérable et une nouvelle façon d’envisager l’avenir du béton dans le cadre de la transition énergétique
votre commentaire
-
J'ai trouvé sur internet, une étude des techniques des chats pour se réchauffer l'hiver.
Evidemment cela commence par le radiateur et les couettes : techniques classiques; le poêle et rechercher le soleil c'est aussi très courant. Se mettre dans une bottinne ou dans la manche du pull que son maitre vient de quitter, c'est plus original, mais le must, c'est de profiter en famille de la fourrure du chien ou de se coucher sur l'ordinateur portable de sa maitresse.
Enfin ce qui n'est pas à la portée de tous (il faut un élevage !), le tas de chats.
En intermède, je vous en livre les photos :votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires