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Une de mes petites filles m'a envoyé des articles qui comparent les chats d'hier et ceux d'aujourd'hui qui, comme nous, sont connectés.
Je vous en reproduit ci dessous quelques images : sous "then" les chats d'il y a 30 ans; sous "miaou" ceux d'aujourd'hui.
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Pour changer un peu, quelques histoires drôles glanées sur internet :
Une femme vient de perdre son mari. A une amie qui lui rend visite, elle confie :
- François était merveilleux, il a pensé à tout. Il m’a laissé trois enveloppes à ouvrir après sa disparition.
Dans la première il y avait deux mille euros avec ce mot : pour la messe et les fleurs.
Dans la deuxième il y avait trois mille euros avec ce mot : Pour le cercueil en acajou.
Elle tend la main vers son amie et lui montre sa bague :
- Qu’est-ce que tu penses du diamant ?C'est une blonde qui entre dans un bar. Elle approche le barman et timidement lui chuchote dans l'oreille : - Où sont vos toilettes ?
Le barman lui répond : - De l'autre côté.
Alors la blonde se déplace et lui chuchote dans l'autre oreille : - Où sont vos toilettes ?Dans un avion en feu, il y a un intellectuel, un grand-père et son petit fils ainsi que le pilote… et seulement trois parachutes.
Le pilote en prend un et saute.
L’intellectuel aussi, en disant :
- Je suis l’être le plus intelligent de la planète, je dois sauver ma vie car le monde a besoin de moi !
Le vieil homme veut alors se sacrifier :
- Je suis vieux, fiston… et toi, tu as la vie devant toi… Prends le dernier parachute !
Mais le petit-fils rigole :- Ne t’inquiète pas papy ! L’homme le plus intelligent de la planète vient de sauter avec mon sac à dos !Une maman réprimande son fils :
– La voisine t’offre gentiment un gâteau et toi, tout ce que tu trouves pour la remercier, c’est de lancer une pierre contre sa fenêtre et de lui casser un carreau.
– Mais, maman, ce n’est pas une pierre que j’ai jetée, c’est le gâteau !C’est en hiver. Dans la cour d’un établissement psychiatrique, les pensionnaires se promènent. Le chien du gardien qui gambade dans la cour, s’approche de l’un d’eux. Apeuré, celui- ci se baisse pour ramasser une pierre. Mais celle-ci reste collée au sol par la gelée. Alors, il s’enfuit vers la porte.
Le gardien l’arrête :
– Où courez-vous comme ça ?
– Je m’en vais. C’est une maison de fous ici ! Les chiens sont en liberté mais on attache les pierres.- Récite-moi le verbe marcher au présent.
Toto répond : - Je…marche…tu…marches…
Mais la maîtresse le presse. - Allez, plus vite Toto !
Ce à quoi il répond : - Euh…je cours euh…tu cours, il court…Un homme joue à la pétanque devant un asile de fous. Il lance une boule trop fort et celle-ci rentre dans l'établissement. Alors qu'ils lui courent après, les infirmiers l'arrêtent et lui demandent ce qu'il vient faire là. L'homme s’exclame :
- Je suis ma boule, je suis ma boule !
Il n'est jamais ressorti.Un homme va chez le médecin et se plaint d'avoir du mal à s'endormir. Au lieu de lui donner des médicaments, le médecin lui propose autre chose :
- Vous allez prendre chaque soir, au coucher, un verre de lait et un bain bien chaud, dit-il à son patient. Revenez me voir dans une semaine, nous ferons le point.
Une semaine s’écoule et l'homme revient :
- Avez-vous respecté ce que je vous ai prescrit ? lui demande le docteur.
- Pas de problème pour le verre de lait, dit l’homme, mais le bain… je n'arrive pas à tout boire !Deux singes discutent dans un laboratoire :
- Tu vois le type en blouse blanche là-bas ? Eh bien, j'ai réussi à le dresser. À chaque fois que j'appuie sur ce bouton, il m'apporte une banane.Trois amies veulent s’acheter des glaces et s’arrêtent chez le glacier. Les deux premières sont très jolies, mais la troisième est très moche. Le vendeur leur demande leurs prénoms :
- Moi, je m'appelle Rose, car lorsque je suis née, une feuille de rose est tombée dans mon berceau.
- Moi, je m'appelle Prune, car lorsque je suis née, une feuille de prunier est tombée dans mon berceau.
- Moi, c'est Poutrelle !Deux moustiques sont en train de discuter :
- Tu sais, explique le premier, en vrai, les hommes nous aiment bien.
- Ah, je pensais plutôt le contraire, dit l’autre.
- Si, si, je te jure. Hier soir, il y en a un qui a passé toute la nuit à m’applaudir !Deux collègues terminent leur déjeuner à la cantine.
Le premier, après avoir coupé une poire en deux, aligne les pépins sur la table. Son collègue lui demande pourquoi il fait cela.
- Tu ne sais pas que les pépins mangés à part rendent plus intelligent ? lui répond le premier.
- Tiens donc je peux essayer ?
- Ok ! Cela fait 4 euros le pépin. Comme il y a a huit, tu me dois 32 euros.
Le type paie et mange les pépins. Soudain il lance :
- Quand même, tu me prends pour un idiot ! Pour 32 euros j’aurais pu m’acheter plusieurs kilos de poires !
- Tu vois, les pépins font déjà de l’effet.
C’est toujours le même fermier qui rapporte le plus de lait à la fromagerie.
Pourtant tout le monde sait dans le village que ce fermier ne possède que quelques vaches.
Alors comment fait-il?
Intrigués, les autres fermiers décident d’aller lui poser la question:
- Mais comment fais-tu pour obtenir tant de lait avec si peu de vaches ? C’est quoi ton truc ?
- Oh ! C’est tout simple…
- Je le savais ! Tu utilises des produits spéciaux.
- Mais non… où vas-tu chercher ces idées. Des produits spéciaux pour les vaches, mais non !
- Alors comment ?
- Bien c’est simple, le matin quand je vais traire mes vaches, pour les motiver je leur pose toujours la même question : « Alors mes petites ! Ce matin qu’est-ce que vous me donnez ? Du lait ou du steak ? »En me promenant dans un parc, je vois un ouvrier qui creuse un trou, puis un deuxième, un troisième et qui continue encore et encore... et plus loin un autre ouvrier qui rebouche les trous les uns après les autres...
Intrigué, je lui demande ce qu'ils font ?
Il me dit, "D'habitude nous sommes trois pour faire ce travail. Mais celui qui plante les arbres est malade aujourd'hui"Au cours d’une réunion, le chef de service informa son équipe qu’il n’était pas suffisamment respecté… comme il se doit.
Le lendemain matin, il apporta une petite pancarte sur laquelle était inscrit : “Ici, c’est moi le chef !” Il la plaça bien en évidence sur la porte de son bureau.
Quand il revint après le déjeuner, il trouva un post-it à côté de la pancarte où était écrit :
« Votre femme a téléphoné, elle veut récupérer sa pancarte. »C’est un mécanicien, un physicien et un informaticien qui ont chacun une voiture. Aucun des trois n’arrive à démarrer.
Le mécanicien démonte tout le moteur, vérifie et nettoie toutes les pièces, remonte le tout et démarre.
Le physicien refait tous les calculs de résistance de matériaux, de thermodynamique, d’allumage, etc., trouve l’erreur et démarre.
L’informaticien sort de la voiture, ferme la portière, l’ouvre, rentre dans la voiture et essaye à nouveau de démarrer.La maîtresse demande à Toto :
- À quel temps est la phrase suivante : “Il pleuvait fort ce jour-là”.
Toto répond :
- Un sale temps, madame !Un jeune père discute avec son collègue :
- " Mon fils marche depuis quatre mois ".
- " Oh là là, il doit être loin maintenant. "Le directeur d’un asile de fous a deux perroquets : un rouge et un vert.
Un jour, ils s’échappent et vont se percher dans un arbre.
Le directeur demande si un des patients peut grimper dans l’arbre. Un fou se présente, monte dans l’arbre et ramène le perroquet rouge… Ensuite, il va s’asseoir.
Le directeur lui demande pourquoi il ne va pas chercher le perroquet vert.
Le fou lui répond :
- Comme il n’est pas mûr, je l’ai laissé sur l’arbre !L’ouvreuse du cinéma met en garde le couple qui est venu à la séance avec son bébé :
- Si l’enfant pleure, vous devrez quitter la salle. Bien sûr, on vous remboursera !
Une demi-heure après le début du film, le mari se penche vers sa femme :
- Qu’en penses-tu ?
- Ce film est archinul !
- T’as raison, secoue donc le petit.
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Nous sommes tous sensibles aux douleurs, mais celles-ci sont multiples et de nature diverse.
Cela peut être une douleur passagère parce que nous nous sommes cognés ou coupés Cela peut durer quelques minutes, comme aussi s’enflammer ou s’infecter et nous lanciner pendant des heures.
Les causes peuvent aussi être internes, dues à un phénomène passager comme une migraine, ou bien une maladie, ou simplement la vieillesse avec l’arthrose et les maux de dos. Certaines douleurs peuvent durer longtemps, voire devenir chronique.
La douleur atteint un grand nombre de personnes : en France, 67 % des personnes interrogées avaient souffert de maux de dos au cours des douze derniers mois, et 61 % de maux de tête.
La sensation de douleur est captée par des fibres nerveuses de nos membres et nos organes, et elle remonte, par des relais de la moelle épinière, jusqu’au cerveau : je vous ai expliqué ce parcours dans les articles de la rubrique « santé » des 26, 27, et 28 avril 2021. Mais il n’existe pas de centre de la douleur dans le cerveau qui permettrait, grâce aux électroencéphalogrammes, scanners ou à l’IRM, de quantifier la douleur, mais une multitude d’aires aux interactions complexes.
On constate toutefois une augmentation d’activité, avec la douleur, de l’insula, (qui fait remonter nos problèmes internes), du striatum (du circuit de récompense), et du cortex somatosensoriel (qui détecte nos perceptions).C’est une sensation : les stimuli nociceptifs, la douleur physique.
Mais la douleur a d’autres composantes : une composante psychique : les stimuli nociceptifs sont perçus différemment selon qu’on est joyeux, insouciant, préoccupé ou stressé…
Beaucoup d’entre nous connaissent l’échelle de douleur de 1 à 10, utilisée par le personnel soignant (voir schéma ci-contre emprunté à la revue Cerveau et Psycho). En outre ils distinguent d’une part le seuil de perception qui est le moment à partir duquel une personne a l’impression qu’un stimulus de plus en plus fort commence à faire mal, et le seuil de tolérance qui est atteint quand la souffrance devient insupportable.
C’est malheureusement un test relativement subjectif.
Toutes les personnes n’ont pas les mêmes seuils de perception et de tolérance. Une personne peut ressentir une pression sur un bleu comme douloureuse, alors qu’une autre ressentira simplement que quelque chose appuie sur sa peau. Une autre personne peut trouver que le dentiste lui fait mal, sans que ce soit insupportable.
Et il semble que les personnes ayant un seuil de perception bas ont un risque plus élevé de développer des douleurs chroniques.
Des différences sont observées sur l’efficacité des médicaments antalgiques : certains sont plus actifs pour une personne donnée et d’autres pour une autre personne; les doses nécessaires pour calmer la douleur sont également variables selon les individus.
Des explications physiologiques expliquent en partie des différences : notre corps synthétise plus ou moins de substances anti-douleur, notamment des endorphines.Mais interviennent aussi une combinaison de facteurs héréditaires et environnementaux.
Les personnes de sexe féminin semblent être en moyenne un peu plus sensibles à la douleur. En outre, elles souffrent globalement plus souvent de douleurs chroniques. Les hormones sexuelles jouent un rôle dans le traitement des informations nociceptives.
L’influence culturelle est également un facteur important : les citadins sont plus sensibles en moyenne que les ruraux; le seuil de perception s’élève avec l’âge, mais la tolérance diminue souvent; la sensation de douleur augmente si l’on a mal dormi.
Un autre aspect est à prendre en compte lorsque l’on cherche à améliorer sa situation : nos perceptions physiques dépendent en grande partie de nos attentes – par exemple а propos d’un traitement. C’est ce qui est а l’origine de l’effet placebo.Et les douleurs « fantômes »?
Certaines personnes ont parfois mal à un bras ou à un pied, alors que cette partie de leur corps a été amputée. (60 а 80 % des personnes opérées). Des modifications de l’activité spontanée de certaines zones du cerveau ou de neurones de la moelle épinière sembleraient expliquer pourquoi un patient peut avoir mal à un endroit de son corps qui n’existe plus, l’amputation ayant provoqué des dégénérescences axonales et neuronales, et une modification des sécrétions de neurotransmetteurs et une hyperactivité des fibres nerveuses…
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Je lisais dans la revue « Sciences et Avenir » un article sur la nécessité d’avoir une nourriture équilibrée et variée pour nous aider à vivre et notamment à avoir une meilleure immunité pour lutter contre les agressions extérieures sur notre organisme. Manquer de certains nutriments peut nous fragiliser alors que nous devons faire face durant l’hiver à des virus et des bactéries, car une carence peut entraîner une diminution du nombre de nos cellules immunitaires, une altération de la fabrication d’anticorps, ou une moins bonne cicatrisation des plaies. Divers aliments sont ainsi bénéfiques :
Les poissons gras et les fruits de mer.
Le saumon, la sardine et le maquereau sont riches en divers acides gras polyinsaturés (Oméga 3). Consommés pendant 5 semaines, ils stimuleraient les lymphocytes B, spécialisés dans la production d’anticorps. Ils apportent aussi la vitamine D qui favorise la différenciation des monocytes en macrophages qui détruiront les agents pathogènes ( et qui joue un rôle important dans la consolidation de nos systèmes osseux et musculaire)..
Les fruits de mer (huitres, moules, coquilles saint Jacques….)sont riches en zinc et en sélénium, antioxydants qui stimulent le système immunitaire. Une dizaine de mg de zinc par jour (contenu dans 4 huitres) réduirait de 28% la probabilité de contracter un rhume et de 68% une maladie pseudo-grippale.Les fruits et les aliments lactés ou boissons fermentées
60 à 70% de nos cellules immunitaires logent dans les intestins.
Ces aliments(choucroute, olives noires, yaourts, croutes de fromage…) renferment des bactérie ou des ferments qui contribuent à la régulation du système immunitaire.Les fruits et légumes apportent des vitamines.
La vitamine A, (mangue, carotte, potiron…), qui régule le nombre et le fonctionnement des lymphocytes T, tueurs de microbes. Elle contribue par ailleurs au métabolisme du fer, et au maintien d’une peau et de muqueuses normales.
La vitamine E (fruits rouges, pommes…) intervient dans la composition des membranes des cellules immunitaires. Elle a des propriétés anti-oxydantes et protège les cellules du vieillissement.
La vitamine C (agrumes, kiwi…) aide la migration des globules blancs vers les sites infectés, la production d’anticorps et le fonctionnement des lymphocytes T. (mais elle intervient aussi pour consolider les fibres de collagène, constitutives du tissu conjonctif qui soutient les autres tissus et elle les protège en captant les substances oxydantes. Elle intervient dans la synthèse de molécules impliquées dans la transmission nerveuse, comme la noradrénaline. Enfin, elle facilite l’absorption du fer présent dans les aliments d’origine végétale comme les légumineuses ou les noix.De la viande et des abats en quantité modérée.
Le veau, le bœuf, l’agneau et le foie contiennent du fer. Un déficit en fer favorise les infections et par ailleurs diminue l’oxygénation du sang (l’hémoglobine contient du fer).
Ils apportent les acides aminés nécessaires à la fabrication des cellules, notamment immunitaires et des protéines nécessaires pour la production d’anticorps.
Ils sont aussi riches en vitamine B12 qui contribue au métabolisme énergétique du système immunitaire et réduit la fatigue.
Le foie de veau est riche en vitamine A et D et fournit 20mg de cuivre pour 100 g, qui est anti-inflammatoire et anti-bactérien.A l’inverse pas trop de sel ni de sucre.
Une consommation trop importante de sel amoindrit de façon importante la réponse immunitaire, notamment en inhibant les granulocytes-neutrophiles qui sont macrophages.
Elle favorise également l’hypertension artérielle et augmente le risque de maladies cardio-vasculaires, du cancer gastrique d’obésité et de maladie rénale.
La consommation trop forte de sucre conduit au diabète à des maladies cardiaques et AVC et favorise l’excès de cholestérol et provoque des caries dentaires.Eviter les compléments alimentaires s’il n’y a pas de carence.
Se méfier de ceux contenant des substances immuno-stimulantes (saule, reine-des-près, curcuma, réglisse…) car l’ANSES considère qu’ils perturberaient les défenses immunitaires naturelles, notamment contre le Covid-19.
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« On pourra bientôt lire nos pensées dans notre cerveau », C’est un titre que l’on retrouve assez souvent dans des journaux, et même dans des revues. Ce ne sont pas des scientifiques, mais des journalistes qui l’écrivent, et il faut bien faire des articles accrocheurs pour attirer les lecteurs, annoncer du sensationnel !
En fait on est loin de pouvoir faire cela.Pour essayer de comprendre l’activité des neurones, les scientifiques disposent de deux techniques non invasives : l’imagerie par la résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et la magnéto-encéphalographie (MEG).
L’imagerie par la résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) consiste à mesurer les variations de flux sanguin qui circule dans le cerveau et irrigue les divers groupes de neurones, ce flux augmentant si les neurones sont en activité.
On obtient une résolution spatiale de l’ordre du millimètre permettant un découpage du cerveau en environ un millions de points, ou « voxels » (des pixels en 3D). Par contre les mesures ne sont pas rapides et ne peuvent suivre des phénomènes cérébraux corres-pondant au langage, mais on peut utiliser cette méthode pour étudier le traitement d’images fixes (pas de films)
La magnéto-encéphalographie (MEG) qui mesure les ondes électromagnétiques émises par les neurones. La résolution est faibles (le centimètre), mais par contre, on peut enregistrer ce qui se passe à la milliseconde près.
Si l’on voulait à la fois une très bonne résolution et un temps de réponse faible, il faudrait implanter des électrodes dans le cerveau, ce qui peut se faire en cas de nécessité absolue (malades épileptiques), mais sinon est limité à l’expérimentation animale.
Si l’on voulait vraiment déchiffrer le code neural, il faudrait un temps dr résolution, mais avec une résolution spatiale de quelques neurones. de la milliseconde. On n’a pas de solution technique en vue, et même si on l’avait, avec environ cent milliards de neurones dans le cerveau, la quantité d’in-formation serait rapidement ingérable.Où en est on dans les expériences en cours?
Dans le domaine des images fixes, on peut, à partir des IRMf des centres d’interprétation de la vue, et de l’utilisation d’un logiciel d’intelligence artificielle, obtenir une image assez voisine de celle que le patient regarde.
Ce n’est pas étonnant car l’on savait déjà, à partir d’expérimentations sur animaux, que les neurones des deux premières couches d’interprétation de la vue, reproduisent spatialement l‘image regardée.
La figure ci-dessous montre les résultats obtenus sur 4 patients différents qui regardaient la même scène (sous un angle un peu différent).Des essais sont actuellement effectués pour chercher à reproduire des images de nos rêves, ou du moins de l’activité interne et inconsciente de nos centres visuels pendant notre sommeil/
Par contre les résultats des études de détection du langage ne sont guère avancées malgré l’utilisation de l’intelligence artificielle pour décoder les informations de MEG.
Les chercheurs ont fait écouter des conversations à des personnes munies de casques qui enregistraient les ondes émises par le cerveau. Ces séquences d’ondes ont été transmises à un. logiciel d’IA, qui devait apprendre à reconnaître les séquences d’ondes correspondant à des mots. L’IA prédisait une liste de 10 mots et dans 73 % des cas, la liste comprenait le mot prononcé dans la conversation.
On est loin de lire dans nos pensées
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