•            J'ai trouvé sur internet, une étude des techniques des chats pour se réchauffer l'hiver.
               Evidemment cela commence par le radiateur et les couettes : techniques classiques; le poêle et rechercher le soleil c'est aussi très courant. Se mettre dans une bottinne ou dans la manche du pull que son maitre vient de quitter, c'est plus original, mais le must, c'est de profiter en famille de la fourrure du chien ou de se coucher sur l'ordinateur portable de sa maitresse.
    Enfin ce qui n'est pas à la portée de tous (il faut un élevage !), le tas de chats.

                En intermède, je vous en livre les photos :

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  •             Les vaccins actuels pour la plupart, provoquent une réaction immunitaire qui est provoquée par la protéine S du coronavirus. Mais certains vaccins de nouvelle génération introduisent aussi d’autres protéines virales dans l’organisme, dans l’espoir de provoquer une réaction immunitaire plus diversifiée .

    Des protéines sur des nanoparticules

              Les lymphocytes T, qui détruisent les cellules infectées, reconnaissent de nombreuses autres protéines du covid19. des vaccins utilisant comme antigène d’autres protéines que la protéine spike pourraient être plus résistants aux mutations du virus, car ces autres protéines ont moins tendance à muter.
             La société de biotechnologie texane Vaxxinity développe un vaccin а base de protéines multiples et va demander l’autorisation de mise sur le marché au Royaume-Uni et en Australie, après un essai clinique de phase III qui a montré la sûreté de son vaccin et la forte production d’anticorps qu’il suscite lorsqu’il est utilisé en dose de rappel.
            Une nouvelle classe de ces vaccins protéiques assemble des protéines selon une nanostructure en forme de ballon de football dont la surface est constellée de protéines S ou de RBD. La disposition répétée et régulière des molécules virales, qui imite celle d’un virus réel, provoque une réaction immunitaire particulièrement importante.

    Les nouveaux vaccins contre le coronavirus.(2)

            L’institut de recherche de l’armée américaine à Silver Spring, développe un autre vaccin à base de nanoparticules utilisant une protéine porteuse de fer appelée « ferritine », qui s’assemblent en une particule sphérique, sur laquelle sont ensuite accrochées des protéines S du covid. Ce vaccin est actuellement testé dans le cadre d’un essai préliminaire.

    Les nouveaux vaccins contre le coronavirus.(2)

    En définitive les vaccins de la nouvelle générations sont de plusieurs catégories :

                   - les vaccins а acide nucléique (principalement de l’ARN messager) qui font pour fabriquer par les cellules la protéine S qui est l’antigène reconnu par le système immunitaire. Des vaccins bivalent protègent mieux contre le variant omicron et des vaccins à large spectre seront plus largement efficaces. 

                 - les vaccins inactivés utilisent des versions atténuées du virus lui-mëme. Ces vaccins doivent être remaniés chaque fois qu’une nouvelle mutation importante du virus intervient.

                  - les vaccins protéiques sont composés de la protéine S ou de son RBD. Des vaccins mosaïques pourraient protéger contre des virus qui subiraient des mutations dans le futur.

                 - les vaccins а vecteur viral utilisant d’autres virus modifiés pour transmettre aux cellules l’ordre de fabrication de la protéine S.

     

    Des vaccins ARN plus efficaces.

              La plupart des doses de vaccins а ARN messager ont été administrées dans les pays riches. Une amélioration de cette technique pourrait rendre les vaccins moins chers et encore plus puissants, tout en minimisant leurs effets secondaires et permettraient ainsi une diffusion plus grande des vaccinations..
              Les vaccins mis au point par les sociétés Pfizer et Moderna utilisent des’ARN messagers codant une version modifiée de la protéine S, enchassée dans une nanoparticule lipidique.
             Dans une version améliorée, nommée « vaccins à ARN autoréplicatif », la séquence d’ARN messager contient également des instructions codant une enzyme nommée « réplicase », qui va multiplier les copies de cet ARN et, par conséquent, celles de la protéine S qu’il code.
            Une dose plus faible, donc moins coûteuse de vaccins à ARN messager autoréplicatif permettrait d’obtenir une réponse immunitaire identique, voire plus forte, par rapport aux vaccins à ARN messager classiques. Une dose initiale plus faible aurait aussi des effets secondaires moindres.
             Un vaccin а ARN autoréplicatif, mis au point par la société américaine Arcturus Therapeutics, a fait l’objet d’un essai clinique de phase III en avril 2022, et la société vient de lancer un autre essai de phase III au Japon qui pourrait déboucher sur une demande d’autorisation de mise sur le marché dans ce pays.

    Les nouveaux vaccins contre le coronavirus.(2)

    Des vaccins en pulvérisation nasale ou buccale.

                Certains vaccins contre le Covid-19 sont inhalés sous forme d’un spray nasal ou buccal, ou de gouttes déposées dans le nez. En provoquant des réactions immunitaires sur les fines muqueuses qui tapissent le nez et la bouche ces vaccins pourraient arrêter le virus avant qu’il ne se propage dans l’organisme.
               On ne sait pas encore si ce type de vaccination est aussi efficace qu’une injection du vaccin dans un muscle.

    Les nouveaux vaccins contre le coronavirus.(2)

    Les vaccins vendus :

    La revue Pour la Science publiait en fin d’article un graphique du nombre de doses vendues ppar les divers fabricants. J’ai pensé qu’il pourrait vous intéresser.

    Les nouveaux vaccins contre le coronavirus.(2)

     

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  •             Dans le numéro d’avril 23 de la revue « Pour la Science » est paru un article très intéressant sur les nouveaux vaccins contre le coronavirus et les recherches en cours. Il est agrémenté de dessins très explicites. Mais il est assez difficile à lire.
             Je vais néanmoins essayer de le résumer en trois articles, en espérant ne pas vous endormir ou vous causer mal au crâne.

             Je rappelle la façon dont un vaccin protège, ce que j’ai déjà exposé en détail dans  les articles des 5 et 6 mars 2022 sur le système immunitaire de l’homme.
             Des vaccins contre le Covid-19 ont été administrés à des milliards de personnes et ont sauvé plus de 20 millions de vies. Ces vaccins sont de différents types : certains contiennent de l’ARN messager, d’autres des coronavirus inactivés ou certaines de ses protéines, mais tous fonctionnent en exposant l’organisme à des antigènes (des fragments du virus) pour provoquer une réaction immunitaire sans causer de maladie.
            Le réaction immunitaire a 3 composantes schématisées ci-après :
                  - des lymphocytes B, qui produisent des anticorps qui vont empêcher le virus d’infecter les cellules;
                   - des lymphocytes T, qui détruisent les cellules infectйes et alertent d’autres cellules immunitaires.      
                  - des lymphocytes B et des lymphocytes T « mémoire » qui prolongent l’immunité, même lorsque le taux d’anticorps produits à la suite de la vaccination diminue.
              Ils gardent la mémoire de l ‘antigène, et s’il y a une nouvelle infection ils se multiplieront à nouveau pour défendre l’organisme.

    Les nouveaux vaccins contre le coronavirus.(1)

              Bien que les vaccins actuels assurent une protection durable contre les formes graves du Covid-19, celle-ci diminue après quelques mois, et le virus a également évolué depuis : des variants comme Omicron portent des mutations qui leur permettent d’échapper en partie а l’immunité conférée par les vaccins de première génération.
             Une deuxième génération de vaccins a déjà été mise au point pour renforcer l’immunité contre le variant Omicron, mais les chercheurs explorent d’autres approches pour développer de nouveaux vaccins.

    Des vaccins adaptés aux nouveaux virus.

            Les vaccins a ARN des sociétés Pfizer et Moderna utilisent comme antigène, des éléments de la protéine S (Spike), qui tapisse la surface du virus et lui permet de se lier aux cellules pour se multiplier.
            Ces sociétés ont présenté en 2022  actualisés, dits « bivalents », car ils codent des molécules de la protéine S de la souche originale et de celle d’Omicron.
            Ce vaccin reste efficace contre les anciennes souches, mais, en présence du virus Omicron, il stimule la multiplication des lymphocytes B mémoire, provenant des vaccins précédents, qui subissent éventuellement une mutation pour produire des anticorps présentant une meilleure affinité pour le virus Omicron, et, de plus il stimule le production de nouveaux lymphocytes B et T sensibles à Omicron.
           Ces effets combinés confèrent en théorie aux doses de rappel faites avec un vaccin bivalent ,une meilleure protection contre Omicron que celles pratiquées avec le vaccin initial.

    Les nouveaux vaccins contre le coronavirus.(1)

    Des vaccins multi-variants.

              Les mises а jour des vaccins contre le Covid-19 auront toujours un train de retard sur les mutations du virus. Les scientifiques tentent donc de mettre au point des vaccins multi-variants capables de cibler les futurs variants du covid19, voire des coronavirus apparentés.
           Ils utilisent des régions particulières de la protéine S qui restent inchangées chez les différents variants du Covid et, en particulier la partie de la protéine S qui se lie au récepteur des cellules humaines pour permettre la pénétration du virus, dite RBD (receptor binding domain).
              Des chercheurs américains développent des vaccins « mosaïques » constitués de nanoparticules parsemées de RBD provenant du covid 19 et d’autres coronavirus de la même famille. Lorsqu’un lymphocyte B reconnaît plus d’un RBD sur ces nanoparticules mosaïques, il s’y lie fortement ce qui déclenche la multiplication de ce lymphocyte B et la production d’un plus grand nombre d’anticorps et de cellules mémoires.
             Les premiers essais cliniques devraient commencer dans les deux prochaines années.

    Les nouveaux vaccins contre le coronavirus.(1)

     Pour que vous n’ayez pas mal à la tête, je vais arrêter ici mon article et je reprendrai demain le résumé de l’article d’Ewen Callaway dans la revue « Pour la Science ,auquel j’ai emprunté les schémas, complexes, mais explicites.

     

     

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  •           Il m'arrive de publier en intermède des images d'architecture.
             J'ai trouvé sur l'internaute des escaliers originaux, et je vous en montre quelques photos.

    Evidemment on peut s'attendre à un escalier pour tout petit espace, qui tient dans 1 m2, mais c'est assez banal.

    http://lancien.cowblog.fr/images/Artarchitecture2/10208255unescalierdansunmetrecarre.jpg

    Il y en a quand même qui sont du même genre, mais plus élégants, mais je me demande à quoi sert la grosse sucette rouge ! :

    http://lancien.cowblog.fr/images/Artarchitecture2/10208264unescaliercentralelegant.jpg

    On se demande auxssi à quoi sert un escalier comme celui de cette image, en trompe l'œil, peint sur le mur !

    http://lancien.cowblog.fr/images/Artarchitecture2/10208256unescalierentrompeloeil.jpg

             D'autres escaliers n'ont que leurs marches, encastrées dans le mur, à gauche en bois, à droite  en acier :

    http://lancien.cowblog.fr/images/Architecturemaisons/10208267utiliserdesmateriauxoriginaux.jpghttp://lancien.cowblog.fr/images/Architecturemaisons/10208260unescaliersuspendu.jpg

    Certains escaliers abritent des meubles, comme cet escalier bibliothèque,

    http://lancien.cowblog.fr/images/Architecturemaisons/10208261quandlabibliothequesefonddanslescalier.jpg

    ou celui ci qui abrite un placard et un réfrigérateur.

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    Et si vous voulez voir d'élégants escaliers, en voici deux ci dessous :

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Images3/1412374125t2r.jpg

         J’ai lu, il y a quelques années des articles de chercheurs sur l’évolution des caractéristiques des humains, relativement lentes par rapport à nos vies, car résultant de l’évolution qui s’étend sur des centaines de milliers d’années. L’humain s’est séparé du singe, il y a environ 15 millions d’années, mais l’homo sapiens ne date que d’environ 130000 ans).
        Les hommes préhistoriques étaient initialement en Afrique, donc dans des pays chauds où le rayonnement ultraviolet est intense.
        L’homme qui arrivait à y vivre s’y était adapté : la mélanine protégeait sa peau et elle était de couleur très foncée. Nos grand ancêtres préhistoriques, n’en déplaise aux racistes, étaient noirs.
        Puis les populations humaines se sont déplacées vers le nord, où les UV sont moindres et par contre peuvent favoriser la synthèse de la vitamine D, nécessaire à nos os.
        Alors notre visage s’est éclairci, et les européens sont des africains qui avaient blanchi !
        Les Africains pour lutter contre la chaleur devaient beaucoup transpirer, et donc l’évolution leur a donné une surface de peau importante : ils sont grands avec de longs bras et de longues jambes.
        Les inuits qui sont dans un  pays froid peuvent, eux, survivre avec un corps et des membres courts, mais par contre, comme ils consomment des aliments riches en vitamine D, leur peau s’est moins éclaircie que celle des européens.
        Nos grands ancêtres avaient d’ailleurs une fourrure pour les protéger de la chaleur, mais c’était une gêne pour chasser et transpirer est moins contraignant.
        Les poumons des gens des pays froids, s’ils sont trop ventilés par de l’air sec et froid vont sécréter des mucus, qui favorisent les infections bactériennes; alors l’évolution les a dotés d’un nez plus étroit que les gens des pays chauds, car ceux qui étaient dotés d’un tel appendice mouraient moins et donc se reproduisaient peu à peu. davantage.

        Quand on remonte en arrière de 2 à 3 millions d’années, on constate des changement profonds, des espèces qui s’éteignent, d’autres bipèdes  à la morphologie ou au cerveau plus importants qui apparaissent peu à peu. On constate qu’ils sont liés en Afrique, à des changements climatiques profonds, notamment diminution de l’humidité et apparition de la sécheresse qui modifient l’environnement et notamment les végétaux.
        Mais ces changements ont mis plusieurs milliers d’années à s’établir.
        Chaque groupe a dû s'adapter à son environnement mais la différenciation n’a pu apparaitre que parce que les grands groupes humains étaient isolés les uns des autres et qu’ils pouvaient évoluer génétiquement chacun de leur côté, l'absence de brassage génétique aidant à la création de nouvelles espèces.

        Puis un événement d’organisation de la vie est intervenu : la survie par la chasse et la cueillette étant dépendante de beaucoup d'éléments extérieurs, les famines pouvaient arriver rapidement, ce qui régulait la population humaine.
        La naissance de l'agriculture et de l’élevage a permis un meilleur contrôle de l'apport en nourriture par rapport à la chasse et à la cueillette, avec plus de facilité pour créer des réserves de nourriture, et les périodes de famines sont devenues moins nombreuses, provoquant une augmentation rapide de la population humaine    
        Cette évolution a entraîné des mouvements migratoires à la recherche de terres cultivables, qui ont permis de rétablir les contacts entre les populations humaines, et un brassage génétique fatal à tout évolution importante.
        Depuis cette période, l'humanité à peu évolué.
        Mais là encore il a fallu des milliers d’années.

        Aujourd’hui, l’activité humaine risque de provoquer un changement climatique important en 100 ans, un réchauffement à certains endroit, mais plus ou moins fort, provoquant aridité ou au contraire une humidité plus forte.
    `    Je ne sais pas si vous êtes à l’aise avec 42 d°C extérieur, mais moi j’ai l’impression d’étouffer et même avec seulement 30 ou 32 d° la nuit, je dors très mal.
        Je crois fort que l’ évolution de température moyenne soit supérieure à 2d°C et là encore il faudrait nous adapter.
         Mais il s’agir d’un temps très court et de plus le brassage génétique est presque universel.
        Il ne faut donc pas compter sur l’évolution !

        Alors je crois qu’on ferait bien d’accroître nos recherches sur l’évolution des plantes et des animaux et d’examiner comment nous pourrons faire face, d’une part par notre habitat, d’autre part en fonction de l’évolution environnante des espèces animales et végétales, afin de pouvoir survivre dans les meilleures conditions et sans que la vie ne devienne un enfer. Nous n’avons que 30 à 60 ans pour trouver les solutions.

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