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    La personnalité des chats

               Vous avez dû voir que j’ai fait sur mon blog de nombreux articles sur la personnalité et les préférences cérébrales. Il s’agit, bien sûr des humains.

               Mais, si vous aller sur internet et que vous tapez  « chats, 12 types » vous trouverez des articles qui vous expliquent, avec des caricatures marrantes, que les chats peuvent avoir 12 types psychologiques : deux fois plus que le « big five » ou le MBTI  lol

               Ce n’est évidemment pas une étude sérieuse de psychologie, mais c’est assez bien observé et puis les caricatures sont marrantes.

               Je me contente de les reproduire, six dans cet article et six autres demain

    Le chat qui court après tous les fils et qui détricote votre ouvrage ou votre pull ...
    La personnalité des chats
















    Le chat maléfique qui fait tellement peur qu'on ose à peine le regarder...


    La personnalité des chats

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le chat vagabond et clochard, qui renter tard le soir dans un  état lamentable, avec une souris dans la gueule qu'il vous offre gentiment qu'il vous offre gentiment..... avant que vous n'alliez le laver !!
    La personnalité des chats











     

    Le chat gazomètre : vite aux masques...

    La personnalité des chats
















    Le chapelé (sans t !) qui est tout nu et a froid. Il nous fait pitié....      


    La personnalité des chats












     

     

     


    Le gros chat affamé, qui mange tout et tout le temps, à s'en rendre malade..
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    La personnalité des chats

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Prefcerebrales/1078081reussirlestestsdepersonnalite.jpg

          La plupart de ceux qui ont cherché du travail ont passé un test de recrutement qui s’appelle le « SOSIE », et ceux qui ont lu mes articles sur les préférences cérébrales se  demandent sans doute la différence par rapport au Big five ou au MBTI (dont sont dérivées mes idées sur les préférences cérébrales).
          Je vais essayer de  répondre à cette question.

          Le Big five décrit la personnalité par 5 traits principaux; le MBTI teste 4 traits des préférences cérébrales (j’en ai rajouté 4 autres en m’inspirant du big five et d’études américaines). L’un comme l’autre décrivent essentiellement la personnalité au travers de tests comportant une centaine de questions.  Personnellement, je ne me fie pas trop au test et je compte beaucoup plus sur une réflexion personnelle en collaboration avec la personne intéressée.
          L’un comme l’autre sont très utilisés aux USA (plus de 100 000 par an) et ont donc une certaine fiabilité. Ils ne demandent pas de grandes connaissances en psychologie, mais simplement une formation et une habitude de les utiliser.

         Un test assez utilisé en recrutement était le 16PF, issu des études de Gordon, qui testait 16 traits de personnalité qui se rapportaient comme le big five à cinq dimensions de personnalité. Son interprétation était plus difficile. Les questions étaient davantage orientées vers la vie courante et pouvaient donner lieu à des biais du fait que la personne testée pouvait orienter ses réponses.
          Un autre test est assez connu, le SIGMUND, (malgré son nom guère de rapport avec Freud), destiné plutôt au recrutement des commerciaux. Il évalue 38 trais de personnalité regroupées en 3 grandes classes : vie professionnelle, personnelle et sociale.
    On le passe sur ordinateur et c’est relativement long (450 questions en un temps limité chacune).
    Les réponses que l’on fait sont spontanées et quelquefois inconscientes. Il est intéressant, mais assez indiscret et délicat à interpréter, malgré l’aide de la machine dans laquelle on rentre un profil de poste. Par contre une fonction utile : en principe le test prévoit une autoévaluation de la personne à titre de comparaison et confirmation, discutée au cours d’un entretien.
         Un dernier test qui a été très utilisé en entreprise est le PAPI. Il analyse 10 besoins et 10 rôles professionnels regroupés en 7 facteurs. Il est très orienté vers le recrutement.

          J’ai eu l’occasion de pratiquer ces divers tests avec des collaboratrices psys du service des relations humaines, mais dans un but qui n’était pas le recrutement, mais l’amélioration de la composition des équipes de techniciens et d’ingénieurs et finalement ce sont les préférences cérébrales et le MBTI, qui nous avaient donné le meilleur résultat et qui est le plus abordable pour faire participer des personnes non spécialisées en psychologie.

          Mais pour le recrutement nous utilisions SOSIE, qui se composait de 98 groupes de questions dans lesquelles on devait choisir entre 3 ou 4 affirmations et nous en étions très contents. J'avis suivi une formation d'initiation et mes psys une formation approfondie.
          Contrairement aux autres systèmes son but n’est pas de rechercher uniquement des traits de personnalité, (au nombre de 8), mais aussi des « valeurs », des comportements de la personne, (au nombre de 12, dont six personnelles et six interpersonnelles, intervenant dans les relations humaines.    
          Ces aspects clés sont énumérés dans le schéma ci-dessous.
    Sosie permet donc de mieux cerner le comportement des personnes qui le passent, et notamment leurs réactions dans certaines situations, et notamment les motivations qui peuvent les guider.
          Mais son interprétation est difficile et ne peut être faite que par des personnes formées à ce test et ayant une certaine connaissance de la psychologie comportementale.

    http://lancien.cowblog.fr/images/Prefcerebrales/Sosie.jpg 

         Pour aider le dépouillement des tests, le logiciel associé fournit deux rapports destinés à mettre en lumière les points forts et faibles soit dans des postes de management, soit dans des postes commerciaux.   
          Au-delà de leurs compétences techniques, la réussite des manageurs dans leur fonction repose sur des compétences comportementales et Sosie en évalue huit, par corrélation entre les 20 traits de la figure, mesurés par le test :
            - Vision stratégique
            - Esprit d'entreprise
            - Ouverture au changement
            - Capacité à motiver
            - 0rganisation/Rigueur
            - Gestion d'équipe
            - Communication
            - Ressources personnelles.
           Pour les commerciaux, au-delà de la connaissance des produits et d'un marché, d'un discours et de techniques de ventes, l'aptitude à la vente est déterminée par des critères clés de personnalité et des valeurs qu'il est nécessaire d’évaluer, ce que fait Sosie sous forme de huit compétences :
            - Autonomie/Energie
            - Assurance/Confiance en soi
            - Combativité/Persuasion
            - Adaptabilité
            - Capacités relationnelles
            - Capacité d'écoute/Compréhension
            - Tolérance à la frustration/ContrÔle de soi
            - 0rganisation/Rigueur.
          Sosie est très utilisé car c’est un outil très complet et performant, mais c’est un outil de spécialistes du recrutement et de la gestion des ressources humaines.
          C’est un outil fermé dont le « fabricant » ne dévoile pas en détail le fonctionnement interne, et seuls des spécialistes psys peuvent comprendre en partie son fonctionnement grâce à une formation assez longue et onéreuse.
          On ne peut pas faire collaborer les personnes qui le subissent dans la rechercher de leur personnalité et de leur comportement. On peut juste leur commenter les résultats si on a été formé à cette tâche.
         En définitive, Sosie est un excellent outil, mais réservé à des spécialistes ayant une formation sur ce produit et des connaissances en psychologie, au moins en ce qui concerne les problèmes de personnalité et d'aptitudes.

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Images2-1/133817186576.jpghttp://lancien.cowblog.fr/images/Images2-1/timide.jpg
     
       Parmi les jeunes que je connais, beaucoup sont timides, surtout les filles. C’est normal, on n’a pas encore une expérience suffisante de la vie, et donc on n’a pas encore l’habitude d’évoluer en public, et l’on manque de confiance en soi.
        Par ailleurs, si ceux qui ne le sont pas sont en général extravertis, les introvertis, s’ils réfléchissent plus dans leur cerveau, ont moins tendance à s’exprimer et sont, ou paraissent, plus timides.
        Mais tous les introvertis ne sont pas timides et il y a aussi des extravertis qui le sont.
        La timidité intéresse donc psychologues et neurobiologistes, qui ont cherché à savoir si on pouvait déceler une particularité du cerveau.

        Elliot Beaton de l’université de Sacramento a fait passer des test à une centaine d’étudiants pour retenir les 12 plus et les 12 moins timides, et leurs faire faire diverses tâches tandis que leur cerveau était examiné en IRM, pour savoir comment il réagissait et où.
        Ils ont montré que le cerveau des timides etait très réactif, plus que celui des non-timides, mais que, de ce fait, il avait tendance à trop réagir, lorsqu’il se trouvait dans une situation inhabituelle et/ou non prévue.
         Lors de ces tests, on ne constatait pas chez les timides, d’aire cérébrale moins active que chez les non-timides, mais par contre certaines aires étaient nettement plus active, notamment les centres amygdaliens (qui régissent à la crainte et à la peur, voire le stress), le cortex médian (en situation de tristesse ou d’observation de quelqu’un triste), le cortex préfrontal inférieur et l’insula pour les situations de joie.
        Il semble que le timide réagisse de façon plus importante aux émotions.
    http://lancien.cowblog.fr/images/Cerveau3/insulatimides.jpg
        Il est difficile de savoir quelle est l’origine de cette timidité.
        Les études systématiques des maladies montrent que, dans le cas des timidité extrêmement fortes, comme les phobies, il y a une composante génétique, que l’on peut notamment observer chez de vrais jumeaux.
        Mais pour les cas plus bénins, l’environnement familial et celui des camarades joue aussi un rôle important. Les parents timides  ont un comportement qui favorise la timidité de l’enfant, et le groupe de camarades  peut avoir aussi une influence (qui peut aller jusqu’au harcèlement de leur camarade timide dans certains cas, ce qui renforce ses craintes, voire peut le traumatiser).

        Je sais que c’est parfois gênant d'être timide, de ne pas oser s’exprimer, d’avoir peur de rougir, de bafouiller ou de se sentir un peu perdu dans une soirée ou une réunion.
        Mais il faut vous dire que cette timidité vous gêne beaucoup plus qu’elle ne gêne les autres, qui la remarquent peu.
        La timidité n’est pas un défaut, et vous serez beaucoup plus apprécié(e), étant timide, qu’un extraverti qui n’a pas ce frein, qui tutoie tout le monde, vous tape sur l’épaule même s’il ne vous connaît pas, et soule ses interlocuteurs de ses récits de moulin à parole. Au moins, vous, vous avez une certaine réserve et vous n’embêtez pas votre voisin.!

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  •    Pour faire le tour des préférences cérébrales et leur influence sur l’entente dans un couple, il nous reste à voir les préférences de fonctionnement : perception et décision.
        Ce sont celles pour lesquelles les préférences opposées ne sont pas forcément un obstacle.

                Perception : sensitive et globale (S/G) :

        Certains d'entre nous, que j'appellerai “sensitifs”, ont un mécanisme de prise d'information et de perception séquentiel utilisant pas à pas, nos cinq sens. Ce sont de bons observateurs, de bons analystes, concrets, factuels, pragmatiques effectuant des essais et utilisant le langage pour décrire ce qu'ils constatent.
        Ils sont à l'aise dans le passé et le présent, mais en général n'aiment pas faire des prévisions.
        Ils ont peu d'imagination, de créativité , d'inspiration,  d'intuition et ne s'y fient pas.

        D'autres parmi nous, que j'appellerai “globaux, ont un mécanisme de prise d'information et de perception global et plus intuitif, qui utilise aussi nos sens, mais davantage sous forme d'images, de scènes, de compréhension des situations et des phénomènes. Moins bons observateurs, moins concrets, ils admettent l'abstraction et sont sensibles aux schémas, images et théories.
        Ils sont plus imaginatifs et moins fiables sur la réalité des faits, mais au plan des idées sont capables de synthèse et de modélisation.
            Ayant beaucoup de curiosité intellectuelle et de créativité, ils sont plutôt orientés vers l'avenir et vers les projets.
       
        Avoir les mêmes préférences dans un couple permettra de prendre l’information de le même façon, donc probablement les mêmes informations sur un sujet donné, donc de mieux se comprendre; d’être tourné de la même façon vers le présent et le concret ou vers le futur et la créativité.C’est donc avoir l’impression d’être plus fusionnels.
        Par contre si l’on a les mêmes informations, on apporte moins à l’autre et certaines informations échappent aux deux partenaires. S’ils avaient été de préférences différentes, leurs prises de renseignements feraient l’objet de perceptions différentes et donc se complèteraient. A l‘un l'examen minutieux et détaillé pas à pas, dans le présent et le passé, à l’autre la synthèse, les explications globales la créativité et la prévisions du futur. Donc c'est une force..
        Il faudrait toutefois qu’il y ait communication, échange et donc tolérance et respect de l’autre, car si au contraire chacun défend sa façon de voir les choses, vous allez vous disputer !

    http://lancien.cowblog.fr/images/Prefcerebrales/3475769.png

                 Perception émotionnelle immédiate (A/O) :

        Il existe une autre sorte de perception, une "perception immédiate, émotionnelle". (j'en ai déjà parlé dans l' articles du 04/11/2018).
    Il est sûrement arrivé à beaucoup d'entre vous
     de voir une photo, ou des images d'un film, ou d'entendre une musique, de lire un passage d'un roman ou d'une lettre et tout à coup de vous sentir très ému(e), les larmes aux yeux et cela sans presque savoir pourquoi.
        C'est ce que l'on appelle une “perception émotionnelle immédiate”.
        Le plus souvent c'est une réaction altruiste, vis à vis d'autres personnes, ou de nous même (qui nous apparaît alors comme une personne extérieure).
        Tous n'ont pas la même sensibilité : certaines personnes sont extrêmement sensibles, d'autres paraissent plus froides s'orientant vite vers la perception orientée et raisonnée.

        Venons en à vous et votre petit ami :
        Si vous êtres tous les deux de même sensibilité, vous percevrez à l'unisson, ou de grandes émotions, ou de façon raisonnée.
        Mais si les préférences du couple sont différentes, elle par exemple “A” et lui “O”, certes vous ne vous disputerez pas pour cela, mais il y aura une certaine incompréhension entre vous.
        Il ne comprendra pas vos émotions, encore moins vous larmes, vous traitera de “femme trop sensible”, alors que vous le traiterez "d’homme froid et insensible aux émotions"
        Et si vous êtes dans la tristesse et stressée, il risque de fortement sous-estimer votre état et de ne pas vous soutenir suffisamment, car lui le sera beaucoup moins.
        J'ai été de nombreuses fois témoin de telles divergences.

                Décision : logique ou valeurs (L/V) :

        Lorsque l’on prend une décision, lorsque l’on fait un choix, le cerveau utilise préférentiellement certains mécanismes, certains critères.
        Deux processus sont utilisés, tous deux étant rationnels, mais différent par les critères de choix utilisés :
        - les critères sont ceux d'une logique impersonnelle (L) : ce sont des principes objectifs, des lois, des règles, une analyse critique et logique; on se pose en juge et on décide “avec la tête”, plutôt en “spectateur”.
    On réfléchit avant de décider, aux avantages et aux inconvénients de son choix.
           - les critères sont ceux de valeurs altruistes (V) : la décision est plus subjective et humanitaire; c'est le monde de l'empathie, de l'intimité, de la chaleur humaine et de la persuasion; on se pose en avocat, et on décide “avec le coeur”, plutôt en “participant”.
    On décide spontanément en fonction de ses goûts et de ses opinions.

        Avoir les mêmes préférences permettra de discuter des décisions à prendre avec les mêmes processus, les mêmes critères, d’aboutir à des décisions voisines et donc de mieux s’entendre. Mais ce sera évidemment plus difficile si vous êtres tous les deux V mais que vous n’avez pas les mêmes valeurs ni mes mêmes goûts.
        Mais, comme pour la perception, il y aura alors une même approche, alors que si les préférences de décision avaient été différentes, les critères l’aurait été aussi. A condition de communiquer et de ne pas s’oppose,r la décision aurait été mieux préparée avec plus de chances de réussite, chacun apportant des éléments que l'autre n'a pas vu.
        L’un apporte sa logique et l’autre son altruisme et le sens des valeurs.
       

    http://lancien.cowblog.fr/images/Prefcerebrales/3476639.png

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  •       Je reprend l'examen de l'influence des préférences cérébrales su l'entente dan un couple.
          Autres préférences qui orientent nos comportements : la résistance au stress avec notamment l’optimisme et le pessimisme,  l’intolérance et l’influençabilité par rapport à l'indépendance d’esprit.

        Comment influent elles sur l’entente dans un couple.?
        Comme pour les autres préférences, les problèmes vont surtout être présents si ces préférences sont de forte intensité, alors que, lorsqu’elles sont de faible importance, on peut plus facilement manier aussi l’attitude opposée.

    http://lancien.cowblog.fr/images/Prefcerebrales/Tolerance.jpg    Pour l’intolérance c’est assez simple :
        Si les deux personnes sont tolérantes, il est évident qu’elles feront effort pour se comprendre et supporter les opinions divergentes de l’autre.
        Si les deux personnes sont intolérantes, si elles ont les mêmes idées tout va bien, mais si elles sont d’avis opposés, c’est la polémique et la guerre.
        Le cas ou l’une est intolérante et l’autre tolérante est plus intéressant. il est certain que le personne tolérante subit les idées de l’autre. Là encore si leurs idées et leurs goûts concordent, tout va bien. Sinon, elle se révolte ou elle se soumet, mais c’est éprouvant. Alors soit elle tient assez à l’autre pour accepter cette situation, soit à force de subir, la fatigue et la lassitude viennent et la rupture est proche.

    http://lancien.cowblog.fr/images/Prefcerebrales/Schemastresssouspref.png
        Pour l’optimisme pessimisme, la question est plus complexe, car elle dépend beaucoup de l’influence et la confiance mutuelle entre les deux personnes, de la force et du caractère plus ou moins chronique de leur optimisme ou pessimisme, de leur sensibilité et de leur altruisme, de leur écoute mutuelle et de leur volonté d’aider l’autre, de la qualité aussi de leur raisonnement et de leur pragmatisme.
        Si les deux personnes sont optimistes elles verront la vie en rose ensemble,et tout ira bien sauf si elles sont tellement peu réalistes qu’elles ne voient pas arriver les difficultés, baignant dans leur euphorie
        Si les deux personnes sont pessimistes, elles risquent de s’entendre et d’être d’accord, mais la vie ne sera pas belle pour elles et l’avenir souvent sombre; il faudrait que l’une deux puisse remonter le moral de l’autre quand elle est dans la période sombre.
        Si l’une est optimiste et l’autre pessimiste, il faudrait qu’elles communiquent suffisamment pour que l’optimiste atténue les idées sombre de la personne pessimiste, ses remords et ses regrets et lui communique une certaine joie, voire un certain humour, et que la pessimiste atténue les vues trop béates et utopiques de l’optimiste. Cet équilibre peut apporter une vie agréable et une bonne entente.

    http://lancien.cowblog.fr/images/Prefcerebrales/influencedesautres.jpg
        Pour l’influençabilité/ indépendance d’esprit, l’entente dans le couple dépend beaucoup de l’environnement et de l’esprit de tolérance des partenaires. Il faut par ailleurs examiner de plus près les sous-préférences.
        En général les personnes indépendantes d’esprit s’entendent assez bien entre elles, mais à condition d’avoir des idées assez voisines et d’être tolérantes. Le fait qu’on soit indépendant d’esprit, fait en général admettre que quelqu’un d’autre le soit avec des points de vues différents.
        La sensibilité au jugement d’autrui et la sensibilité à la mode, aux usages et à l’appartenance à un groupe sont importants pour les personnes influençables. C’est une source d’incompréhension pour les personnes indépendantes d’esprit et donc de divergence d’idées et de conflits.
        Si les deux personnes sont influençables et renforcent mutuellement leur préférence, ce souci de l’opinion d’autrui peut devenir un véritable calvaire pour le couple.
        L’appartenance à des groupes différents peut également être source de disputes.
        Un autre aspect est l’influence mutuelle de l’un sur l’autre. La personne influençable aura tendance à adopter les idées de celle indépendante d’esprit, ce qui peut soit augmenter leur complicité, soit provoquer un manque de confiance en elle, de la personne dépendante.
        A l’inverse,deux personnes indépendantes d’esprit peuvent avoir l’impression que leur couple manque de fusionnement.

        Nous sommes dans un domaine d’entente du couple différent de celui des précédents articles où l’on traitait les préférences E/I et J/P.
        Dans ces derniers cas il s’agissait de mode de vie commune et l’entente de personnes de préférences contraires apparaissait plus délicate.
        Dans le cas des trois types que nous avons traités dan cet article, il s’agit d’idées de conceptions, d’adhésion, ou de représentations, donc de notions plus intellectuellees. Il est donc plus facile d’arriver à des compromis si l’on sait écouter l’autre, essayer de le comprendre et d’aller vers lui.

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