• Les cerveaux des introvertis et des extravertis fonctionnent différemment.

               Je vous ai souvent parlé des préférences cérébrales et notamment des différences entre introvertis et extravertis sur le plan du comportement.
               Certes l’éducation des parents, l’instruction ensuite, puis l’expérience de la vie, façonnent ces préférences cérébrales et les font en partie évoluer. Sir Arthur Conan Doyle a dit un jour que le cerveau est comme un grenier qu’il faut aménager soi-même,
               Mais les préférences cérébrales sont au départ innées et on ne peut les changer complètement, car elles correspondent à des conformations de notre cerveau.
               C’est toutefois difficile à préciser, car il s’agit de comportements et donc cela met en oeuvre tout le cerveau. 
              Nous allons essayer de réfléchir aux différences entre extraverti et introverti, mais sans toutefois oublier que l’on est très rarement à 100% l’un ou l’autre, mais un mélange des deux, avec une prédominance pour sa préférence innée.

            Les personnalités extraverties ont besoin de communiquer, de voir autrui, elles aiment les nouveautés, prendre des risques, faire la fête. C’est le circuit de la récompense et du plaisir qui intervient avec pour neurotransmetteur la dopamine.
           Les introvertis préfèrent les situations calmes où il peut réfléchir et même s’il reste sociable, il n’a qu’un besoin réduit d’expériences stimulantes.
           Ils sont beaucoup plus sensibles à la dopamine que les extravertis. Un niveau très bas suffit pour qu’ils se sentent bien et soient motivés. Au contraire, s’il y a un excès de stimulation, l’introverti ressentira du stress et de l’anxiété et leurs centres amygdaliens feront secréter du cortisol.

             Extravertis comme introvertis utilisent nos deux réseaux autonomes de transmission nerveuse spontanée, l’ortho et le parasympathique. 
            L’orthosympathique accélère le fonctionnement des organes. Il intervient dans l’action, l’excitation, la fuite, le combat. Son neurotransmetteur est l’adrénaline.

           Le parasympathique ralentit le fonctionnement des organes; il intervient dans la relaxation, le repos, la tranquillité. Son neurotransmetteur est l’acétylcholine.
           Les extravertis sont plus sensibles à l’adrénaline et les introvertis à l’acétylcholine.

            Le cerveau d’un introverti fonctionne différemment : il est plus lent, plus réfléchi, plus prudent; sa façon de traiter l’environnement suit un rythme différent,
           L’extraverti réfléchit moins avant de répondre ou de s’engager et il est plus spontané.
           Son cerveau est plus rapide, car il réagit plus inconsciemment.
           L’extraverti peut donc répondre avec essentiellement l’intervention de son cerveau émotionnel.
           Pour l’introverti, le chemin est plus complexe : son cortex préfrontal va réfléchir et coordonné. L’hippocampe va chercher des souvenirs analogues pour comparer à la situation actuelle. L’insula va le renseigner sur la signification de ses émotions et évaluer la situation en ce qui concerne l’empathie. L’aire de Broca va réguler l’expression orale.

            Enfin l’introverti est plus sensible en matière de détection d’erreur, opération qui intervient selon un processus décrit dans le schéma ci-dessous.

    Les cerveaux des introvertis et des extravertis fonctionnent différemment.

             

     

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  • Pessimistes, tout n'est pas perdu.
         Je connais beaucoup de personnes qui ont une préférence cérébrale “pessimiste” très marquée. Cela semble être aujourd’hui une orientation fréquente chez les jeunes.

        Elles ont tendance à voir plutôt le “verre à motié vide” que le “verre à moitié plein” et donc à voir plutôt le mauvais côté des choses plutôt que les avantages de la situation.
        Elles amplifient tous les ennuis au delà de leur portée réelle raisonnable, et sont donc soucieuses et stressées, au lieu d’essayer d’être gaies et sereines.   
        Elles sont tournées vers le passé, ayant beaucoup de regrets de ce qu’elles n’ont pas su faire et de remords de ce qu’elles ont fait insuffisamment bien à leurs yeux.
        Lorsqu’elles traversent une crise, le retour à la normale et au rationnel est lent et difficile.
        Bref elles n’ont pas confiance en elles et sont perpétuellement inquiètes.

        Il faut savoir que c’est d’abord une orientation innée, qui vient du fonctionnement de son cerveau.
        Entre le cerveau émotionnel et le cortex qui réfléchit et anticipe les événements, existent deux circuits de transfert des émotions.
        Un réseau “positif”, qui relie le cortex préfrontal (qui entre autres prévoit et évalue les conséquences de nos actes et intervient rationnellement dans la régulation de notre psychisme) et un petit “centre du plaisir”, le noyau accumbens, qui suscite de “bonnes sensations”
        Un réseau négatif qui relie également le cortex préfrontal , mais aux centres amygdaliens qui interviennent dans la peur, l’angoisse, la colère...
        Devant des images, des écrits ou paroles,des événements, des sensations choquantes ou angoissantes, l’information passe par les deux circuits, mais l’un d’entre eux est davantage activé : le réseau positif pour les optimistes, le réseau négatif pour les pessimistes.
        Donc on nait plutôt optimiste ou pessimiste.

        Mais notre éducation et notre instruction influent fortement sur cette orientation originelle.
        L’éducation et le comportement des parents d’abord.
        Un enfant a besoin d’être aimé, consolé, encouragé, aidé quand il a des problèmes. Des parents qui ont une éducation purement répressive, critiquant sans cesse et punissant leur enfant à la moindre péccadille, vont détruire sa confiance en lui et lui donner un stress permanent qui risque de faire progresser fortement le réseau négatif.
        Le parcours scolaire et supérieur ensuite.
        Apprendre à maîtriser ses émotions passe d’une part par une connaissance et une appréciation de celles-ci, que la communication avec autrui et la lecture (ou le spectacle) d’épisodes de vie, ensei-gnent peu à peu, à coté de son expérience personnelle.
        Cette maîtrise passe aussi par le contrôle du cortex frontal qui réfléchit et anticipe sur le cerveau émotionnel, qui lui, reste très subjectif. En particulier, je vous l’ai déjà dit dans d'autres articles, les pensées tristes ont tendance à “tourner en rond” dans le cerveau émotionnel et “à chaque tour”, les centres amygdaliens rajoutent leur réaction négative (on appelle cela le circuit de Papez).
        Une instruction qui développe le rationnel et la logique, (scientifique en particulier), augmente donc les capacités du cortex à réagir dans une analyse objective des situations et des émotions.
        J’ai remarqué que les élèves de S et surtout de prépas scientifiques, réagissent souvent de façon plus optimiste que ceux des classes de L et de prépas littéraires. Cela dit ma statistique n’est pas assez nombreuse.

        Mais on peut diminuer un optimisme trop exagéré qui nous masque les difficultés et surtout un pessimisme qui empoisonne notre vie, par l’angoisse qu’il engendre.
        Pour lutter contre le pessimisme, il faut essayer de privilégier le circuit “positif” et d’empêcher les pensées tristes de tourner en rond dans notre cerveau émotionnel, sans communication avec le cortex.
        Ce n’est pas facile certes, même pour ceux de préférence cérébrale de décision “logique L” et à fortiori pour ceux qui font leurs choix de façon subjective en fonction de leurs valeurs et de leurs goûts (préférence “valeur V”).
        La première chose c’est de ne pas se laisser aller dans ces pensées tristes et négatives, mais de forcer le cortex à intervenir, en essayant d’analyser logiquement rationnellement, objectivement situations et émotions, en se forçant à recenser les bons cotés, les avantages présents et futurs.
        Peu à peu l’exercice va activer davantage le circuit positif et il faudra l’exercer en se forçant à voir “le verre à moitié plein”.
        Il faut ensuite se forcer à ne plus penser au passé et changer de sujet de pensée, chaque fois que l’on pense à un regret ou un remord. Il faut tirer les leçons du passé mais tourner ensuite la page. Il faut se forcer à se tourner vers l’avenir et vers l’espoir.
        Enfin comme je vous l’ai déjà dit souvent, il faut bannir tout environnement triste : écrits, images, lectures, l’apologie de la violence, du sang et de la mort.

        Un très fort pessimiste ne deviendra pas un grand optimiste, mais il pourra dompter la plupart de ses tristesses et de ses angoisses. Il faut qu’il sache que le bonheur est fait d’une part de l’absence de gros soucis et d’autre part de toutes les petites joies de tous les jours; on en a tous, mais encore faut il les voir, les reconnaître, et les apprécier.

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  • Les personnalités difficiles (2)


       Suite des personnalités limites et difficiles, d’après l’Association américaine de psychiatrie et un  article de Jean-Pierre Rolland, docteur en psychologie et professeur à l’université de Paris Nanterre La Défense (voir l’article d’hier).

    La personnalité dite « dépendante » :

        Les personnes dépendantes n’ont aucune confiance en elles, pensent qu’elles ne peuvent s’en sortir sans être aidées et ont donc besoin d’être prises en charge, soutenues et rassurées.
        Elles ont toujours peur d’être abandonnées et réagissent violemment si elles croient devoir se débrouiller seules.
        Elles ont beaucoup de difficultés à prendre des décisions, voire même à rassembler les éléments d’information nécessaires. Elles ne peuvent pas exprimer une opposition ou un désaccord et préfèrent accepter des décisions d’autrui qu’elles jugent mauvaises. Elles considèrent les désaccords et les critiques comme des preuves de leur incompétence.
        Elles sont très influençables et peuvent se laisser manipuler, dominer et tromper par quelqu’un qui va s’occuper d’elles et soi-disant les aider.
        Les situations où elles doivent agir seules sont une grande source de stress, et leurs relations avec les autres se limitent le plus souvent aux personnes qui les aident ou dont elles dépendent.

    La personnalité dite « schizotypique» :

        Les personnes de ce type sont excentriques, étranges, se comportent de façon différente et sont maladroites et gênées dans leurs relations avec autrui, ne sachant souvent pas interpréter correctement les signes habituels de communication, et en utilisent d’autres elles mêmes.
        Elles ont un mauvais jugement et leur interprétation fausse d’événements importants, les entraîne dans des situations difficiles. Elles attachent une importance anormale à certains événements ou messages et peuvent avoir l’impression de disposer de « pouvoirs », qui leur permettrait de prévoir l'avenir ou d’agir sur les autres.
        En fait, mal à l’aise dans leurs relations, elles ont tendance à éviter les autres.

    La personnalité dite « obsessionnelle compulsive » :

         Ce sont des personnes qui, si on se réfère aux préférences cérébrales, sont très excessivement SJ. Elles veulent tout contrôler et attachent trop d’importance à l’ordre, aux règles, aux procédures, aux emplois du temps, au détriment de l’objectif qu’elles perdent de vue et se perdent dans les détails sans vue d’ensemble. Elles perdent beaucoup de temps à vouloir améliorer situations et procédures.
        Ces obsessions se retrouvent dans leur système de valeurs extrêmement rigides et qu’elles veulent en général imposer aux autres.
        Elles ne font confiance qu’à elles mêmes et donc n’écoutent pas et ne délèguent pas, car elles veulent que tout soit fait à leur manière. Elles ont du mal à s’adapter et à prendre des décisions dans les cas qu’elles n’ont pas prévus.
        Leurs relations avec autrui sont dénuées d’empathie : les autres sont des instruments pour faire avancer leurs problèmes à elles et ces personnes sont le plus souvent autoritaires, tatillonnes, et peu compréhensives.

    La personnalité dite « borderline » :


        Elle est caractérisé par une très mauvaise image de soi, non seulement un manque de confiance en soi, mais une insatisfaction sur son être, tant physique que psychique, et une instabilité des émotions, mais aussi des relations humaines, et dans l’attitude vis à vis des événements.
        Les personnes sont tantôt optimistes, tantôt pessimistes, passent de la joie et l’euphorie, à la tristesse et l’anxiété, et passent facilement de l’amour à la haine, de l’amitié à l’hostilité, de l’exaltation à la dépression.
        Elles contrôlent mal leurs émotions, et sont sujettes à des pulsions qui apportent ensuite regrets et remords.
        Leurs jugements sont à l’emporte-pièce, leur vision de la vie en noir ou blanc et elles passent rapidement d’un point de vue à celui opposé, ce qui les rend déroutantes et difficiles à prévoir et à comprendre.
        Elles ont une image négative d’elle mêmes qui les empêche de réussir, les fait abandonner trop tôt et brutalement une action pourtant réalisable, et elles peuvent se sentir abandonnées de tous.

    La personnalité dite « paranoïaque » :


        Les personnes de ce type, sont excessivement méfiantes et soupçonneuses vis à vis des autres, et pensent en permanence et sans raison, que l’on veut leur nuire, les tromper, les exploiter, et qu’on leur en veut.
        Elles sont peu communicatives de peur de donner des informations qui pourraient se retourner contre elles, et ont peu de relations, car elles ont peur des attaques, menaces, reproches et humiliations, qu’elles ressentent à propos d’événements anodins. Elles sont de ce fait rancunières, réagissant avec colère et brutalité.
        Elles ne savent pas se remettre en cause, considèrent qu’elles ont toujours raison et sont donc autoritaires et peu sensibles.

        Voici donc les personnalités excessives que décrivait Pierre Rolland dans son article. Il ne faut pas, comme pour les préférences cérébrales chercher à se classer et classer les autres dans ces types. Ils sont en effet exceptionnels et constituent des outrances des personnalités normales, mais en deça cependant des maladies mentales.

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  • Les personnalités difficiles (1)

       J’ai lu un article extrêmement intéressant de Jean-Pierre Rolland, docteur en psychologie et professeur à l’université de Paris Nanterre La Défense où ilest directeur de recherches, sur les « personnalités difficiles », à la limite de troubles.
        Je vais essayer de vous le résumer, mais il me faudra deux articles, car il en cite une dizaine.
        Ces descriptions qui donnent certaines caractéristiques-repères sont tirées de modèles développés par l’Association américaine de psychiatrie.

        Aujourd’hui je citerai cinq exagérations de l’extraversion et de l’introversion.

    La personnalité dite « histrionique » :
    (l’histrion était un acteur de théâtre en Etrurie, ensuite imité par les Romains).

        Ce sont des personnes qui ne peuvent se passer de l’attention d’autrui, et sont prêtes à tout faire pour qu’on les remarque, avec une propension à la mise en scène théâtrale.
        Si elles sont tant soit peu à l’écart, et ne forcent pas l’attention, elles se croient délaissées et au bord de la dépression.
        Elles ont donc besoin d’impressionner autrui et ont tendance à l’exagération aussi bien dans leur aspect physique que dans leurs sentiments et émotions.
        Les relations avec les autres sont superficielles, oscillant entre le charme et la séduction, afin de se faire aimer et admirer et l’amertume, la tristesse et l’irritabilité, lorsqu’elles ne sont pas arrivées à impressionner autrui.
        La première impression qu’elles donnet est bonne, mais l’outrance de leurs émotions et de leur comportement finit par embarrasser et par indisposer. Les relations qu’elles entretiennent sont donc en général peu profondes et brèves, car trop variables.

    La personnalité dite « évitante »
    :


        Ce sont des personnes timides qui n’ont pas confiance en elles et craignent donc le jugement d’autrui qu’elles cherchent à éviter, Elles fuient donc les relations ainsi que les situations qui peuvent engendrer un jugement ou qui attire l’attention : responsabilité, poste en vue, conflits… et elles évitent de donner leur avis ou de décider dès qu’il y a un risque; elles se dérobent pour ne pas avoir à faire face à des situations qui les confrontent aux autres. Ne se sentant jamais capables, elles ne s’impliquent pas dans les projets, les actes ou mêmes les relations humaines.

    La personnalité dite « anti-sociale » :

        Ce sont des personnes qui considèrent que les règles sociales s’appliquent à ceux qui les acceptent, mais qu’elles sont une contrainte trop forte pour qu’elles s’y conforment.
        Elles sont en manque de repères et ne respectent pas les autres.
        Elles peuvent prendre des risques importants et sans intérêt, et franchir des limites dommageables. C’est pour elles un besoin, un attrait, la recherche de la poussée d’adrénaline.
        Elles peuvent être manipulatrices, dissimulatrices et mensongères, n’ayant pas de scrupules à tromper autrui.
        Elles ne savent pas tirer de leçon des échec et les sanctions ont peu de prise sur elles car elles n’en comprennent pas les raisons, les lois n’existant pas pour elles.
        Elles ne se sentent pas coupables et n’ont ni remords ni regrets.
        Elles peuvent à l’extrême, arriver au refus de la société et à l’anarchie.

    La personnalité dite « narcissique » :
    Narcisse passait son temps à regarder son image, et amoureux d’elle, se suicida

        Les personnes narcissiques se sentent supérieures aux autres, exceptionnelles, uniques, et s’attendent à ce que les autres aient la même haute opinion d’elles, les admirent et les traitent avec respect.
        Elles se sentent hors du commun, chargées de missions essentielles, et que les autres sont à leur service pour leur permettre d’atteindre leurs buts.
        Elles ont tendance à croire que les autres ne les comprennent pas, et le manque d’admi-ration et de considération des autres entraîne surprise et colère. Elles ne manifestent aucune empathie pour autrui, sauf pour ceux qui manient la brosse à reluire.
        Le besoin constant d’admiration, le sentiment que tout leur est dû et la difficulté d'écouter les avis des autres, empoisonne leurs relations. Elles ne supportent pas la contradiction, ni l’échec, qui est toujours la faute des autres.
        Elles ont une grande confiance en elles, mais qui peut être fragile et qui peut cacher une faible estime d’elles mêmes inconsciente, mais elles peuvent aussi faire face à toutes les critiques, assurées de leur propre valeur.
        Elles sont dans un premier temps appréciées parce qu’elles ont une certaine valeur, mais se rendent vite insupportables.
        Elles ont souvent tendance à croire que leur valeur n’est pas assez reconnue et récompensée et elles en conçoivent insatisfaction, colère et rancœur.

    La personnalité dite « schizoïde » :

       
    Ce sont des personnes discrètes, effacées, voire renfermées, distantes. Les relations sont pour elles sources de problèmes et elles n’ont donc que peu de contacts humains : elles aiment la solitude et ne recherchent pas la compagnie.

        Elles se lient peu, sont indifférentes à l’opinion d’autrui, éloges ou critiques, et ne perçoivent pas les sentiments des autres. Elles n’ont pas de vie sociale.   

     
     

     

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  • En intermède les six autres types de personnalité des chats :

    Le chat Don Juan, qui collectionne les minettes...

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    Monsieur le chat, de grande famille, qui ne se prend pas pour une crotte de souris

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    Le chat amnésique, qui ne sait plus où est sa caisse et s'oublie partout...

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    Le chat timide et craintif, qui se cache partout où il peut trouver un refuge...

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    Le chat ravageur, qui fait ses griffes partout, surtout sur les fauteuils et canapés...

    http://lancien.cowblog.fr/images/Chats2/typedechat2.jpg

    Le chat dormeur, qui fait tout le temps la sieste avec son doudou.

    http://lancien.cowblog.fr/images/Chats2/h-copie-1.jpg





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