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    La personnalité des chats

               Vous avez dû voir que j’ai fait sur mon blog de nombreux articles sur la personnalité et les préférences cérébrales. Il s’agit, bien sûr des humains.

               Mais, si vous aller sur internet et que vous tapez  « chats, 12 types » vous trouverez des articles qui vous expliquent, avec des caricatures marrantes, que les chats peuvent avoir 12 types psychologiques : deux fois plus que le « big five » ou le MBTI  lol

               Ce n’est évidemment pas une étude sérieuse de psychologie, mais c’est assez bien observé et puis les caricatures sont marrantes.

               Je me contente de les reproduire, six dans cet article et six autres demain

    Le chat qui court après tous les fils et qui détricote votre ouvrage ou votre pull ...
    La personnalité des chats
















    Le chat maléfique qui fait tellement peur qu'on ose à peine le regarder...


    La personnalité des chats

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le chat vagabond et clochard, qui renter tard le soir dans un  état lamentable, avec une souris dans la gueule qu'il vous offre gentiment qu'il vous offre gentiment..... avant que vous n'alliez le laver !!
    La personnalité des chats











     

    Le chat gazomètre : vite aux masques...

    La personnalité des chats
















    Le chapelé (sans t !) qui est tout nu et a froid. Il nous fait pitié....      


    La personnalité des chats












     

     

     


    Le gros chat affamé, qui mange tout et tout le temps, à s'en rendre malade..
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    La personnalité des chats

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        Je vous parlais, ces jours ci, du développement du cerveau des enfants.
        Un point qui m’a toujours intéressé, tant chez mes enfants que mes petits enfants quand ils étaient tout jeunes, c’est la prise de conscience de la différence entre soi et les autres et le développement de la conscience d’être un individu autonome bien défini.
        Comment sait on qui l’on est ?
        Le tableau ci-dessous donne les grandes étapes de ce processus.
    http://lancien.cowblog.fr/images/Cerveau3/laconsciencedesoi.jpg
        Même avant la naissance, le foetus fait l’expérience des sensations qu’il perçoit et que son cerveau cherche à interpréter. Bien sûr il ne comprend pas les causes, mais il s’habitue à des sensations répétitives. Alors que tout enfant étranger sursautait quand le carillon de la pendule d’une de mes filles sonnait, ce bruit ne gênait pas du tout ma petite fille de huit jours : elle l’avait entendu maintes fois dans le ventre de sa mère !
        Le bébé commence par développer les premières semaines sa vue et son audition. Il est sensible à l’environnement mais peu à lui même. Mais sans bien en comprendre les éléments il prend conscience qu’il a un corps qu’il peut bouger, et sur lequel il peut agir.
        Vers 2 à 3 mois, il sourit à sa mère et aux personnes de sa famille, aux étrangers qui ont une voix qui plaît à l’enfant. Il y a donc interaction avec autrui, mais sans qu’il ait conscience qu’il s’agit de personnes comme lui.
        Puis c’est la période où il va apprendre à se servir de ses mains et là il va non seulement voir, mais toucher son corps, apprendre de quoi il est composé. Bébé se tire les cheveux, attrape ses pieds… Il apprend aussi à se servir de ses mains pour faire certaines actions volontaires : par exemple tenir son biberon.
        Le bébé prend conscience que son corps est différent de l’environnement et lui appartient puisqu'il peut s’en servir. Mais en fait cette expérience dure depuis la naissance. Si vous touchez la joue du bébé de 2 ou 3 jours avec la tétine du biberon, il tourne la tête et met la tétine dans sa bouche.
        Mais au bout de quelques mois il touche un peu à tout, puis seulement ensuite aux objets « qui l’intéressent ».
        Cette conscience de l’autonomie de son corps, les psychologues la baptisent d’un nom curieux : le « soi écologique »

        Très tôt le bébé va essayer de comprendre ce qu’il ressent en mémorisant des conséquences. Des chercheurs ont montré en donnant à des bébés des «tétines musicales» qui produisait un son à chaque succion, qu’ils se guidaient très vite sur le son pour boire de la meilleure façon, en jouant de la tétine comme une trompette.
        Il va peu à peu apprendre et mémoriser les conséquences de ce qu’il perçoit et de ses actions sur l’environnement.
        Cette capacité se développera davantage avec la marche qui va étendre son champ d’action et il va alors découvrir qu’il est un mobile autonome dans son environnement matériel.
        L’enfant fait maintenant attention aux conséquences de ses actes.

        Autour d’un an le bébé va développer sa connaissance des autres. Il considère que sa mère lui appartient et doit s’occuper de lui. L’enfant demande qu’on fasse en permanence attention à lui. En fait c’est parce qu’il prend conscience de son existence et il veut qu’on reconnaisse qu’il existe. C’est la prise de conscience de soi, d’exister par rapport aux autres, qui représentent autre chose que l’environnement matériel.
        Que fait l’enfant devant son image dans le miroir?
        Quand il va comprendre que c’est la sienne, au début il va la fuire, se détourner, regarder ailleurs.Il ressent en efet tout à coup que c’est aussi le reflet de l’image que les autres perçoivent de lui.
        Jusque là l’enfant pensait aussi que les autres pensaient comme lui. Il y avait identité entre ce qu’il pensait et ce qu’il attribuait comme idées aux autres. Mais peu à peu il s’est aperçu que les autres avaient des idées, des émotions des souhaits différents, qu’on lui interdisait certaines actions, que les autres savaient aussi des choses qu’il ignorait et qui pouvaient lui être utile, et qu’il pouvait demander de l’aide à autrui.

        La conscience de soi prend une autre dimension lorsque l’enfant , ayant pris conscience de son image, sait qu’elle est vue par les autres et chercher à l’améliorer.
        L’enfant choisit alors ses relations avec autrui, car il commence à comprendre les liens entre la personnalité des autres et leurs sentiments et ce qu’il ressent lui même.
        Le bébé qui a commencé vers neuf mois à observer les réactions d’autrui, notamment vis à vis de l’environnement et de lui même, ne différencie vraiment les siennes et celles des autres que vers 18 mois. L’enfant agit avec autrui.

        Mais la conscience pleine et entière de soi ne va vraiment venir que dans la période suivante, quand l’enfant va savoir parler, ce qui va lui donner un moyen de communication tout autre, et de pouvoir exprimer ce qu’il ressent et écouter ce que ressentent les autres, que ce soit analogue ou différent.
        Le soi et celui des autres seront alors totalement distincts.
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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Images3/1PcHotenfantsenfantsbeacutebeacuteColorfulboisMiniautourperlesjeueacuteducatifToyF30133.jpg
                 Je me souviens avoir lu des livres de psycho sur l’enfance quand mes enfants étaient jeunes, il y a 60 ans. Les psychologues pensaient alors que les bébés étaient uniquement préoccupés de leur apprentissage physique, limité aux expériences matérielles de chaque instant et ils les croyaient incapables de tout action, et de tout concept, par exemple de différencier le réel et l’imaginaire, d’appréhender des liens logiques notamment de cause à effet, d’imaginer des essais et de comprendre la pensée ou les actions d’autrui.
                C’est tout à fait faux et on sait maintenant que, si évidemment le bébé ne peut agir comme un adulte, il est quand même capable de capacités étonnantes.
                Certes l’observation est difficile car l’enfant a du mal à s’exprimer, à s’expliquer, mais le langage permet très tôt, par le sens mais aussi les intonations, de communiquer et d’essayer de comprendre. 
                Des études montrent par exemple, que les nourrissons, à partir du moment où ils sont capables d’observer leur environnement, mémorisent les « situations habituelles », qui en fait correspondent soit à des lois de la physique (la pesanteur par exemple), soit à des habitudes de vie quotidienne. Dès lors on les voit s’étonner et s’intéresser sur tout chose ou situation inhabituelle et nouvelle.
                Il est très important que les parents favorisent et initient cette curiosité intellectuelle du jeune enfant pour les choses nouvelles : c’est forger son imagination et son sens de l’observation et du raisonnement. Et tous les sens de l’enfant sont utilisés pour découvrir l’environnement.

                 Un enfant d’un an, a certaines réactions vis à vis de son environnement et il a des préférences des goûts. A cet âge, il pense que les adultes sont comme lui et il leur attribue ses propres envies et agit en conséquence.
                Un enfant de 18 mois comprend intuitivement que les personnes qu’ils connaît sont différentes et qu’elles ont des goûts différents, qu’elles ressentent du plaisir et de l’aversion, et il arrive à déchiffrer certaines expressions des visages et les imite pour essayer d’exprimer ses sentiments.
                Très tôt un enfant a une certaine intelligence émotionnelle intuitive : il sait détecter chez autrui certains sentiments : joie tristesse, colère, peur et leur intensité.
                 Des enfants de 3 ou 4 ans sont très capables d’enchaîner des relations de cause à effet et de déduire par apprentissage, comment faire fonctionner une « machine » dont le fonctionnement dépend de commandes logiques. Ils arrivent notamment à tenir compte de fréquences de fonctionnement pour orienter leurs essais, ce qui après tout constitue de la statistique expérimentale intuitive.
                En fait ils font des essais, examinent les conséquences de leurs actes, tirent des conclusions de cause à effet qui peuvent reposer sur des fréquences de fonctionnement plus grandes. C’est intuitif, ce n’est certes pas le raisonnement du chercheur adulte, mais c’est une formation de première importance pour le fonctionnement rationnel du cerveau              
                 Mais il ne faut pas vouloir tout leur montrer, leur donner du savoir complet, Il faut les aider sur les méthodes d’approche, mais il faut les laisser découvrir comment cela fonctionne. Un enfant auquel on explique trop sera moins créatif. Certes il y aura des erreurs, mais c’est leur souvenir qui donne de l’expérience.
                L’enfant de deux ans, voire trois, choisira une collection d’objets moins nombreux plus espacés selon une ligne plus longue, plutôt qu’un plus grand nombre d’objets resserrés. Même s’il ne sait pas compter mais qu’on lui montre les deux lignes d’objets en leur donnant le même espacement, il comprendra vite son erreur.
                Il est étonnant de constater qu’à six mois un enfant sait différencier 1 et 2 et intuitivement comprend que 1+1 = 2 et 1-1 = 0 pas mathématiquement, mais avec des objets : c’est une intuition des présences. Il arrivera rapidement entre un an et 18 mois à recon-naître des quantités jusqu’à 5 (les doigts de la main).
                Et il arrive que devant une machine bizarre  et inconnue, mais pas trop compliquée,  des enfants trouvent plus vite que des adultes, trop enfermés dans des règles de fonction-nement habituel.
                En fait le cortex frontal inhibe e les pensées et actions non pertinentes. Il est encore peu actif chez les jeunes enfants. C’est un inconvénient car ils mesurent moins les conséquences de leurs actes, mais c’est un avantage pour découvrir le monde et son apprentissage.
                A nous de les protéger et de les aider dans cette découverte qui va commencer à les rendre intelligents.
               Et ce qui est très extraordinaire c’est de constater entre un an et 18 mois comme des bribes de langage sont créées pour exprimer des phénomènes que l’enfant a découvert et compris.

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Images3/91652533.jpg
         Cela se voit en feuilletant mon blog, j’ai une marotte : comment lr cerveau humain fonctionne t’il et comment les capacités de l’enfant se développent elles ?
         Les articles d’Olivier Houdé, professeur de psychologie du développement et de l’enfant à l’université de Paris Descartes m'ont particulièrement intéressé.

        Il faut se dire que, malgré les différences génétiques et les hasard du développement du cerveau du fœtus, nous naissons tous avec un énorme potentiel, tant physiologique qu’intellectuel,
          Certes nous avons des préférences cérébrales innées, qui nous facilitent certaines tâches ou certains comportements, et qui nous en rendent d'autres plus difficiles, mais c’est l’apprentissage que nous recevrons les premières années, puis l’éducation et ensuite l’instruction qui nous seront prodiguées, ainsi qu'ensuite l’expérience de la vie, qui nous rendront plus ou moins intelligents et capables de certaines actions.
         Le développement de notre mémoire est en particulier un point essentiel du développement de notre intelligence et cela est très négligé de nos jours., et ce d’autant plus que nous disposons de moyens de rechercher et de stockage de données qui nous évitent de les retenir.


         Si les théories de Freud sur le développement de l’enfant apparaissent très périmées, les observations du psychologue Jean Piaget restent tout a fait valables, si ce n’est qu’il introduisait un calendrier trop strict de ce développement. Aujourd’hui, à la lumière des neurosciences, on considère que d’une part le bébé a davantage de capacité que nous ne soupçonnions et d’autre part que le développement est plus continu, plus enchevêtré, plus biscornu par moment, que le modèle très cartésien de Piaget. 
         L’important dans ce développement c’est le changement qui intervient, mais aussi la continuité et cela touche maints domaines : le développement physiologique, l’interaction avec l’environne-ment, les représentations, les savoir-faire, les connaissances ; le traitement des informations, les relations sociales et humaines, les comportements émotionnels, parfois impulsifs, et ceux rationnels, réfléchis et contrôlés.En fait tout est lié : savoir marcher permet à l’enfant de se déplacer, d’avoir une certaine autonomie, d’explorer ; savoir parler est la base des interactions sociales, mais aussi de la pensée, et savoir lire ouvre la porte à la connaissance. 

         Le développement concerne les capacités déjà acquises en partie, qu’on perfectionne, mais on en acquiert de nouvelles. Celles ci ne sont pas acquises immédiatement et la phase d’apprentissage est parfois une régression, mais qui cède la place au progrès.      
          Mais ce qui me frappe et m’inquiète, c’est qu’il eiste une énorme différence tant en rapidité qu’en qualité entre découvrir tout seul, au risque de pseer à coté de beaucoup de choses, et être guidé, voire aidé dans l’acquisition, ou au minimum orienté.   
          Le rôle des parents dans les trois premières années est primordial pour l’avenir de l’enfant, de même qu’ensuite les interactions sociales avec parent et environnement. Beaucoup de parents ne semblent plus avoir conscience de cela, et la formation des éducateurs et éducatrices dans les crèches et maternelles est tout à fait insuffisante dans ce domaine. Le goût, l’émotionnel, le rationnel se forme chez l’enfant dès son plus jeune âge, ainsi que ses habitudes.    
            Ensuite c’est l’enseignement à l’école, dans le primaire, le secondaire et éventuellement le supérieur, qui vont conditionner le développement de la mémoire et de l’intelligence du jeune. Beaucoup de jeunes d’aujourd’hui ne semblent plus en avoir conscience.     
           Et le monde évolue, et il faudrait arriver à préparer l’enfant à évoluer au mieux dans le monde de demain. En sommes nous vraiment capables ? Quelles sont les données éducatives qui ne changent pas et restent valables, et celles nouvelles à découvrir ?

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  • "Hiboux, choux, cailloux, genoux, bijoux, joujoux, poux"
          Cela me rappelle mes cours de CM1 et la phrase : “Viens mon chou, mon bijou, sur mes genoux avec tes joujoux, et ne jette pas de cailloux sur ce hibou même s'il est plein de poux !”
         Ce que je vais vous montrer ce sont des photos de hiboux. Je les trouve chouettes!

     
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