•      Encore des chats me direz vous. C'est vrai, j'aime bien les petits chats. Je leur trouve une bouille mignonne.
         Voici, en intermède, quelques photos trouvées sur internet.

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              En automne les arbres restent longtemps verts. Puis c’est tout à coup l'approche de l'hiver, et les feuilles passent au jaune puis au brun, et certaines au rouge, avant de tomber.
              Des enfants me demandent souvent pourquoi, alors autant en faire un article. 
              Ces phénomènes sont en grande partie dus à la chlorophylle .C’est un pigment, complexe, dont on connaît six sortes (a à f), la plus courante dans la plupart des plantes étant la variété « a » à raison d’environ 3 grammes par kilo de feuilles.Ce pigment a la propriété d’absorber très peu les photons « verts » de telle sorte que, les réfléchissant et réfléchissant peu les autres couleurs, les feuilles paraissent le plus souvent vertes.
    Pourquoi les arbres deviennent ils jaunes ou rouges en automne.?             Pour ceux qui adorent la chimie voilà ci dessous sa formule développée, un peu différente en X et Y,  suivant diverses sortes de chlorophylle, et pour ceux qui n’aiment pas les formules, vous avez une vue synthétique ci contre ou sont représentés en noir les atomes de carbone, en blanc les atomes d’hydrogène, en rouge les atomes d’oxygène, en bleu les atomes d’azote et en vert l’atome de magnésium. 

    http://lancien.cowblog.fr/images/Vegetationarbres2/440pxChlorophyllabdsvg.png
              La chlorophylle n’est pas là uniquement pour colorer les plantes. Absorbant la lumière (sauf le vert), elle absorbe de l’énergie, qui va permettre à la plante de fabriquer des coenzymes et des molécules qui peuvent être consommées pour donner de l’énergie à des cellules. Les coenzymes vont utiliser le gaz carbonique CO2 contenu dans l’atmosphère, ainsi que l’eau, pour synthétiser les protéines et les sucres, qui permettront de constituer le tissus de la plante, en rejetant de l’oxygène superflu.
              La chlorophylle se détruit au cours de ces réactions, mais de nouvelles quantités sont synthétisées et sa proportion reste à peu près constante du printemps à la fin de l’été. 
              Au plan de l’environnement, les plantes sont donc très utiles, puisqu’absorbant le CO2 et restituant de l’oxygène, nécessaire à la respiration des animaux des hommes. 
              La chlorophylle n’est pas le seul pigment présent dans les feuilles : il y a aussi des pigments analogues au carotène : ce sont des pigments jaunes ou orange.
              A la fin de l’été, les jours et donc la lumière diminuent, et avec elle la synthèse chlorophyllienne. Il y a donc peu à peu moins de chlorophylle verte et les autres pigments jaunes caroténoïdes apparaissent peu à peu : la feuille deveint jaune, voire orangée.
              Puis il y a une dégradation des produits phosphatés qui apportent l’énergie (l’adénosine triphosphate notamment) et des sucres. Un bouchon de liège se forme dans les canaux qui alimentent la feuille, qui, privée d’eau se dessèche et devient brune. La tige se fragilise, finit par casser et la feuille tombe.
              Pour les feuilles rouges, (les érables par exemple), le processus est un peu différent : c'est un pigment nommé anthocyane qui est responsable. Il est produit par la feuille quand le taux de chlorophylle diminue. Le bouchon de liège qui bloque les canaux de la tige, bloque aussi les sucres de la sève qui reste dans les feuilles et entraine la synthèse des anthocyanes. C’est d’ailleurs un mécanisme de défense de l’arbre contre les insectes, car le phénomène s’accompagne d’une migration des acides aminés qui attiraient les insectes des feuilles vers les branches et le tronc, pour le reste de l’hiver.

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  •              J‘ai souvent dit dans mes articles que le cerveau continuait à se former au cours de l’adolescence notamment au niveau du cortex préfrontal, qui est le chef d’orchestre du cerveau, le siège de la réflexion, de la prévision, de l’organisation et de la conduite de l’action. Cette maturation est à la fois physiologique, mais aussi due à l’apprentissage, notamment engendré par la vie et l’instruction.
                C’est la raison pour laquelle les adolescents ne savent pas bien prévoir les conséquences de leurs actes et se prémunir contre les dangers, surtout si les actes correspondants sont source de plaisir.

                L’IRM, qui permettait de voir si certains centres du cerveau étaient actifs ou non, permet maintenant de mesurer l’importance des connexions entre deux centres. Par ailleurs, de même qu’on applique la théorie des graphes pour résoudre des problèmes de communication, on peut l’appliquer aux connexions entre centres cérébraux.
                De récentes études mettent en lumière de nouveaux résultats, qui montrent d’une part l’étonnante plasticité du cerveau humain, mais aussi que celui ci évolue favorablement encore longtemps après l’adolescence.
                On croyait en effet que les performances cérébrales diminuaient à partir de 25 ans, ce qui n’empêchait pas de continuer à accroître ses connaissances et son expérience. Cela tenait du fait que les neurones ne se reproduisent pas et que donc leur nombre diminuera tout au long de notre vie ? On pensait donc que la performance du cerveau baissait en même temps que le nombre de neurones.
                Il reste exact que les aires cérébrales notamment frontales, croissent encore à l’adolescence et que le nombre de neurone diminue ensuite avec l’âge. Mais ce n’est pas l’évolution la plus importante.
                 Les récentes recherches ont montré que les communications entre groupes de neurones s’intensifiaient surtout entre 12 et 30 ans. Comme le montre la figure ci dessous, empruntée au magazine « Pour la Science », les connexions entre certains groupes de neurones s’intensifient (lignes noires qui s’épaississent sur le schéma), et certaines zones deviennent davantage interconnectées  entre leurs propres neurones (cercles verts qui s’agrandissent sur le schéma) et ceci non seulement dans le cerveau frontal, mais aussi au niveau du cerveau émotionnel.
                Ces renforcements permettent à l’individu de s’adapter en se spécialisant, aux tâches auxquelles il est confronté, non seulement celles intellectuelles et de réflexion, mais aussi dans la vie relationnelle en société, ainsi qu’aux problèmes psychiques qui lui sont propres.

    La plasticité du cerveau des jeunes.


                Le renforcement des connexions se réalise de plusieurs façons : d’une part il y a augmentation des connexions dendrites-axones, mais aussi un renforcement des connexions privilégiées entre deux neurones par augmentation de la quantité de neurotransmetteur disponible et abaissement du seuil de déclenchement de l’influx nerveux.
                Mais globalement on constate une augmentation de la matière « blanche ». C’est le résultat d’une myélinisation des fibres nerveuses : la myéline est une substance graisseuse, constituée à partir de cellules astrocytes, et qui entoure les axones, les isolant au plan électrique. Elle permet d’augmenter la vitesse de l’influx nerveux d’un facteur 10 à 100. L’information circule plus vite de ce fait entre neurones et donc un centre peut recevoir davantage d’information.
                Il semble qu’il y ait un ajustement particulièrement précis des temps de parcours entre neurones connectés, car un neurone recevant des influx de plusieurs autres ne donnera lui même un signal que si la somme des influx entrants est supérieure à un certain seuil, mais ceci pendant un laps de temps très court. Comme les influx entrants viennent de neurones à des distances différentes, la synchronisation exige que les temps de parcours soient adaptés pour que les signaux arrivent au même moment.
               Et si les connexions qui servent souvent sont renforcées et optimisées, celles qui ne servent pas sont supprimées.
               Notre cerveau se modifie donc toute notre vie, mais il évolue beaucoup d’abord dans la prime enfance par apprentissage de l’environnement et de son propre corps, avec une augmentation de la matière grise, puis à l’adolescence mais cette fois avec une diminution de la matière grise (élimination) et une augmentation de la matière blanche (myélinisation).
              La quantité de matière grise culmine au début de l’adolescence pour les centres des sensations, mais elle ne sera maximale pour le cortex frontal qu’en fin d’adolescence

               En fait le cerveau d’un adolescent s’adapte énormément à l’environnement et à son devenir. C’est pourquoi il est très préjudiciable si les apprentissages qui devraient le former n’ont pas suffisamment lieu, que ce soit éducation ou instruction.
              De même les perturbations physiologiques : tabac, cannabis, drogues, alcool, sont davantage préjudiciables, car elles entravent la formation du cerveau.

              Enfin un problème important perturbe l’adolescence et notamment empêche les adolescents de mesurer les risques qu’ils prennent.
              Leur cerveau émotionnel évolue en premier alors que leur cortex préfrontal n’a pas encore suffisamment évolué.  C’est comme si, à un moment donné leurs émotions étaient en avance pour ler âge, alors que leur raisonnement était en retard.
             Ce phénomène est schématisé ci dessous (le schéma étant aussi emprunté à « Pour la Science ») .

    La plasticité du cerveau des jeunes.

              Un autre problème apparaît de nos jours : les adolescents actuels passent beaucoup de temps sur les moyens multimédias et sont donc confrontés à un nombre énorme d’informations, certaines bénéfique, mais de nombreuses non pertinentes ou inutiles et certaine même nuisibles. Le problème est que ces informations sont susceptibles de provoquer chez eux des émotions, mais que leur cortex préfrontal a des difficultés pour en faire le tri.  Les adolescents sont donc plus exposés qu’autrefois aux dangers de l’environ-nement et cela d’autant plus que l’influence éducative des parents a considérablement diminué et que l'école ne leur apprend pas encore assez à se servir intelligemment d'internet.

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  • En intermède les six autres types de personnalité des chats :

    Le chat Don Juan, qui collectionne les minettes...

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    Monsieur le chat, de grande famille, qui ne se prend pas pour une crotte de souris

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    Le chat amnésique, qui ne sait plus où est sa caisse et s'oublie partout...

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    Le chat timide et craintif, qui se cache partout où il peut trouver un refuge...

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    Le chat ravageur, qui fait ses griffes partout, surtout sur les fauteuils et canapés...

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    Le chat dormeur, qui fait tout le temps la sieste avec son doudou.

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    La personnalité des chats

               Vous avez dû voir que j’ai fait sur mon blog de nombreux articles sur la personnalité et les préférences cérébrales. Il s’agit, bien sûr des humains.

               Mais, si vous aller sur internet et que vous tapez  « chats, 12 types » vous trouverez des articles qui vous expliquent, avec des caricatures marrantes, que les chats peuvent avoir 12 types psychologiques : deux fois plus que le « big five » ou le MBTI  lol

               Ce n’est évidemment pas une étude sérieuse de psychologie, mais c’est assez bien observé et puis les caricatures sont marrantes.

               Je me contente de les reproduire, six dans cet article et six autres demain

    Le chat qui court après tous les fils et qui détricote votre ouvrage ou votre pull ...
    La personnalité des chats
















    Le chat maléfique qui fait tellement peur qu'on ose à peine le regarder...


    La personnalité des chats

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le chat vagabond et clochard, qui renter tard le soir dans un  état lamentable, avec une souris dans la gueule qu'il vous offre gentiment qu'il vous offre gentiment..... avant que vous n'alliez le laver !!
    La personnalité des chats











     

    Le chat gazomètre : vite aux masques...

    La personnalité des chats
















    Le chapelé (sans t !) qui est tout nu et a froid. Il nous fait pitié....      


    La personnalité des chats












     

     

     


    Le gros chat affamé, qui mange tout et tout le temps, à s'en rendre malade..
    .     

    La personnalité des chats

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