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     Animaux des fonds marins (2)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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     Animaux des fonds marins (2)

     

     

     

     

     

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  • Je suis toujours fasciné par les animaux marins, qui parfois ressemblent plus aux plantes, comme certaines anémones ou coraux
    Voici, en intermède, quelques images trouvées sur internet :

    Animaux desfods marins (1)

     

    Animaux desfods marins (1)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Animaux desfods marins (1)

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Images3/images1copie8.jpg
        Nous avons tous tendance à être crédules. Et pour suivre la mode ou s’intégrer au groupe des copains, certains sont prêts à croire n’importe quoi.
        Le comble est que des jeunes se fassent embrigader sur internet par des terroristes à partir d’informations manifestement fallacieuses.
        On pourrait croire que la crédulité est l’apanage de personnes peu intelligentes, mais on voit des esprit brillants qui contestent l’existence des camps de la mort des nazis, les preuves manifestes de l’influence humaine sur le changement climatique, ou qui renient l’évolution pour croire à Adam et Eve.
        Que se passe t’il donc dans notre cerveau pour que nous fassions ainsi de grosses erreurs de raisonnement ou que nous suivions comme des moutons, le premier avis venus, sans réfléchir, surtout s'il vient d'internet, où n'importe qui peut écrire n'importe quoi..

        Notre cerveau quand il travaille, consomme de l’énergie : 25 à 30% de l’énergie consommée par l’ensemble du corps. Donc il cherche à économiser le plus possible.
    Réfléchir rationnellement à plusieurs problèmes successivement a un coût énergétique important, et nous ne pouvons donc nous permettre de raisonner ainsi tous azimuts sur tous les problèmes.
        Une région du cortex préfrontal analyse en permanence notre dépense énergétique mentale, et plus celle ci est importante, plus cette région s’active et nous pousse à faire des économies.
        Alors dans de nombreux cas, nous choisissons selon des processus plus rapides, basés sur un sentiment, une intuition, une impression. Cela peut être fallacieux.
        Il faudrait donc que nous apprenions d’une part à savoir quelles sont les problèmes importants pour lesquels il faut réfléchir et à reconnaître certaines situations qui risquent de nous tromper.
        En principe l’éducation et l’instruction devrait nous former en partie, et nous donner intelligence, bon sens et esprit critique.
        Cependant nous continuons parfois à nous tromper.

        Nous avons reçu une certaine éducation et instruction qui nous a formé (et déformé). Nous avons donc des référentiels différents provenant de nos origines familiales et de notre parcours scolaire. Notre expérience de métier et de la vie, ajoute d’autres connaissances à celles initiales.
        SI quatre personnes regardent un ruby-cube et lui trouvent une couleur différente, elles ne sont pas forcément dans l’erreur si chacune regarde une des quatre faces de couleurs différentes.
        Or chacun de nous a un environnement différente familial, social, dans son emploi, et des réseaux d’information différents et cela est encore plus vrai avec la prolifération des moyens multimédias.
        Alors que nous nous croyons bien informés, nous recevons nos renseignements de sources limitées et nos acquits nous donnent plus ou moins de moyens de critiquer la véracité de ces sources, selon le sujet abordé.
        D’une part nous avons éventuellement des informations insuffisantes et d’autre part, notre système de représentation issu de nos acquits, nous suggère des réactions et des interprétations automatiques des phénomènes auxquels nous sommes confrontés.
        Ces modes automatique de raisonnement du cerveau ne sont pas forcément fiables, et plus les informations et nos à-priori seront fragiles, plus notre cerveau risquera de nous induire en erreur, si nous ne nous astreignons pas à un raisonnement rigoureux, et à une recherche éventuelle d’informations supplémentaires et à une critique de nos référentiels et de nos biais culturels.
       
        Deux biais que je dénonce souvent et que nous avons tous tendance à plus ou moins pratiquer : la généralisation et la confusion entre corrélation et causalité.
        Si nous sommes témoins de circonstances où deux ou trois fois, un fait A entraîne un fait B, nous avons tendance o croire que c’est toujours vrai. C’est déjà courant dans des domaines relativement précis et logique, mais cela l’est encore plus si les informations sont floues et dans des domaines comme le comportement des individus et le jugement d’autrui, domaines dans lesquels nous faisons souvent, par généralisation des amalgames regrettables.
        L’autre erreur c’est de croire que parce que deux phénomènes sont liées au plan probabiliste, l’un est la cause de l’autre. Je cite souvent la corrélation statistique qui existe entre la consommation de combustible et la mortalité des vieillards, et je pourrais en conclure abusivement que pour qu’ils meurent moins, il suffit de ne pas les chauffer !!
        Beaucoup de statistiques sur le danger de telle ou telle situation ou produit, est souvent erronée car on lui attribue une cause unique, alors que le phénomène est le résultat de nombreuses causes diverses.
        Une troisième erreur est de juger de phénomènes en se servant d’une moyenne unique sans se rendre compte que la dispersion du phénomène est grand et qu’il faufdrait en fait, disposer de plusieurs moyenne affectant des groupes différnets. Les médias font souvent cette erreur dans le domaine financier.
        Des réactions sentimentales et personnelles nous font exagérer notre réaction vis à vis de certains phénomènes et de certains chiffres. Dans ce domaine des risques pour notre santé et notre vie sont largement surévalués, alors qu’ils sont faibles. Certains croient par exemple à la nocivité des vaccins qui est très faible, sans considérer leurs actions bénéfique, mais ne s’inquiètent pas du risque qu’ils prennent en se rendant en vacances en automobile, plusieurs milliers de fois supérieur.
        La télévision et internet sont les fournisseurs par excellence d’informations erronées que nous gobons facilement.

        Alors que faire ?
        D’abord nous demander si l’information que nous recevons est fiable, claire, avérée et ne fait pas l’objet de nombreux biais.
        Ensuite nous méfier des conditions dans lesquelles nous l’acceptons; . Quel rôle a notre formation socioculturelle dans notre réaction vis à vis de cette information. Quel est aussi le rôle inconscient de nos sentiments et émotions. Le traitement culturel et sentimental que vous faites subir à l’information n’introduit il pas des biais ?
        Essayer ensuite de regarder l’information à la lumière du bon sens et de la logique. Tout défaut de logique doit rendre l’information suspecte. Critiquer en particulier l’interprétation qui est faite des chiffres.
        Bien sûr, il ne s’agit pas de remettre en cause tous vos jugement, vous n’en n’auriez ni le temps ni l’énergie.
        Mais qu’un certain apprentissage déclenche, dans les cas douteux, une alarme qui vous fasse suspendre votre jugement, jusqu’à plus ample information et son traitement.

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  • Des liquides poreux peuvent exister.

              Vous savez sûrement que le Gruyère et le Comté n’ont pas de trou et que c’est l’Emmental qui en a. Il semblerait que ce soit dû à de petites particules de foin, qui, au moment de la traite de la vache, tomberaient dans le lait. Pendant la fermentation, celles-ci délivreraient des gaz, qui formeraient des trous, mais ceux-ci ne sont pérennes que par ce que le fromage est solide et ce gaz ne peut s’échapper.
             Par contre; si vous débouchez une bouteille de Perrier, les bulles de gaz catrbonique remontent à la surface du liquide et si vous grdez la bouteille débouchée, au bout de quelques heures, toutes les bulles de gaz sont parties du liquide.
              Alors ma stupéfaction a été grande de lire dans la revue « Pour la Science » un article sur les liquides poreux. Je vais essayer de vous en dire quelques mots.

             Un liquide poreux a des « trous », comme l’Emmenthal, mais beaucoup plus petits : quelques dixièmes de nanomètres (10-9m), mais très nombreux de telle sorte que cela peut représenter jusqu’à 10% de son volume.
           Quel est l’intérêt ? : Piéger des gaz et pouvoir les transporter; les restituer ensuite ailleurs ou les stocker, les faire agir chimiquement….

              Par exemple absorber le CO2 qui est produit par une usine pour le stocker ou le transformer en carbonate. injecter dans le sang un liquide transportant de l’oxygène.

     Des solides ayant des cavités en grand nombre, de quelques dixièmes de nanomètres sont connus depuis 3 siècles, notamment les zéolithes, des des phosphates d’aluminium (AlPO), ou des réseaux métallo-organiques (MOF).
            Ils servent aussi bien pour piéger des polluants, stocker et stabiliser des gaz, que pour purifier des mélanges, catalyser des réactions, etc. Mais leur manipulation industrielle est beaucoup plus difficile que celle de liquides qui peuvent circuler dans des canalisations. Leur stockage en poudres ou leur chauffage sont également plus contraignants.

    Des liquides poreux peuvent exister.  


          Les liquides normaux ont aussi de petits espaces entre leurs molécules, mais ils ne sont pas permanents et donc on ne peut rien y stocker.

            Les liquides poreux sont de quatre sortes selon que les cavités sont portées par les molécules constituant le liquide, des molécules mélangées au solvant, des matériaux poreux solides en suspension ou des matériaux poreux fondus. (schémas ci-dessous empruntés à Pour la Science.)
         

    Des liquides poreux peuvent exister.

              Autour de 1970 on a utilisé des cyclodextrines, assemblages cycliques de plusieurs molécules de glucose, ont une structure ressemblant à des cônes tronqués creux, aptes à accueillir en leur centre de petites molécules.

            En 2007 Stuart James de l’université de Belfast, avait annoncé la possibilité de réaliser des liquides poreux, mais, à l’époque, les solvants dans lesquels les molécules sont dissoutes viennent remplir les cavités intramoléculaires, et, sans cela, les structures s’effondrent ou se tordent pour combler les vides.
             En 2014/2015 un liquide est réalisé, а partir de molécules cages de forme octaédrique, dissoutes dans un solvant aux molécules volumineuses, qui ne peuvent pas entrer dans les cavités des molécules cages, trop petites. Il contient 1 % de vide,
             Un liquide constitué de nanoparticules creuses de silice, à la surface desquelles on a greffé de longues chaînes moléculaires souples, qui agissent comme « lubrifiant » entre les particules.
             Un solide poreux est fondu, sans détériorer ses cavité.

             Quelques exemples d’applications

             Depuis l’invention des liquides poreux, les scientifiques se sont surtout intéressés а la capture, la purification et la transformation de gaz présents dans le milieu, notamment le dioxyde de carbone, CO2, principal gaz à effet de serre.
            Des études ont été faites à partir de réseaux métallo-organiques (MOF). connus et stables qui sont des solides poreux de type ZIF (pour zeolitic imidazolate framework), en suspension dans un liquide ionique.
    Un de ces produits créé en 2021, absorberait, sous une pressions d’un bar, la pression atmosphérique), 44 grammes de CO2 pour 100 grammes de liquide. Le CO2 extrait de l’atmosphère pourrait être stocké. D’autres études ont pour but d’absorber le CO2, mais au lieu de le stocker, de le transformer ensuite en carbonates, utilisables par l’industrie.
     En choisissant les caractéristiques du liquide et du solide (la grandeur des interstices par rapport à celle des molécules du gaz qu’on veut piéger, on peut faire des captures sélectives et ainsi extraire des polluants.
              En 2022, une suspension de zéolithes micro-poreux dans l’eau.
    Habituellement, la taille réduite des molécules d’eau leur fait remplir tous les pores.  Mais les zéolithes utilisés ont une surface hydrophile et des cavités hydrophobes. Cette suspension permet d’absorber onze fois plus de dioxygène O2, que l’eau pure. 

             De nombreuses études sont en cours, et d’ici peu d’années, on entendra parler d’applications industrielles et médicales des liquides poreux.         

     

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  •       Je connaissais les écureuils roux qui viennent me voir en Bretagne, les écureuils gris ou beiges d'Amérique, mais pas les écureuils blancs de Sibérie.
         C'est fait maintenant avec ces photos publiées par Buzzly :

    http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux6/phpbaWaMM.jpg
    http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux6/phpQb8F1L.jpg
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