• Le bonheur n'est pas le même selon l'âgeLe bonheur n'est pas le même selon l'âge

       Le bonheur préoccupe tout le monde et bien sûr on trouve sur internet beaucoup de recettes, souvent peu valables.
        Je lisais ces dernier temps des études sur le conception du bonheur selon les personnes et selon les âges notamment, les joies que l’on apprécie variant en fonction de l’époque de sa vie, ce qui effectivement, paraît normal. Ces études sont surtout américaines et cela les rend moins valables chez nous, car les cultures sont différentes.
        Les résultats des études sont tous très voisins : les jeunes retirent plus de satisfaction dans l’inédit et le sensationnel, alors que les personnes plus âgées se trouvent heureux dans des moments ordinaires de la vie de tous les jours.

        C’est au fond assez normal, car cela corresponde à une certaine expérience de la vie.
        Les jeunes n’ont pas encore beaucoup vécu et ils sont plus concernés par des événements marquants : un exploit sportif, des vacances extraordinaires, l'obtention d'un diplôme, une rencontre, un mariage, un voyage, assister à un concert ou un rassemblement  à la mode ou un événement qui a été encensé par les médias.
        Les personnes plus âgées ont déjà vécu cela et donc sont un peu blasées  et elles apprécient davantage un bon repas passé avec la famille ou des amis, du jardinage, une promenade à la campagne, un voyage tranquille, la visite d’un musée ou d’un beau site…
        Elles se définissent par leur quotidien et n'ont pas besoin de se tester par du sensationnel pour exister.
        Cette transition se produirait vers 35 ans en moyenne.

        Les journaux, qui ont eu vent de ces recherches s’amusent à produire du sensationnel avec des sondages plus ou moins valables. (plutôt moins d’ailleurs !). Le site Internet anglais Friends United qui a interrogé des plus de 40 ans, affirme que 70 % d'entre eux expliquent n'avoir été vraiment heureux qu'une fois passé le cap des 33 ans. Seuls 16 % citent l'enfance et l'adolescence, et à peine 6 % leur vie d'étudiant.
        Ce qui est amusant c’est que les personnes interrogées estiment que le bonheur maximal est autour de  33 ans et le justifient ainsi :
    « A 33 ans on a choisi d'être seul ou en couple, d'avoir un enfant ou d'attendre un peu, et si l'on a des enfants, ils sont encore très jeunes et sont donc un facteur positif de notre vie. En même temps, nos propres parents sont encore jeunes et indépendants, ils ne représentent ni une charge, ni un souci. Et puis, à 33 ans, on a généralement beaucoup d'amis »
        Un autre sondage de Microsoft donnait des résultats différents : « c'est l'âge de 55 ans qui était ciblé comme idéal, celui où l'on reprend son souffle, où tout va mieux. Les enfants ont grandi, vous êtes en fin de carrière, vous passez moins de temps au travail mais vingt-trois minutes de plus à vous occuper de vous par jour. De quoi mieux vivre la dizaine d'années restantes avant de profiter de la retraite. »  
        Pas de chance, une enquête conduite auprès d’un échantillon de 1 600 personnes, par le très sérieux et respecté Department for Food and Rural Affairs (DEFRA), révélait que les hommes âgés de 35 à 44 ans se déclaraient en moyenne moins satisfaits de leur vie que les jeunes et les personnes plus âgées. Pourtant, les revenus et la consommation des ménages britanniques atteignent leur apogée au milieu de la vie. Les deux constats sont contradictoires si on pense que le bien-être est avant tout matériel, mais l’argent n’est pas tout le bonheur !.

        Le bonheur, en effet, n’a jamais autant intéressé les économistes qu’aujourd’hui et vous pouvez aussi trouver des enquêtes de l’INSEE (notre institut de statistique).
         
        Voici d’abord une courbe qui compare le revenu moyen par habitant et le degré de satisfaction, qui montre une stabilité étonnante de ce sentiment de satisfaction.
        Elle est malheureusement ancienne et je n'ai pas réussi à trouver une courbe qui aille jusqu'en 2021 et donne l'impact du covid


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        Mais comment mesurer le bien être ?
        Le bien-être subjectif est généralement mesuré en demandant aux personnes interrogées de donner ou de choisir un niveau de satisfaction.
        Il dépend notamment de deux grandes catégories de facteurs :
        D’abord les éléments objectifs, comme les caractéristiques sociodémographiques (l’âge, le niveau d’éducation, la configuration familiale, etc.) ou la situation économique (le statut d’activité, la catégorie professionnelle, le revenu, etc.).
        Mais le bien-être exprimé est aussi influencé par des facteurs plus personnels, dont en particulier la personnalité. J’ai souvent dit dans mon blog, qu’un individu optimiste, par exemple, aura tendance à se déclarer plus heureux qu’un autre, pessimiste, se trouvant dans la même situation.
        Plusieurs documents de l’INSEE expliquent les diverses méthodes pour obtenir un résultat plus objectif. Ils favorisent la somnolence !

        L’INSEE donne trois courbes de l’évolution du sentiment de bien-être au cours de la vie de l’individu, entre 20 et 75 ans, l’une brute, (en pointillé) et les deux autres, (en bleu), à revenu constant et à situation conjugale constante. Ils expliquent le traitement statistique, qui évidemment est sérieux et c’est étonnant de constater l’amplitude des différences en fonction des âges.

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        Les courbes « à revenu constant » sont assez explicables : la période de satisfaction minimale est celle entre 40 et 50 ans, où les charges familiales sont maximales, alors qu’il faut investir, nourrir sa famille et élever ses enfants.
        L’argent contribue bien au bonheur, mais ce n’est apparemment pas l’ingrédient principal.
        Il semble d’ailleurs que l’insatisfaction des personnes âgées résulte surtout de leur état de santé et d’un certain isolement social.
        Certains voient en particulier dans la croissance du bien-être au-delà de la cinquantaine l’effet de processus psychologiques d’adaptation ou de réajustement des aspirations.
    Par exemple, les objectifs fixés seraient plus fréquemment revus à la baisse au fur et à mesure que l’on vieillit et seraient plus facilement atteignables.


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        La courbe à situation conjugale constante est plus difficile à expliquer et elle se creuse encore davantage entre 30 et 50 ans. On a l’impression que dans cette période, la stabilité de situation conjugale est une cause de dépression ! Peut être que les célibataires aimeraient être en couple, mais apparemment les gens en couple regrettent de l’être !
    Je crois que je tire des leçons hasardeuses de cette courbe, mais l’INSEE ne m’a pas fourni d’explication, ni quant au processus de correction.

       Un autre point intéressant mais apparemment contradictoire avec les courbes précédentes concerne le sentiment de "bien être émotionnel" Ce n'est plus une mesure relativement rationnelle qui tient compte de divers facteurs, mais "en moyenne à quel niveau de bien être vous sentez vous". C'est très subjectif.
       Voici deux schémas de résultats :
       D'abord l'évolution dans le temps de l'évaluation moyenne des hommes et des femmes selon l'âge : l'allure des courbes est différente de celle des précédentes : on ne retrouve pas une aussi nette augmentation pour les personnes âgées.
       Par ailleurs il y a un net décalage entre hommes et femmes. Je pensais que c'était peut être dû à la charge de travail plus importante des femmes qui cumulent plus que les hommes.profession, travail à la maison et éducation des enfants. Mais cette différence croit avec l'âge, ce qui ne correspond pas à ce critère.

    Le bonheur n'est pas le même selon l'âge

        Le schéma suivant donne les variations de cette satisfaction émotionnelle en fonction de l'âge et de 2010 à 2020. Ce qui est très contradictoire c'est le faible score des personnes âgées qui est le plus bas. Cela montre la diddérence sur un sujet subjectif comme le bonheur, entre une approche raisonnée et une approche "émotionnelle; je n'explique pas le pic de 2012 (élection présidentielle ?) et le cru de 2013.

    Le bonheur n'est pas le même selon l'âge

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  •           Je ne suis pas breton (je suis né à Pau, près des ours des Pyrénées, bien que ma photo ressemble plutôt à celle d'un ouistiti), mais j'aime bien la Bretagne, où je passais mes vacances en famille, tous les étés, depuis 70 ans. 
              Malheureusement des problèmes de santé familiale ne me permettent plus d'aller dans ma maison de Bretagne et cela me manque beaucoup; alors j'aime évoquer ce pays, ses paysages et ses coutumes dans mon blog

         Je vous propose quelques danses bretonnes, avec le regret d'être maintenant trop vieux pour les danser, sans risquer au minimum quelques courbatures !


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         Beaucoup trop de personnes pensent surtout à leur passé,et entretiennent en permanence des regrets de ce qu’elles n’ont pas osé faire, et des remords de ce qu’elles ont fait, mais qui n’a pas parfois  réussi ce qu'il voulait faire ou a causé des problèmes inattendus.
        En fait, on ne peut rien changer au passé, et il vaudrait beaucoup mieux que leur esprit soit tourné vers l’avenir, à construire des projets qui leur apporterait de l’espoir.

        Pourtant beaucoup d’entre nous cherchent à connaître de quoi demain sera fait, mais bien que nous sachions (presque) tous qu'il est impossible de prédire l'avenir , cependant beaucoup des personnes que je connais, lisent leur horoscope dans le journal, ce qui heureusement, ne veut pas dire qu’elles y croient.
        Cela me rappelle toujours le sketche de Raymond Devos, dans lequel il lit sur son journal son horoscope en conduisant : "risque d'accident" et ...emboutit la voiture devant lui.
        Cette constatation montre cependant une certaine incohérence, et que nous sommes proba-blement programmés pour rechercher la moindre parcelle d'information relative à notre avenir.
        Les chercheurs pensent que les responsables de cette quête sont nos neurones dopaminergiques, qui sont actifs lorsque l'on attend une gratification (gagner au loto, trouver l'amour de sa vie, réussir un examen… ), mais dont on sait maintenant qu'ils sont avides de toute forme d'information concernant les gratifications que nous pourrions obtenir dans un avenir proche ou lointain.

        Des expériences ont été menées chez le singe (macaque rhésus), qui manifeste un comportement analogue à celui de l'amateur d’horoscope : lorsqu'il attend un événement agréable, mais non parfaitement défini, (par exemple un petit ou grand verre d'eau sucrée) et qu’on lui propose d’obtenir une information sur l'amplitude de cet événement (une image lui montrant la taille du verre à venir), il est irrésistiblement attiré par cette image. En outre, il cherche à obtenir l'informa-tion le plus tôt possible, si on lui laisse le choix entre des renseignements immédiats ou différés.

        Quelque soit l’endroit où nous vivons, notre civilisation, nos opinions politiques ou religieuses, et indépendamment de nos espoirs et de nos craintes, nous voulons savoir ce qui nous attend.
        Si nous lisons naïvement des horoscopes mièvres et peu précis, c’est peut-être parce que nos neurones dopaminergiques échappent en partie au contrôle du raisonnement rationnel de notre cortex préfrontal, , qui anime notre esprit critique.
        Errare humanum est…
        Mais c’est rassurant de voir que le singe ne fait pas mieux que nous !!

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  •        La zoologie a cela d'amusant, qu'il y a des bêtes bizarres oui qui ont une drôle d'allure : des bêtes à long poils par exemple.
    je vous montrerai des animaux aux longs poils soyeux et le plus souvent d'un blanc immaculé (enfin s'ils sont bien lavés), images que j'ai trouvées sur "Buzzly".

        D'abord un petit chien de luxe un "Teacup Poméranien" et un chiot de même race mais noir et fauve :

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         Puis un lapin angora (je ne sais pas si vous voyez son nez !); et une poule Silkie (là on ne voit que le bec !). J'espère que ses œufs ne sont pas aussi poilus !

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                 Deux bichons qui sont allés cehez le coiffeur. Je leur trouve une face de lune !!

          Un bébé albatros (il a l'air mignon et pourtant l'albatros est un oiseau cruel), et un bébé pingouin King :

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         Un autre lapin angora (on voit surtout 2 canines !) et un chat croisé Himalayen-Persan, et enfin un deuxième chat "Pallas", affalé entre deux branches d'arbre :

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         Il m’arrive souvent de critiquer l’esprit moutonnier qui fleurit de nos jours et le fait que l’on ferait n’importe quoi, pour appartenir à un groupe, dont on copie toutes les habitudes, ce qui s’accompagne d’un souci démesuré de l’opinion que les autres peuvent avoir de soi.
        Mais nous ne sommes pas totalement maître de notre indépendance d’esprit : un mécanisme ancestral cérébral ajuste les pensées de l’individu à celle de la majorité.
        Si le cerveau humain s'est doté de structures qui le prédisposent au conformisme, c'est que ces structures sont favorables, voire indispensables, à sa survie, comme le postulent les théories de l’évolution.
        Effectivement, lors des temps préhistoriques, l'être humain ne pouvait subsister qu'au sein d'un groupe, et adopter les pratiques et les façons de penser du groupe était le plus sûr moyen de se faire accepter et d’affronter la nature hostile.
        Aujourd'hui, tout a changé, car l’ère industrielle et la relative autonomie de l'individu l’ont affranchi de l’appartenance obligatoire au groupe et chacun pourrait donc avoir une relative indépendance d’esprit, ce qui, au pays de Descartes et des Lumières, paraît une évidence.

        Mais l’évolution ne permet au cerveau d’évoluer que très lentement. Et comme on va le voir le cerveau est câblé pour adopter la pensée majoritaire. C’est ce qu’a montré une étude publiée en 2009 par l’université de Nimègue aux Pays Bas : nous avons dans notre cerveau un « senseur » de l'idéologie dominante.
        Ce circuit cérébral s'active lorsque nous formulons un jugement s'écartant de la majorité et nous conduit à réviser nos opinions pour mieux nous ajuster à l'avis ou aux goûts dominants. Tant que l'avis de l'individu correspond à celui de la majorité, rien à signaler. Mais si un écart apparaît, deux zones cérébrales s’activent, le noyau accumbens et une partie du cortex cingulaire antérieur, qui constituent ce que les neuroscientifiques nomment le « circuit de détection des erreurs ».
        Rien ne se passe tant que les personnes croient leur jugement correct et tant
    qu'ils ne connaissent pas l'avis de la majorité.
        Quand on le leur communique et si cet avis n’est pas conforme au leur, alors le circuit d’erreur se déclenche, afin d’essayer de leur faire admettre qu'ils se sont trompés et qu'il leur faut réviser leur jugement. Ils le feront souvent sous la pression ce ce circuit.
        Qu'il s'agisse de la mode, des archétypes ou du discours médiatique, voilà localisée dans le cerveau la source de nos conformismes et de l’esprit moutonnier.
       
        Il est certain que ce circuit nous rend influençable et entrave notre liberté d’action, en nous faisant adopter le point de vue du plus grand nombre, nous enlevant une partie de notre créativité, de notre originalité et de notre indépendance.
        D’un autre coté, il nous empêche de nous mettre trop en marge de la société et des règles et des lois, et à ce titre est bénéfique.
    
  Ce circuit a cependant, une utilité permanente : ce circuit s’active d’abord quand nous constatons une erreur, par exemple quand, en classe, un  élève répond à une question et que son professeur le reprend parce qu’elle est fausse : c’est alors un constat.

        Mais il peut aussi anticiper : lorsque nous avons une opinion, mais qu’elle entre en conflit avec des données que nous avons en mémoire, ou contient des éléments contradictoires, ce circuit nous alerte inconsciemment que quelque chose ne va pas, et nous amène, si nous l’écoutons à creuser davantage et à amender nos idées.
        C’est ce circuit d’erreur qui nous alerte quand nous pensons avoir commis une faute d’orthographe ou de grammaire.
    http://lancien.cowblog.fr/images/Cerveau2/detectionerreur-copie-1.jpg    Les signaux d’erreurs émis par le cortex cingulaire antérieur ont été étudiés chez le primate, puis chez l’homme. Ils sont couplés avec le noyau accumbens qui fait partie du «circuit de récompense et d’apprentissage» et émet de la dopamine lorsque nous réussissons une épreuve, ou diminue cette émission lors d’une erreur. Ces circuits d’erreur sont donc essentiel dans tous nos apprentissages.
        Ces centres cérébraux sont étroitement liés avec les zones du cortex préfrontal (le chef d’orchestre du cerveau), qui essaient de prévoir les conséquences de nos actions. Il semble que des scénarios mis sur pied, à la fois par le cortex frontal et par le cerveau émotionnel, soient soumis à l’arbitrage de ce circuit d’erreur. Il évalue en quelque sorte la probabilité et le coût d’obtention d’une récompense.
        Le cortex cingulaire antérieur, notamment dans sa partie rostrale, (voir schéma),  est donc en quelque sorte un « détecteur d’erreur de prédiction ». Ils signale au cortex préfrontal que les événements consécutifs à une action sont plus mauvais que ceux attendus, et qu'il faudra changer de stratégie dans les situations identiques ultérieures

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