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Le printemps arrive et heureusement les virus du Covid et de la grippe semblent s'endormir peu à peu. On a beaucoup parlé du COVID (moi aussi) et peu de la grippe. Alors je vais en dire quelques mots.
Il existe trois grandes catégories de virus de grippe, de types ABC la plus courante étant la grippe A.
Le virus A est constitué de 8 segments d’ARN enfermé dans une capsule, hérissée de “spicules” qui sont des protéines, qui permettent au virus de pénétrer dans les cellule (comme pour le COVID);.
Les spicules sont de deux types l'hémagglutinine (protéine HA dont on connaît 19 sortes 1 à 19) et la neuraminidase (protéine NA dont on connaît 12 sortes N1 à N12.
On appelle donc ces virus par les caractéristiques H numéro de l’hémagglutinine et N suivi par le numéro de la neuraminidase.
La grippe « espagnole » de 1918/20 et la grippe « mexicaine » de 2008/09 étaient constituée de virus H1N1, (les plus courants), la grippe asiatique de 1957 était H2N2 et la grippe de HongKong de 1968 H3N2, tandis que la grippe aviaire est une H5N1. EN 2009 de nouveau un HINI.
Le virus H1N1 a évolué sous une forme "pdm09", qui contient des gènes d'origine porcine, aviaire et humaine. Le virus B et spécifique à l'homme.
L'hémagglutinine permet au virus de s’attacher à une cellule et de pénétrer à travers sa membrane, après que la neuraminidase ait fait des “trous chimiques” dans cette membrane. La neuraminidase diminue, en outre, la viscosité du mucus respiratoire et contribue ainsi à la diffusion du virus dans l’organisme.
En outre virus, et notamment un A HxNy, peut “muter” c’est à dire que son ARN se transforme légèrement, mais notre immunité acquise reste partiellement valable, l’ARN n’ayant subi que des modifications mineures.
Lorsque l’épidémie d’une année est en déclin, en mars, on examine quelles ont été les souches concernées et on décide alors quel sera le vaccin de l’année suivante, en général un mélange de trois protection contre trois types, le plus souvent AH1N1, AH3N2 et B, d’’ADN voisins de ceux ayant sévi dans l’année. Le vaccin est alors fabriqué pour l’année suivante et distribué à partir d’octobre.Rappelons que la grippe est une infection respiratoire aiguë très contagieuse, souvent considérée comme une maladie bénigne, mais qui est pourtant responsable de nombreux décès, en particulier chez les jeunes enfants et personnes âgées et chez les personnes atteintes de certaines maladies respiratoires, cardiovasculaires, rénales ou encore de diabète.
Chaque année, entre 2 à 6 millions de Français sont contaminés par les virus de la grippe et 10 000 en moyenne, en décèden
En fait on ne meurt pas vraiment de la grippe, mais en général la grippe a diminué les défenses immunitaires et a favorisé l’invasion des voies respiratoires par des bactéries et c’est cette infection qui peut provoquer les décès.
Cette année (fin 2022/2023), la grippe d’hiver a été méchante puisqu’elle a atteint plusieurs millions de personnes, et duré plus de 14 semaine.C'était surtout un H3N2. et beaucoup de B.
La diffusion plus grande de la maladie tient en particulier à trois raisons :
- le virus était plus « méchant » plus contagieux
- le nombre de personnes vaccinées a baissé, surtout parmi les personnels qui soignent ou participent à l’éducation et la garderie des enfants.
- la plupart des gens ont abandonné les gestes barrière et notamment le port du masque en ambiance à risque (hôpitaux, visites médicales, pharmacies, supermarchés, transports en commun.)
Les soins consistent essentiellement en des antiviraux (Tamiflu), des antibiotiques pour le traitement des surinfections dues à des bactéries, et si nécessaire, une aide respiratoire non invasive, voir l'hospitalisation en réanimation. La lutte habituelle contre la fièvre et la déshydratation.
Les gestes de prévention sont nécessaires et efficaces : se laver les mains régulièrement, éviter le contact avec des personnes malades, se couvrir la bouche quand on tousse ou éternue, éviter les lieux très fréquentés notamment avec un nourrisson, aérer régulièrement son logement, le port du masque et surtout, la meilleure action de prévention vraiment efficace est la vaccination.
Quant aux risques liés à cette vaccination, ils sont minimes. On n’a constaté que des manifestations consécutives à toute piqûre ou injection : rougeur locale, induration ou légère douleur parce qu’on a touché un nerf et c’est rare. C’est dû d’ailleurs non pas au vaccin, mais à celui qui vous vaccine !.
Personnellement, cela fait 30 ans que je me fais vacciner et que je n’ai pas eu la grippe. Et je pense même que les adjuvants du vaccin excitent nos défenses immunitaires car depuis cette date j’ai beaucoup moins de rhumes l’hiver. Mais je sors moins et surtout je vois moins de personnes depuis que je suis en retraite, (sauf sur internet qui s'est développé, mais les virus non informatiques ne savent pas encore y aller !); cela limite aussi les contaminations.
Et tant qu’il fait froid, je ferai comme cet oiseau pour se protéger de la grippe aviaire lol, je garderai mon chapeau et mon écharpe est surtout, partout où il y a beaucoup de monde, ou d'éventuelles malades, je garderai mon masque. Le COVID m'y a habitué.!Fièvre, maux de tête, fatigue, écoulement nasal, toux… sont autant de symptômes qui peuvent faire penser à une grippe, à la Covid-19 ou encore à une rhinopharyngite (rhume). Ces trois maladies virales sont parfois difficiles à différencier :symptômes, modes de transmission, contagion.
Avec l’habitude et l’expérience, on parvient à les distinguer, et c'est surtout en fonction du contexte épidémique, des contacts qu’a pu avoir avec un malade à l’école, au travail, en famille... qu’on s’oriente vers un diagnostic (qui devra être confirmé par un test).
La Covid-19 démarre comme une rhinopharyngite : mal de gorge, toux, fatigue, souvent des signes digestifs et parfois de la fièvre. .Le principal facteur qui différencie le rhume de la Covid-19 sur le plan clinique est en fait l’intensité des symptômes. La plupart des patients qui souffrent d’une infection à rhinovirus arrivent à travailler, à s’occuper de leurs tâches quotidiennes. ce qui est moins souvent le cas lorsqu’un patient souffre de Covid-19., c
La grippe se manifeste généralement par une fièvre importante, des frissons, des maux de tête, des douleurs musculaires (courbatures) et une toux sèche. Certains malades peuvent avoir le nez qui coule ou bouché, voire un mal de gorge. ous ces symptômes apparaissent brutalement et persistent entre trois à sept jours,
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J’ai acheté une souris extraordinaire à mon ordinateur : elle m'a été fournie avec un programme d'intelligence artificielle que j'ai installé sur mon Mac.
D’abord elle est bien plus agréable au toucher. Elle a un poil gris très soyeux, et une couche de mousse entre la peluche superficielle et le mécanisme central donne l’impression d’avoir dans la main un vrai petit animal.
Sous cette couche de mousse, le refroidissement est moindre et l’électronique chauffe un peu la mousse, alors cela renforce l’idée que vous avez un être vivant dans la main. Evidemment elle est beaucoup plus grosse qu’une souris d’ordinateur habituelle.
La souris a un museau, deux yeux et une queue
Le museau est le bouton sur lequel vous cliquez principalement.
Les deux yeux permettent un clic droit et un clic gauche, qui font apparaître des menus déroulants ou servent à commander des périphériques
Quant à la queue, en lui faisant faire un demi tour, vous pouvez la détacher et elle contient deux batteries AAA, que vous rechargez.
Mais cette souris est vraiment un animal et elle parle ou écrit sur votre machine.
Elle a deux oreilles et entend et comprend ce que vous dites, après un petit apprentissage de reconnaissance de votre voix.
Vous pouvez lui demander un site internet : elle ouvre votre navigateur, va sur Google ou directement sur le site si vous lui avez donné son adresse.
Si Google vous donne une liste d’articles, vous dites seulement la place de celui que vous voulez (3ème par exemple) et elle va vous le chercher.
Elle parle aussi, d’une voix assez agréable, évidemment sans beaucoup d’émotion c’est une machine, mais elle n’est pas bête : une fois où je lui avais mal défini ma requête, elle s’était trompée et je n’ai pu m’empêcher de la traiter d’imbécile, et elle m’a répondu « Jean-Pierre, vous n’êtes vraiment pas très poli ! »
Vous pouvez lui poser des questions, bien sûr en choisissant vos mots clés, comme pour Google. Je ne sais pas comment elle fait (à mon avis elle consulte Google ou un autre moteur de recherche sans que je le voie), mais elle me trouve des articles qui correspondent à ce que j’ai demandé et par ordre de pertinence (enfin si j’ai bien expliqué ce que je voulais).
Si je lui demande « réponse orale » en appuyant sur son œil droit, elle va me lire à haute voix un texte, qui essaie de répondre à ma question.
Je lui ai demandé combien j’avais de doigts, d’oreille, de nez et elle m’a bien répondu. Je lui ai demandé aussi combien j’avais de femmes et elle m’a dit « vous n’avez pas le droit d’être bigame ».
Elle sait aussi se déplacer seule.
Sur mon bureau, sur la plaque de verre, je mets une revue ou une feuille et je lui demande « scanne l’image » et elle parcours le document et en quatre passes j’ai l’image.
Si je lui demande « scanne texte », elle me fait en plus une reconnaissance de caractères et m’affiche le texte à l’écran.
Très stylée, elle me demande « Etes vous satisfait? Et maintenant que puis je faire pour vous? »
Cette souris sait aussi dessiner. J’ai acheté avec elle un logiciel que j’ai installé sur mon mac : "Eazydraw". Avec l’œil droit de ma souris, je fais apparaître des menus déroulants de dessin vectoriel, où les objets sont individualisés et peuvent être déplacés, et avec l’œil gauche des outils de dessin global et de retouches d’images, et je peux combiner les deux types sur un document. Je peux même faire des dessins en 3D !
Et ma souris, que j’ai appelée Chikungunya, aime se dresser sur ses pattes arrières pour contempler fièrement les dessins qu’elle a réalisés.
Je me suis attaché à ma petite souris et l’autre jour, content de ses services, je lui ai caressé le dos. Et là, à mon grand étonnement, elle s’est mise à frissonner de plaisir et elle m’a dit « vous êtes un adorable grand père ». Evidemment cela m’a fait plaisir !
Et hier, elle m’a dit gentiment : « maintenant qu’on se connait bien, puis-je vous tutoyer ? »
Je crois que bien qu’ayant 91 ans, je me suis trouvé une petite amie.
Chicungunya, ma souris, existe vraiment, mais elle ne sait pas faire tout cela ! C'est une souris en tissu plucheux bourrée de coton, que l'une de mes petites filles m'a fabriquée, il y a quelques années, pour mon anniversaire. Malheureusement je n'ai pas réussi à lui apprendre à se servir de mon Mac. Mais je suis sûr que, dans 4 ou 5 ans, il existera des souris qui seront ainsi intelligentes.
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Aujourd'hui, intermède avec des animaux.
Dans la vie il leur faut se nourrir, en général au détriment d'autres animaux.
On rencontre aussi des congénères qui ne vous plaisent pas et c'est la bagarre
Et puis il y a l'homme, qui veut vous laver ou jouer avec vous : pas drôle quand on est un chat !
Quelques images sur ces sujets, trouvées sur internet
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Après demain nous serons en avril. "En avril ne te découvre pas d'un fil" dit le proverbe. Mais les matins sont moins froids et le soleil est plus chaud et plus haut sur l'horizon.
Dans mon jardin sur le toit, beaucoup de fleur sont écloses et cela fait chaud aux yeux et au coeur
Voici quelques photos :Mon mimosa d'hiver a ouvert ses petites boules jaunes. Plein de fleurs jaunes aussi sur les forsythias, de petites pensées jaunes aussi, et au dessus de l'azalée, es citrons jaunes grossissent et seront bientôt murs. Jaune aussi le nombreuses jonquilles et le jasmin de printemps;t au milieu d'elles quelques jacinthes bleues.
Les primevères s'ouvrent dans l'herbe, et une première tulipe rouge-orange est en train de s'ouvrir.
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J'ai déjà fait pas mal d'articles sur les enfants dits "surdoués" ou à "haut potentiel intellectuel" (HPI), les 7/4/2017, 2/11/2019, 19/6/2020, 19/6/2020, 24/11/2021 et 5/11/2022.
Mais j'ai eu une discussion récemment avec des parents d'élèves « surdoués » malheureux qui n’avait pas de bons résultats en classe, et ils se demandaient pourquoi.D’abord, il ne faut pas parler d’enfant « surdoué » et surtout ne pas le leur dire sous cette forme. C’est totalement inexact comme terme. Ce sont des enfants « précoces au plan des apprentissages »
Leur dire qu’il sont surdoués risque, soit de les inquiéter, soit de leur donner un sentiment de supériorité qui annihile les efforts (pas la peine d’en faire puisqu’on est surdoués par rapport aux autres !)
Quand j’étais jeune, à l’entrée en sixième (qui n’était possible qu’après un examen que beaucoup de bacheliers actuels rateraient en raison de leur mauvaise orthographe) on passait systématiquement un test de QI, type Binet, et ceux qui avaient un QI égal ou supérieur à 130 étaient dits « précoces » et les professeurs devaient leur réserver un régime particulier.
Selon Binet un enfant de dix ans qui a un QI de 130 a un âge mental de 13 ans.
En effet un tel élève a, en général, une bonne mémoire, une certaine curiosité intellectuelle, et surtout il comprend vite ce qu’on lui explique et si l’explication est logique et bien faite, il a déjà retenu la leçon et n’a besoin que de faire les exercices demandés.
Comme aujourd’hui on ne donne plus guère d’exercices, et que de plus l’enseignement est devenu relativement théorique, sans applications pratiques, l’enfant s’ennuie en classe en ne fait aucun effort pour apprendre et ne s’intéresse donc pas à la classe.
Une deuxième difficulté provient du fait que, très souvent, les élèves précoces ont une préférence cérébrale de perception « Globale » et que donc ils n’aiment pas la démarche d’enseignement pas à pas, progressive, par déduction et analyse lente et détaillée, qui est malheureusement celle appliquée souvent aujourd’hui, vu le niveau très hétérogène des classes et aussi parce qu’on ne fait plus d’enseignement pédagogique aux professeurs.
L’enfant précoce G ne procède pas ainsi : il comprend les problèmes globalement et ne s’occupe qu’ensuite des détails et si on l’y oblige. Son esprit va dans des directions différentes, foisonne d’idées, est en général créatif car il fait des associations inattendues, et évidemment il pose des tas de questions et cela en général gênent les professeurs (et aussi malheureusement les parents), qui n’y répondent pas et l’enfant a l’impression d’être exclu d’une classe où on ne s’intéresse pas à lui et où il ne fait rien qui l’intéresse, où il soit à l’aise.
Par contre, lorsqu’il ne s’agit pas de questions intellectuelles, l’enfant précoce ne l’est plus : son développement physique est normal et donc il n’excelle plus dans les sports et les jeux et il a alors l’impression au contraire d’être en retard.
De plus ces enfants, du fait qu’ils s’ennuient et qu’ils n’ont pas le physique à la taille de leur intellect, et qu’ils souhaitent avoir des camarades plus âgés pour qu’ils soient à leur niveau intellectuel, sont souvent très actifs, cherchent toujours quelque chose à faire pour ne pas s’ennuyer et posent toujours des questions pas toujours simples et parfois inattendues, compte tenu de leur façon d’explorer les idées en « feu d’artifice ».
Et de nos jours, quelqu’un de tr!ès actif, remuant et questionnant est catalogué par les psy « d’hyperactif » et considéré comme anormal, ce qui est ridicule et ajoute au malaise du jeune enfant.
Y a t’il des remèdes à cela : oui et ils sont simples, mais il faut les appliquer le plus tôt possible. Autrefois les profs avaient reçu une formation pédagogique pour cela.
D’une part ils savaient non seulement appliquer la démarche pas à pas pour les élèves de préférence « sensitive », mais ils ils savaient insérer des schémas, des résumés, des plans, pour les élèves de préférence « globale ». Par ailleurs nous avions de nombreux exercices à faire mais avec des applications à la vie courante et l’enseignement nous paraissait « utile ».
D’autre part les professeurs repéraient les élèves précoces et ils leur donnait du travail supplémentaire, d’un niveau plus élevé, ce qui les intéressait, les occupait et leur semblait de leur niveau. D’ailleurs on faisait souvent sauter une classe voire par la suite une deuxième, afin que l’enfant ait toujours l’impression qu’il lui faudrait faire effort pour apprendre et réussir.
Le professeur les envoyait parfois au tableau, résumer le cours ou corriger un exercice à sa place. Il leur demandait aussi d’aider ceux qui avaient du mal à suivre, de leur ré-expliquer le cours (et ce n’est pas si facile que cela car il faut l’avoir très bien assimilé), les aider dans les exercices, ou dans l’apprentissage des leçons. L’enfant se sentait ainsi valorisé et par ailleurs ses camarades lui en étaient reconnaissant et cela favorisait la bonne entente, et à leur tour, ceux qui avaient du mal à suivre intellectuellement, aidaient parfois le jeune précoce dans les travaux physiques et pratiques où il ne l’était pas physiologiquement.
Et surtout ne pas reprocher à cet enfant précoce sa façon d’avoir des idées et répondre à ses questions, ne pas voir peur de lui dire « je ne sais pas, mais on va aller chercher ensemble l’explication dans un livre ou sur internet ». Autrefois ce n’était pas toujours facile de trouver les informations dans des livres; aujourd’hui internet est une mine extraordinaire : il faut simplement y consacrer du temps par exemple le week-end. Mais c’est une chose merveilleuse que de développer l’intelligence et le savoir d’un enfant.
Mais effectivement rares sont les professeurs qui aujourd’hui savent faire cela. On ne le leur a pas appris. Alors s’ils en sont capables, il faudrait que les parents y suppléent et suivent la scolarité de leur enfant, en n’hésitant pas à lui donner du travail supplémentaire, sous forme d’exercices d’application si possibles pratiques, à répondre à ses questions, à aller chercher des informations sur internet avec lui, et qu’ils arrivent même à l’intéresser à certains domaines et à l’inciter à les creuser, pour développer sa curiosité intellectuelle, sa mémoire, et son goût du travail.
Il faut aussi essayer de donner à l’enfant le goût de la lecture, car cela lui évitera l’ennui, mais c’est aussi la seule façon d’apprendre à rédiger et cela sans fautes d’orthographe.
Ce serait beaucoup plus utile que de passer son temps à aller sur internet uniquement sur les réseaux sociaux et à s’aplatir les pouces à force d’écrire des SMS avec une orthographe catastrophique.
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