• La flamme olympique à Marseille.

    La flamme olympique à Marseille.

              Comme la plupart des français, j’ai regardé, hier matin et après midi l’arrivée de la flamme olympique à Marseille.et le soir l’émission de France2 sur le fête, organisée à cette occasion.  Ils ont eu de la chance d’avoir du beau temps et peu de mistral.
              Maintenant je saurai vraiment comment on porte une torche olympique, vu le temps de portage que l’on nous a montré. 
              Je m’intéresse beaucoup aux bateaux, ayant fait du dériveur et du quillard avec ma famille, et la multitude de bateau que l’on a vu autour du Belem m’a impressionné. J’espère qu’il n’y a pas eu de collisions. La télé a parlé de 1024 bateaux, (ce ne sont pas des bits !), et il y avait un concert de cornes de brumes.!
              Ce vieux trois mâts, à coque en acier, un des plus anciens en Europe en état de navigation, est superbe et les jeunes qui avaient été embarqués semblaient ravis de leur voyage. Mais j’ai connu une entrée au port plus spectaculaire, lors de l’entrée d’un voilier méxicain à Rouen, tous les gabiers alignés sur les grandes verges du trois mâts.
              J’ai eu la surprise de voir la « Belle Poule » et le Bagad de Lann Bihoué avec ses sonneurs bretons qui était en tête pour acuiellir la flamme olympique. Les pompiers de Marseille étaient aussi à l’avant evec l’envoi de grans jets d’eau certs le cielL
              La manoeuvre n’était pas facile car un bateau de cette taille doit avoir une grande inertie et la place n’était pas grande au milieu de tous les bateau de plaisance garés dans le port.Je me rappelle avoir été en panne de moteur et être rentré dans le port de Belle Isle à la voile et avoir été plutôt angoissé, alors je me rends compte de la difficulté de renter un énorme voilier d’un grand poids ai bout d’un quai, même au moteur.
              Le Belem était en grande tenue, avec tous ses petits pavillons colorés , dont chacun a une signification : une lettre ou un chiffre. Ce n’est évidemment plus utilisé aujourd’hui, comme moyen de communication, mais c’est joli. 

    La flamme olympique à Marseille.

     

     

     

     

     

     

     

    La flamme olympique à Marseille.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La flamme olympique à Marseille.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La flamme olympique à Marseille.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ci dessus le Belem; puis le voilier mexicain Cuauhtenmoc à son entrée à Rouen.

             La patrouille de France a fait son passage, toujours exceptionnel.

              Il y avait vraiment une foule de spectateurs, c’était impressionnant, mais je me trouvais vraiment bien devant ma télé. Etre comprimé au milieu d’une foule ne m’a jamais plus.

    La flamme olympique à Marseille.

              Evidemment il fallait remplir tous les instants et il y a eu beaucoup de baratin, de répétitions et de banalités sans grand intérêt  des journalistes et présentateurs de la télé.Trop d’interview de personnalités, même sportifs ou rappeurs,  finit par être lassant.

              La soirée à la télé ne m’a pas passionné. Soprano et Amlonzo ne sont pas ma tasse de thé en matière de chansons.

              Le feu d’artifice, en fin de journée, était très beau.

              Et puis, les jeux olympiques en France, ce n'est pas tous les ans. La prochaine fois où cela aura lieu, je ne serai plus de ce monde. Alors cela vaut le coût de regarder.
              Mais les jeux, ce sont avant tout les performances sportives.

     

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