• La langue de bois.          Vous rêvez d'entrer à L'E.N.A., de devenir un homme politique habile capable de se tirer de toutes les situations face aux micros ou bien de composer les discours des ministres etc. ? Alors entraînez-vous vite à composer méthodiquement des discours... sur n'importe quoi.

               J'avais trouvé, il y a quelques années un site sur internet sur lequel on pouvait apprendre à parler la "langue de bois".
                On pouvait s'y entraîner et générer automatiquement des discours politiques, des lettres patronales et même des lettres de motivation... évidemment dans le plus strict respect de la langue de bois.
               Ayant entendu quelques discours remarquables à la télé ces jours-ci, j'ai voulu retrouver ce site mais en vain : il a été supprimé.
               J'avais gardé deux tableaux de ce site que je vous montre pour que vous vous amusiez à vous exercer.

    La langue de bois.

               Pour le premier ci-dessous, commencez par la case en haut à gauche, puis enchaînez avec n'importe quelle case en colonne 2, puis avec n'importe laquelle en 3, puis n'importe laquelle en 4 et revenez ensuite où bon vous semble en colonne 1 pour enchaîner au hasard... Mais surtout, n'oubliez pas l'essentiel : mettre l'intonation et la force de conviction appropriées !

              Maintenant vérifiez votre vocabulaire et si vous êtes doué en langue de bois.

    La langue de bois.

     

              Voici les solutions : les mots à employer.

    A1. Vous solutionnez un problème
    A2. Vous ne simplifiez pas, mais vous décomplexifiez
    A3. Vous ne concluez pas une affaire, mais la finalisez
    A4. Vous vous efforcez de développer l'éducatibilité cognitive de vos collègues
    B1. le D.G. m'a confié, off the record, que sous ton leadership le brainstorming sur le reengineering a été très challenging. Attends le feed-back ! je suis surbooké mais je te brieferai sur le relookage...
    C1. Vous êtes victime d'un déficit d'image de marque
    C2. Vous êtes un senior confirmé

    D : toutes les réponses ne sont que des copiés-collés directs de réponses affichées par "Google" 
    D1. "Le marketing global nerf de la guerre du redressement de Jet Tours"
    D2. "La Commission désire qu’une réflexion globale et une large consultation soient engagées pour redéfinir les fondements de la future politique"
    D3. "Un partenariat performant en synergie avec plusieurs établissements de crédit pour vous proposer les meilleurs taux de prêts immobiliers."
    D4. "La dialectique des réseaux et du territoires illustre la mise en tension de deux logiques qui ne s’articulent pas spontanément".
    D5. "Un observateur qui utilise l'analyse systémique portera son attention à la causalité circulaire" / Nous procéderons à "une analyse systémique de la ségrégation entre collèges"

    D6. "A partir des paradigmes de l'enseignement, on peut construire la formation de l'enseignant en huit points"...
    F1. Fausses illusions
    F2. Panacée universelle
    F3. Le maximum de son apogée
    F4. Entraider mutuellement
    F5. Achever complètement
    F6. Actuellement en cours
    F7. Milieu ambiant
    F8. Contraint malgré soi
    F9. L'ultime effort final
    F10. Monopole exclusif
    F11. Erreur involontaire
    F12. Souvenirs du passé
    F13. Projet d'avenir
    F14. Prévoir d'avance
    F15. Faux prétexte

     Nota : si vous lisez mal les tableaux, cliquez pour les sélectionner et sortez les sur votre bureau d'ordinateur. Vous pouvez alors l'agrandir en tirant sur les coins.

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/Unknown1-copie-3.jpg
         La première fois que j’avais entendu parler de lapins verts fluorescents, j’avais cru à une mauvaise blague, puis j’ai fait un peu de doc et je vous avais expliqué que, pour des recherches médicales, des taïwanais avaient créé des cochons phosphorescents, en insérant de l'ADN de méduse dans des embryons de porcs.
        Un morceau de gène de méduse avait été inséré chez 265 embryons inséminés dans 8 truies et 4 petits cochons sont nés.
        A la lumière du jour, les yeux, dents, pieds et ongles des mutants sont teintés de vert. Dans l'obscurité, une faible lumière verdâtre fait briller les cochons surtout si on les expose aux UV. A part cela, les animaux restent complètement normaux.
        Par la suite, une des truies parmi les 4 porcelets étant devenue adulte et était fluorescente, a eu des porcelets. Le papa était normal, la maman brillait sous les ultra-violets. 11 progénitures ont vu le jour et parmi celles-ci, 2 ont acquis la caractéristique brillante de leur maman. Le gêne a donc été transmis.
        Ces découvertes ont été couronnées par un prix Nobel en 2008.
        Malheureusement je ne pense pas que si on en faisait du saucisson, celui-ci serait fluorescent. Dommage on pourrait mieux le retrouver la nuit en camping.

        L’explication est la suivante :
        La protéine d'une méduse qui rend transparente et verte, est issue d'un gêne particulier que l'on peut prélever. Elle s’appelle GFP. (Green fluorescent protein)
        Si on fusionne ce gêne in vitro avec un gêne de cellules que l'on veut étudier, on peut ensuite introduire le gène résultant de cette fusion dans des cellules ou dans un embryon d'animal qui va alors synthétiser la protéine ainsi fabriquée, qui rend la cellule, fluorescente. On pourra alors l'observer à l'aide d'un microscope à fluorescence, par exemple.  Cela permet donc d’étudier des cellules in vivo, dans leur milieu naturel.

        Au fait, moi aussi je suis un grand biologiste ! je sais faire des cochonnets fluos : je prends un cochonnet de pétanque, je le peins en vert fluo  et je crée ainsi un cochonnet fluorescent !  Et économique et écologique : il ne mange pas et ne pollue pas !

        J’en viens à ce dont toutes les télé ont parlé, il y a quelques années : l’agneau qui avait reçu un traitement analogue à l’INRA et qui, à la suite semble t’il d’une malveillance, a été envoyé à l’abattoir avec des agneaux normaux, débité et vendu comme viande de consommation à un particulier.
        Cela a fait grand bruit, mais en fait sans grande importance. Cette protéine est tout à fait inoffensive, déjà par elle même, mais à fortiori, digérée par le système digestif et cuite au préalable (donc peut être détruite). Et la consommateur, à son grand regret, ne deviendra pas fluorescent, car elle n’a pas été mise dans son ADN !!
        Pourquoi cet agneau à l’INRA ?
        L’INRA étudiait comment, après un infarctus, des cellules pourraient être greffées sur le tissus cardiaque pour le réparer. Evidemment on étudie cela sur des animaux et le cœur d’un mouton a des caractéristiques voisines de celui de l’homme.
        La fluorescence sous UV permet de suivre le développement des greffes du cœur.
       
        L’affaire a fait beaucoup de bruit alors qu’il n’y avait aucun danger.
        Cette agnelle appartenait, au titre de la réglementation en vigueur, aux organismes génétiquement modifiés du groupe I, « dont le risque pour la santé humaine et pour l'environnement est nul ou négligeable ». L’unité de recherche qui pilotait ce projet scientifique bénéficiait d’un agrément. Elle contenait le gène GFP, mais il ne s’était pas exprimé et ses cellules n’étaient pas fluorescentes !
        Ce qui choquant c’est qu’elle soit passé facilement dans le secteur alimentaire.
        L’incident a fait l’objet d’une enquête administrative interne dès le mois de décembre 2014, et des mesures ont été rapidement prises : suspension de toutes les ventes de bétail par l’INRA, suspension conservatoire de l’agent ayant dissimulé la mise sur le marché, arrêt des expérimentations et destruction de tous les matériels génétiquement modifiés sur le site de l’Unité concernée.

        Les premières études sur le gène GFP sont anciennes; elles datent de 1962.
    L’utilisation pour rendre des animaux fluorescents date de 1992 et les premiers animaux utilisés étaient des embryons de poissons. Cela permettait sur des poissons zèbres qui sont un peu transparents, de visualiser le système circulatoire (voir photo ci-dessous)

    http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/zebrafishweinstein.jpg

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/SanteBiologie-1/20130612ecranparentstelevisionorditablette.jpg

        On trouve des tas d’articles dans les médias, qui font une large publicité autour des bienfaits des jeux sur ordinateur pour développer les capacités des enfants. On va jusqu’à dire qu’on peut améliorer leur performances de lecture et éviter la dyslexie. Et évidemment on parle de réflexes, de rapidité de décision, d’évacuer son agressivité et son stress, de détente…. voire même de « l’éveil des bébés » grâce aux tablettes.
        Mais on ne parle jamais d’études sérieuse scientifiques, et l’industrie du jeu sur ordinateur pesant plus d’un milliard ce chiffre d’affaire annuel, il faut bien essayer de garder cette manne.
        De plus les ados passent des heures devant leur messagerie ou l’écran de leur smartphone.
        Là encore les intérêts financiers sont tels que la littérature à laquelle on a facilement accès est largement biaisée.

        Le développement de notre intelligence passe par l’éducation et l’instruction.
        Nous apprenons d’abord une multitude de règles pour nous maintenir en bonne santé et pour vivre au mieux en société, en communiquant avec les autres humains.
        Puis nous apprenons de nombreux mécanismes qui nous seront utiles toute notre vie : lire, écrire, , raconter, rédiger, calculer…. Mais ces connaissances ne s’acquièrent que grâce à des exercices nombreux. D’autres exercices nous familiarisent avec des outils, des mécanismes des objets de notre vie courante, leur compréhension et leur utilisation.
        Apprendre par cœur n’est pas important le plus souvent pour ce que nous retenons, que nous oublierons pour beaucoup, mais cela forma notre mémoire. Et la mémoire c’est 60% de l’intelligence.
        De même ce que nous apprenons en histoire, en littérature, nous n’en retiendrons pas tout, mais cela nous confronte aux idées d’autrui, aux divers points de vue, cela ouvre nos esprits, stimule notre imagination.
        En sciences, là encore il ne s’agit pas d’engranger des connaissances, mais d’apprendre la logique, à réagir devant une hypothèse au lieu de croire n’importe quoi, comme des moutons, et de connaître un minimum de données et de procédés de mathématique, de physique et de chimie ou de biologie utiles dans la vie courante.
        Les exercices de mathématiques où l’on cherche une solution (et non lorsqu’on vous donne la démarche à faire), stimulent notre créativité.
        Il est évident que des cours sans exercices d’applications ne servent pas à grand chose, et le temps que les jeunes passent devant les écrans est autant de temps qu’il n’utiliseront pas dans leur formation.

        De nombreuse études scientifiques montrent que l’usage intensif d’écrans par les très jeunes enfants touche le développement cognitif : appauvrissement du vocabulaire, difficulté d’expression le cerveau s’habituant plus à l’image qu’au langage, méconnaissance de la grammaire et de l’orthographe, baisse de l’attention et de la concentration au bénéfice de la dispersion et du « zapping », défaut de motivation et d’iamagination

        J’ai déjà fait plusieurs articles sur l’effet des jeux violents et je ne reviendrai pas sur ce sujet, mais il est avéré que l’utilisation fréquente de ces jeux, habitue à la violence, et favorise l’agressivité et même les actes violents.
        De plus l’usage intensif des écrans et des claviers, déforme la connexion entre les organes d’interprétation de la vison, le cortex préfrontal et les centres de commande motrice (notamment du pouce). J’ai fait un article à ce sujet, reprenant ce que disait le professeur et chercheur Olivier Houdé, spécialiste de la formation des enfants.

        Dans ce domaine la responsabilité des parents est grande. On met dès 2 ans l’enfant devant la télé, puis on se débarrasse de lui devant les jeux d’ordinateur et de console, puis on lui achète trop jeune un téléphone portable. L’enfant est laissé ainsi à lui même au lieu d’être éduqué et il devient peu à peu accro aux écrans de toutes sortes.
        La plupart des parents ne sont d’ailleurs plus au fait des différents outils auxquels leurs enfants ont accès et sont tout surpris s’ils découvrent la « vie numérique » de leur enfants et ses excès de toutes sortes.
        Même les enseignants s’émeuvent des conséquences de l’usage des smartphones dans l’enceinte de l’école, non seulement pour les perturbations dans les cours, mais aussi sur le vocabulaire utilisé, le partage de photos narcissiques ou provocantes, voire choquantes ou pornographiques, la publication de photos sans mesurer la portée de leurs propos, lesquels peuvent blesser, humilier, ridiculiser….

        Certes il ne s’agit pas plus de supprimer les écrans que de revenir à la lampe à pétrole, mais d’en freiner l’usage abusif chez les enfants et d’essayer d’orienter leur utilisation vers des usages plus utiles et moins nuisible.
        On pourrait penser que les jeux et usages d’écrans sont réservées aux familles aisées. Il n’en n’est rien; cet usage intensif frappe les famille les plus modestes et encore plus les jeunes qui ont des difficultés scolaires.
        Il est curieux de constater que les grands noms de l’informatique veillent au contraire à protéger leurs enfants de l’usage intensif d’écrans, car comme disait Steve Jobs, « nous avons vu de près les dangers de la technologie; je ne veux pas que cela arrive à mes enfants ».

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  •      A Saint Colomban, dans ma maison de Bretagne, au début de la nuit, on voit souvent des hérissons arpenter le jardin, en particulier papa hérisson, maman et deux jeunes.
         Le hérisson est un petit mammifère (voyez la photo où les petits tètent leur mère), qui mesure de 20 à 30 cm de long pour une hauteur de 10 à 15 cm. Son poids de 800 à 2000 grammes varie en fonction des saisons, de l’abondance de la nourriture et de son âge.
         Sa longévité est de 7 à 10 ans. Mais le taux de mortalité est très important et l’espérance de vie est de 3 ans en moyenne et il ne dépasse pas 5 ans en captivité.
         Il se déplace en moyenne dans la végétation à la vitesse de 3 mètres par minute et on dirait une voiture tout terrain oscillant cahin-caha. Il sort surtout la nuit.
         Sa nourriture est constituée essentiellement des insectes nuisibles du jardin, des escargots et des limaces.
         Le hérisson a la vue faible mais il distingue néanmoins certaines couleurs, mais son odorat et son ouïe sont très développés
         Ses piquants sont au nombre de 4000 à 7000 selon l’âge et le poids de l’animal. Son ventre ne possède pas de piquants, uniquement des poils
         La température corporelle est d’environ 35°C et descend à 5°C en hibernation.
         Et voici les photos :

    mon ami le hérisonne
    http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/IMG2019.jpg

    http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/petitherissonalaise.jpghttp://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/herisson.jpghttp://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/Bbherisson.jpghttp://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/753.jpghttp://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/mere10.jpg

    Mon ami le hérisson

    http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux5/Chatherissons3.jpg

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  • Deuxième sujet de la filière technologique :

     

    Transformer la nature est-ce gagner en liberté ?

    Transformer la nature est-ce gagner en liberté ?

             Que je n’aime pas ce sujet qui est ambigu et a un aspect politique.
             Par ailleurs le mot « nature » peut être pris avec un sens plus ou moins exhaustif.
    Prenons le au sens large, de l’ensemble de chose et des êtres, le monde physique et de la Terre.
              Le mot liberté n’est pas moins ambigü : je parlerai plutôt d’indépendance, de réduction des contraintes et des difficultés ou des obstacles.

               Il est certain que l’homme, depuis qu’il existe n’a pas cessé d’agir sur son environnement et donc sur la nature.
               Il a d’abord assuré son existence en chassant, en cueillant, puis et faisant de l’élevage et de l’agriculture. Il a construit des maisons, des villes, des routes, des moyens de communication terrestres, maritimes et aériens (et même spatiaux).
               L’industrie a révolutionné notre vie avec l’essor de la mécanique de l’électronique et de l’informatique. La physique et la chimie ont permis la création de maints objets, substitu-tion du naturel
               La médecine, par l’intermédiaire des médicaments, des outils d’intervention et d’exploration de notre corps, des greffes, du clonage, de l’assistance à la procréation, repousse les limites de la vie.
               Les technologies de la communication nous affranchissent du temps et de l’espace grâce au transfert instantané de l’information.
                L’automatisation, mais surtout la robotique et l’intelligence artificielle visent même à remplacer en partie l’homme.
                Grâce aux sciences et techniques, l’homme devient le « maître » de la nature; il force en quelque sorte la nature à lui fournir ce qu’elle ne lui offre pas d’elle-même.

               Bien entendu, ce « progrès » le rend plus indépendant, le libère de contraintes, lui permet de résoudre des problèmes , de franchir des obstacles. Les êtres humains dégagent ainsi du temps pour se consacrer à autre chose et développer leurs facultés.

               Bien évidemment il faut regarder si ce « progrès » n’a pas un revers de la médaille.
               L’homme s’est laissé emporter par l’appât de la richesse, de la possession, de la croissance économique, de la consommation, du "toujours plus".
               La société actuelle produit une énorme quantité de richesses, a des moyens de plus en plus performants, et les connaissances scientifiques croissent de façon exponentielle.
               Mais tandis qu’on pourrait croire que la satisfaction des besoins de chacun est à portée de main, on n’arrive pas à éradiquer la pauvreté, à ce que tous mangent à leur faim, que tous puissent être soignés correctement et disposent d’un minimum de confort.
               Les innovations en entraînent d’autres sans que nous ayons le pouvoir collectif d’en décider et sans prise en compte de nos besoins réels, des coûts environnementaux, des conséquences éthiques de certaines inventions
               De même, nous constatons qu’au lieu de nous libérer du travail, l’amélioration de nos moyens de transformation de la nature induit de nouvelles tâches venant remplacer les anciennes, mais aussi crée du chômage et des situations très pénalisantes.
               Les difficultés à enrayer le processus de réchauffement climatique montrent que l’innovation technologique obéit à la logique incontrôlée de la croissance économique.
              Mais j’ai souvent parlé du climat et je ne m’attarderai pas sur ce point aujourd’hui, n’étant d’accord ni avec le gouvernement, ni avec les écologistes.

               Ce constat ne doit toutefois pas conduire à un retour à une sorte de relation originelle à la nature, comme si notre destin était de redevenir des chasseurs-cueilleurs !
               Le progrès est une nécessité et nécessite une transformation de la nature dont maintes conséquences sont bénéfiques.
               Mais la nature n’est pas malléable à souhait. Elle a ses règles très complexes, très dépendantes les unes des autres qui régissent le climat, la diversité biologique, la limitation des ressources naturelles.....
              Pour être émancipatrice et épanouissante, il faut que l’activité humaine respecte ces règles de fonctionnement de la nature, principalement physiques chimiques et biologiques,  et elle doit la connaître (ce qui est très difficile et compliqué et nécessite de nombreuses études scientifiques), et en respecter les particularités, en adptatant en conséquence ses innovations.
               Mais j’aurais, en plus, envie de rajouter que les hommes font partie de la nature, et que l’humanité à tendance, trop souvent, à ne pas respecter la personne humaine et le droit humanitaire et à négliger les aspirations des minorités et la concertation.

     

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