•           Une de mes filles a envoyé au vieux singe que je suis, quelques photos d'une jeune guenon (mais une vraie celle là!) que j'ai trouvées attendrissantes et je ne résiste pas à l'envie de les publier.

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  • Pourquoi tant de ruptures

         Comme je vous l'ai dit, je m'étonne de certaines ruptures dans des amours qui n’étaient pas des amourettes, mais avaient l’air de devoir durer et je m’interrogeais sur leurs raisons.
         Je vais donc compléter mon article d'hier, mais en faisant abstraction du coronavirus, qui est une raison nouvelle que l'on n'a pas encorebien analysée.


        Une première constatation : lorsque les deux amours diminuent simultanément de part et d’autre, la rupture est plus facile. On s’aperçoit qu’on se plaît moins, qu’on s’entend moins, qu’on s’éloigne mutuellement l’un de l’autre et puis un jour on fait le constat et on se sépare.
        Ces cas là ne font pas trop mal et donc on ne vient pas trop m’en parler.

        Le cas difficile est celui où l’un aime beaucoup plus que l’autre dont l’amour diminue.
        Il y a des cas où cela vient peu à peu : la vie ne correspond plus à l’évolution de chacun, un mal être, ou une situation étouffante s’installe, celui ou cellequ’on aime paraît soudain distant(e), et vos sentiments restent attachés alors que l’autre fuit : l'amour que vous portez ne rencontre plus d'écho.
        Là on est prévenu, mais on reste parfois aveuglé dans son amour pour l’autre, ou l’on n’y croit pas, on pense que c’est passager.
        Mais il y a des cas où c’est plus soudain, brusque, violent par sa soudaineté.
    Pourquoi.?


        Je pense qu’il y a au départ un manque de communication. Celui qui accumule peu à peu des griefs, ou celui qui tergiverse et hésite, n’en parle pas; l’autre n’est pas attentif et ne fait pas d’effort pour diminuer ces griefs qu’il ne soupçonne pas.
        Quand on se parle qu’on se dit (presque) tout, le bon comme le mauvais, avec calme et sans reproches véhéments, on arrive à percevoir les détériorations de la situation quand il est encore temps, et chacun peut faire effort, redresser la barre à temps.
        Rien n’est pire que celui qui rumine dans son coin et ne dit rien. Avec lui on va au clash à terme.
        Dans le silence de l’autre, il faut parler, interroger, prendre la température, être vigilant.

        Il y a aussi des cas ou l’un écrase l’autre et lui fait subir sa loi.
        Cela peut être une différence importante d’instruction et de culture, ou de niveau financier, ou de réussite dans le métier. Cela on le savait au départ, mais les inconvénients n’apparaissent que peu à peu, quand on vit ensemble.
        Cela peut provenir surtout d’un autoritarisme, d’une volonté de dominer, voire simplement d’un charisme et d’une réactivité beaucoup plus grande, qui font que c’est toujours le même qui entreprend et l’autre qui cède, qui fait des sacrifices, qui peu à peu étouffe dans son coin. Et en général celui qui en est la cause ne s’aperçoit de rien et celui qui subit n’ose en parler de peur de choquer l’autre et de le perdre.
        Là aussi le manque de communication est flagrant.

        Mais le problème peut aussi apparaître alors que les deux protagonistes ont à peu près le même niveau et le même caractère fort.. Seulement ils ne le reconnaissent pas ou ne veulent pas l’admettre. Dans un couple il faut le respect absolu de l’autre, de sa liberté de penser et d’une certaine liberté d’agir à l’intérieur de règles communes.
        Je suis souvent frappé par le caractère “macho” de certains garçons qui souffrent d’avoir une compagne qui les égale intellectuellement, qui soit moins timide et plus décidée qu’eux, de telle sorte qu’elle prend plus d’initiatives.
        Ils ont alors une impression fausse d’être à sa remorque et ils le cachent soigneusement, ayant honte de cela.
        Ils ne savent pas combien au contraire ils auraient de la chance d’être ainsi avec quelqu’un qui peut les comprendre, si elle a le même respect pour lui.

        Très souvent on a beaucoup d’activités communes, on s’entend bien, tout a l’air de baigner dans l’huile, mais on s’éloigne peu à peu intellectuellement et sentimentalement l’un de l’autre, parce qu’on a aussi des occupations différentes, des amis différents, et que l’effort pour faire la conquête de l’autre est passé.
        Aujourd’hui avec l’évolution des moeurs et l’influence des médias, les jeunes ne sont pas conscients de l’évolution normale d’un amour. Pour eux ce devrait être l’excitation permanente de la conquête, l’effort pour plaire et s’occuper de l’autre, la volonté de faire des compliments et d’éviter les reproches, les mots doux, les coups de fils et les SMS plusieurs fois par jour, le souhait de n’avoir que des jours de bonheur et pas des jours de peine à partager.
        Et ils sont déçus quand cette situation diminue, évolue et pour eux c’est la catastrophe de la routine, de la contrainte.

        Autrefois la pression sociale était différente. On savait qu’après l’effervescence de la découverte, venait la vie de tous les jours en commun, avec ses occupations parfois sans intérêt voire contraignantes, avec ses joies et ses peines. On savait que le grand amour du début s’émoussait avec la réalisation de la conquête de l’autre , que ce coté motivant allait être remplacé par une habitude mais qu’il resterait un amour moins fort mais plus profond et un profond attachement pour l’autre, mais qu’il fallait entretenir, et qu’il fallait imaginer et réaliser une vie de couple, faite de souhaits, d’efforts et de réalisations communs. On savait qu'on s'engageait non seulement à s'aimer beaucoup, mais dans une "coopération" pour bâtir une vie commune, pour créer un nid où il ferait bon vivre avec des enfants, pour affronter à deux les caprices de la vie et du métier, et probablement un jour pour vieillir ensemble.

        Aujourd’hui, le jeune qui ne sent plus sa passion croit qu’il n’aime plus, parce qu’il n’a plus rien à conquérir, mais tout à défendre et réanimer en permanence.
        C’est d’ailleurs pour cela que plus de 50% des couples mariés divorcent aujourd’hui. Il ne savent pas vivre ensemble, avec amour mais sans passion, en partageant joies, mais aussi les peines, en se soutenant mutuellement. L'amour sentimental et physique peut être là  très fort, mais cette responsabilité commune de bâtir une vie n'est plus dans les moeurs, et lorsque l'amour faiblit, usé par l'habitude, il n'y a pas d'entreprise, de défi commun, de réalisation qui vous motive et soutienne cet amour et on va vers la séparation. C'est plus la société d'aujourd'hui et l'éducation qui est la responsable de ces ruptures.

        Tendresse, respect de l’autre, de ses idées et d’une certaine liberté, communication et effort de vie commune, de former un vrai couple, ce sont des qualités qui ont fait en partie défaut , car la société et les parents d'aujourd'hui n'ont pas su les enseigner..

        Quand je vois un couple sur le point de rompre, et qui vient m'en parler, j’analyse leurs préférences cérébrales, leurs goûts, leurs valeurs (au sens moral), leurs niveaux respectifs et leurs aspirations. En général je trouve les principales sources de divergence qui ont favorisé leur séparation.
        Mais il arrive que je trouve un couple qui en a fort peu, qui aurait pu s’entendre à merveille, et où la divergence est venue d’une susceptibilité mal placée et surtout d’un manque de communication.
        Je regrette alors beaucoup ce qui s’est passé, j'essaie de leur expliquer que tout n'est pas perdu, mais si je ny arrive pas, je pense que celui qui a rompu, regrettera par la suite, quand devenu adulte et plus réfléchi, quand il aura comparé avec d’autres conquêtes, la vie qu’il ou elle aurait pu mener, avec celle ou celui dont il s’est bêtement séparé.

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  • Pourquoi les couples se séparent ils ?

         J'ai eu récemment les doléances de couples qui n'ont pas supporté le confinement et sont sur le point de se séparer, ayant l'impression que leur entente est finie définitivement.
         Cela me rappelle d'autres cas de jeunes correspondant(e)s de mes blogs, auxquels il est arrivé la même mésaventure, bien que sans coronavirus, et je me pose beaucoup de questions sur l‘origine de ces ruptures et je vais donc revenir sur ce sujet dans des articles, bien que chaque cas soit évidemment particulier.

        La plupart d’entre vous m’expliquent que leur copain a brusquement rompu, alors qu’au contraire, ils faisaient des projets d’avenir pour s’établir durablement. Je connais des cas où c’est au contraire la fille qui a rompu quand on lui a proposé de se marier.
        Beaucoup d’entre vous pensent que c’est la peur tout à coup de s’engager, l’un des deux souhaitant une situation stable et d’avenir, et l’autre hésitant, prenant peur de s’engager à long terme, de ne plus avoir de choix, d’aliéner sa liberté de façon définitive.
        Mais en général la personne trouve des tas de raisons autres pour se justifier (quand elle veut bien le faire), la principale étant que l’amour initial s’est peu à peu éteint, et pourtant, dans presque tous les cas que je connais, il n’y avait pas de tierce personne en cause (fille ou garçon), pas de nouvel amour faisant oublier l’ancien, et rien n’apparaissait dans l’attitude du couple pour laisser présager la rupture.
        Alors un amour ne disparaît pas ainsi brutalement.
        Je dis souvent que chez les jeunes, la plupart des amours ne sont que des amourettes et que la rupture au bout de quelques temps est normale.
        Mais là il s’agissait de jeunes plus âgés, ayant connu déjà plusieurs expériences et qui semblaient avoir des sentiments sérieux l’un pour l’autre et s’entendaient bien.

        Refus de s’engager, c’est ce que je vais essayer d’examiner aujourd’hui.
        Quelles peuvent en être les raisons;?


        La peur de ne pas pouvoir vivre de façon autonome, sans l’aide des parents? De ne pas trouver de travail dans cette période de crise et donc de ne pas avoir une indépendance financière suffisante.
        Plus de la moitié des couples dont je parle avaient au moins un emploi rémunéré, voire les deux.
        La crainte, surtout pour les garçons, de ne pouvoir consacrer suffisamment de temps à leur travail et donc de ne pas progresser assez dans leur carrière.? C’est assez peu convaincant car je pense qu’on peut concilier travail et vie de famille. Et qu’on soit marié ou non, être en couple est de ce point de vue, identique.
        Peur d’avoir des enfants à élever, de ne pas être prêts à cela, à ma connaissance, ils n’en étaient pas encore à parler de cela.
        Crainte d’aliéner sa liberté? Mais ils vivaient depuis plusieurs années ainsi, alors pourquoi une prise de conscience aussi brutale.
        Peur des responsabilités, mais certains en prenaient déjà dans leur famille, dans leur travail ou dans le milieu associatif.
        Peur d’être lié, de ne pas se sentir libre, d’être embarqué dans la monotonie, le train-train, de ne plus pouvoir changer de partenaire. L’envie de faire de nouvelles conquêtes,  de se montrer qu’on peut encore séduire. Cela j’y crois davantage, surtout pour les garçons.
        Regrets d’avoir laissé tomber certaines occupations personnelles, certains amis pour l’autre. C’est vrai et en général réciproque, car c’est une nécessité pour vivre non plus en célibataire, mais en couple.
        Mais pourquoi s’en apercevoir tout à coup alors qu’on était dans cette situation depuis plusieurs années?

        C’est cette soudaineté que me choque, de même que la plupart du temps la fuite en avant de celui qui rompt, qui a une attitude “fourbe” de laisser les choses en l’état, sans donner d’explication valable.

         Pourtant dans une rupture, il vaudrait mieux affronter l’autre, lui donner ses raisons, discuter, car chacun a en général des responsabilités dans l’affaire.
        Identifier les problèmes et les raisons pour lesquelles il y a rupture. C'est le seul moyen pour faire le deuil de cette relation et pour ne pas perdre toute estime de soi pour celui  ou celle qui est quittée, et de ne pas culpabiliser pour celui ou celle qui a provoqué la rupture..

        Alors je me pose la question pourquoi en arriver là ?
    Mais dans certain cas je connais aussi celui qui rompt et j’ai deux cas extrèmes très différents :

        Celui qui tout à coup se rend compte qu’il s’est trompé de personne, que cet amour ne lui a pas apporté ce qu’il souhaitait. Il a l’air très décidé, sans appel, mais quand je lui demande ce qu’il aurait souhaité, ce qu’il n’a pas trouvé et ce qu’il attendait, je n’ai aucune réponse ou des réponses très vagues.
        Le cas où les motifs de séparation ne sont pas évidents. On a assez de tout, pas assez d'autre chose, rien ne va plus. On est mal et pourtant on n'est pas mal ; on alterne des moments de paix avec des doutes et des moments d’hésitation. On ne sait plus ce qui est bien, on souffre de cette mésentente, on ne sait pas trop quoi penser. On en a assez mais tant de souvenirs nous empêchent de faire le pas définitivement.
          Alors, la rupture amoureuses devient plus compliquée, on n’aime plus vraiment la personne, mais on lui est encore très attaché(e), la personne est remplie de qualités, on la respecte vraiment. On voudrait s'en séparer, mais, en même temps, on culpabilise, on ne veut pas lui faire de mal et on tergiverse, ou attend.
        Là je ne connais pas plus les motifs réels, mais je comprends pourquoi cela est arrivé brusquement : on se décide un jour parce quil faut bien le faire, mais le mal datait d’assez longtemps

        Demain j’essaierai d’analyser un peu plus ces processus, et les raisons pour lesquelles la situation se détériore ainsi sans qu’on sache vraiment pourquoi.

    Pourquoi les couples se séparent ils ?Pourquoi les couples se séparent ils ?

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  •      Un de mes fils est architecte, alors je m'intéresse forcément à tout ce qui est bâtiments.
         Il existe des maisons dans la forêt et dans les arbres; c'est parfois un peu curieux et je vais vous montrer quelques photos de telles réalisations

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  • Peuton redonner la vue aux aveugles

        Une substance tirée d’une algue pourrait-elle redonner la vue à des non-voyants ?
        Pour le moment, il ne s’agit que d’essais sur des rats de laboratoire.


        Sous l’effet de la lumière, certaines protéines peuventproduire  des courants électriques, un peu comme une cellule photoélectrique ou du moins des polarisations..
        Les neurobiologistes ont réussi à introduire cette protéine dans la rétine de souris aveugles, leur redonnant ainsi une vue grossière. Ils ont extrait de l'algue un gêne qui introduit dans la rétine, permet de produire une protéine voisine de la "canal-rhodopsine".
         Les protéines extraites de I'algue s'insèrent dans les cellules nerveuses de la rétine. puis, dès que la lumière les atteint, elles déclenchent des courants électriques qui parviennent au cerveau par les axones habituels des neurones et qui excitent les zones cérébrales qui font l’interprétation de la vision, à l'arrière du crâne.
        Ces zones, qui ne recevaient aucun signal chez Ies souris aveugles sont activées.
        Pourtant, les photorécepteurs de Ia rétine des souris aveugles c'est-à-dire les cônes et les bâtonnets qui captent normalement la lumière, sont détruits, comme chez de nombreux humains atteints de dégénérescence maculaire Iiée à l’âge, première cause de trouble de la vision dans les pays occidentaux.
        Ce sont donc les cellules de la deuxième couche de la rétine, située juste au dessous, qui incorporent la molécule d'algue et se transforment en photorécepteurs de substitution.
        Quand la protéine, la "rhodopsine-canal" reçoit de la lumière, elle change de forme et dilate l'ouverture du canal ionique, qui laisse entrer des ions calcium, lesquels  excitent la cellule rétinienne, qui envoie alors une impulsion électrique vers les cellules du cerveau. (voir schéma ci-dessous).
         La rhodopsine est connue, car l'état naturel elle  intervient dans la formation des signaux issus des bâtonnets de la rétine.

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        Les biologistes ont mis les souris dans des cages ou des labyrinthes où ils ont observé leurs déplacements vers de la nourriture, près de laquelle ils allumaient ou éteignaient une lumière..
        Les souris aveugles restent immobiles face alors que les souris traitées tournet la tête guand on allume la lumière et se déplacent vers elle, pour atteindre la nourriture.
        Quand on montre aux souris des motifs géométriques en mouvement, les souris traitées suivent les mouvements des motifs de la tête, comme des souris ayant une vision normale.

        Un espoir pour l’homme peut être.
        Certes on ne lui rendra pas toute sa vision, sans doute ne pourra t’il lire, mais il pourra au moins se diriger dans son environnement et reconnaître les gens qu’il croise ou à qui il parle.

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