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         Je ne sais pas si vous savez ce qu’est le e-learning. Moi je ne le savais pas jusqu’à ce que j’aies visité une petite entreprise (que je ne nommerai pas parce qu’on ne fait pas de pub sur mon blog), dont la petite équipe, extrêmement dynamique, vent ses produits de e-learning dans le mode entier.
        Que sont ces produits ?
        Ce sont des logiciels de formation sur ordinateur, qui vont permettre d’une part au responsable de formation d’organiser “à la carte” diverses formation en des endroits différents et ensuite de les piloter à distance par le biais de micro-ordinateurs et d’intranets ou d’internet, et de former un certain nombre de personnes, soit en groupe, soit en les faisant se former individuellement sur leur micro et en contrôlant leur formation et ses résultats.
        C’est donc une panoplie de logiciels dont certains sont des logiciels d’organisation de la formation et les autres des logiciels de formation ayant un but bien défini, mais utilisant au départ des schémas et des programmes généraux qui en facilitent la réalisation.


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        Les domaines dans lesquels ces techniques sont utilisées dans les entreprises sont très variés :
        - accueil et intégration de nouveaux embauchés;
        - acculturation à l’entreprise ou à la marque;
        - changements dans l’entreprise;
        - formation de diverses catégories de personnel et notamment des vendeurs ou des manageurs;
        - stimulation de réseaux de distribution;
        - lancement de produits;
        - campagnes de sensibilisation, par exemple à la sécurité.
        -animation d’événements .....

      http://lancien.cowblog.fr/images/images/prestationelearning1.jpg  Les moyens utilisés sont très divers :
        - diffusion d’informations sous forme de documents word ou PDF, d’images ou de films vidéo.
        - utilisation de diaporamas genre Powerpoint.
        - utilisation de jeux constitués de questionnaires ressemblant aux QCM des études médicales.
        Des outils de contrôle permettent de valider les résultats des formations. Des bases de connaissances thématiques mettent en commun des données. Des outils de jeux-concours permettent de stimuler certaines catégories de personnels.

        Les supports peuvent être le papier mais surtout les micro-ordinateurs, les tablettes, les smart-téléphones, mais aussi des formation en réseau ou en salle sous l’égide d’un formateur, ou des groupes de discussion.
           
        Prenons un exemple pour être plus clair. Supposons qu’une société vendant un produit de grande diffusion comme un parfum, vient de mettre en vente un nouveau produit et veut sensibiliser sa force de vente dans de nombreux magasins répartis dans le monde entier.
        L’organisateur de la formation de la force de vente au niveau central  va, avec l’aide de l’équipe dont je vous parle, créer un arsenal de moyens pour foemer les vendeuses des magasins de la marque ou de frranchisés et de sous-traitants et les commerciaux qui les démarchent.
        Ce sera par exemple un film qui présente en image et arguments le nouveau produit, ses qualités, son aspect, son emballage et qui fait l’inventaire des apports de ce nouveau produit.
        Des documents de publicité correspondants.
        Un diaporama qui liste tous les arguments de vente du nouveau produit que l’on peut utiliser vis à vis des acheteurs éventuels, et qui le compare éventuellement à des produits précédents ou concurrents.
        Un jeu de simulation interactif qui met le vendeur en face d’un acheteur et qui l’oblige à utiliser ces arguments, à répondre aux questions, à essayer de balayer les réticences et les hésitations.
        Un jeu genre quiz ou QCM, qui permet de contrôler si le formation des vendeurs a été efficace et ce qu’ils en ont retenu.
        Bien entendu ces supports doivent être traduits dans la langue de chaque pays où a lieu la formation.

    http://lancien.cowblog.fr/images/Caricatures3/elearning01.jpg    Je vous ai parlé essentiellement d’entreprises car c’est le domaine d’action de l’équipe que j’ai visité, mais on pourrait imaginer d’autres secteurs d’utilisation par exemple :
        - la formation dans des organismes autres que des entreprises par exemple des communautés locales la police, les hôpitaux...;
        - la sensibilisation d’équipes de chercheurs sur une action commune de recherche;
        - la formation d’une équipe de campagne lors d’une élection;
        - la formation pédagogique d’enseignant    etc...

    Mais on ne peut pas enseigner n'importe quoi !!


     

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Images2/348566forgeO5.jpg
         L'automne et la saison froide arrive. 
         Quand on est vieux on pense surtout au passé, à ses bons souvenir.
         Quand j'allais parfois à Noël voir mon grand père en Dordogne, il faisait froid et j'aimais aller "au coin du feu" voir le forgeron du village mettre des fers aux chevaux de trait ou bien forger des outils et accessoires divers pour ses clients.
         J'adorais faire marcher l'énorme soufflet qui entretenait le feu, mais il fallait faire attention à ne pas le faire  brûler trop vite et ne pas monter trop haut en température. Et il faut mettre l'acier la où le charbon est rouge, mais pas là où il est blanc, là où il y a trop d'oxygène et où il fait trop chaud.
         Lorsque ce n'était pas dangereux et que je ne risquait pas d'abimer le métal, il me laissait taper sur le fer jaune ou orangé : plaisir de façonner un objet, mais surtout ne pas laisser la température monter jusqu'au blanc car on tire alors des gerbes d'étincelles de l'acier qui brûle littéralement et diminue en épaisseur rapidement.
         Peu à peu j'apprenais à maîtriser un peu la forge, en apprenant les couleurs des matériaux utilisés et chauffés au rouge. Mais pour être un bon forgeron, il faut des années d'expérience, et on l'admire quand on voit forger une pièce.

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    http://lancien.cowblog.fr/images/Cerveau1/synapsesaxobis.jpghttp://lancien.cowblog.fr/images/Cerveau1/synapse-copie-5.jpg

        J’ai fait à plusieurs reprises des articles sur la formation du cerveau du foetus et des enfants et certains lecteurs s’étonnent de ce que j’ai écrit, et notamment d’une part que les jonctions entre neurones se fassent au hasard, car elles déterminent nos capacités mentales, et d’autre part que chez le jeune enfant, de nombreuses connexions vont être supprimées, ce qui - en apparence seulement -, devrait diminuer nos capacités mentales.
        Je vais donc revenir sur ces questions pour donner quelques précisions
    .


        Si vous lisez bien ce que j’ai écrit, vous avez dû voir que, au départ, la croissance des neurones et de leurs prolongements se fait de façon très ordonnée et déterministe. Des gènes s’expriment, des hormones de croissances et d’autres protéines interviennent et les neurones apparaissent, se différencient (ils ne sont pas les mêmes selon leurs fonctions), ils se rassemblent en centres ayant une certaine finalité (par exemple interpréter les images que nous voyons), et leurs dendrites et axones qui ont un but donné, sont dirigés vers la cible, c’est à dire le type de neurone auxquels ils doivent être connectés.
        Mais ce n’est qu’à la dernière phase, quand les prolongement sont au voisinage de leur cible, que les connexions se font alors au hasard et donc un cerveau, même d’un jumeau ne ressemblera pas tout à fait à celui de son frère.
        Mais la fonction de chaque type de  neurones est bien déterminée à l’origine.

        C’est un peu comme dans la fécondation : une grand nombre de spermatozoïdes sont guidés chimiquement au voisinage de l’ovule, mais en définitive, un seul pénètrera, au hasard, et donnera naissance à l’embryon.

        En ce qui concerne l’élimination de connexions et de synapses, on pourrait comparer le cerveau à un vaste jardin. Celui du jeune enfant est comparable à des buissons où les branches poussent en toutes directions.
        ll faut un jardinier pour éliminer certains rameaux, afin que des branches maîtresses puissent se développer.
        Certaines cellules semblent jouer le rôle du jardinier: les cellules microgliales.
        La “ taille” des buissons qui a lieu dans le cerveau se nomme “élagage synaptique”.
        Dès l'âge de trois ans, le nombre de connexions entre neurones, les synapses, diminue à un rythme régulier.
        Des équipes de chercheurs de Rome et de Turin ont découvert que les cellules microgliales , 
    éliminent les synapses les moins efficaces pour permettre aux autres de se renforcer et donc de créer des connexions plus solides et plus durables.
        Les cellules microgliales sont très nombreuses, et, même si elles ne participent pas directement au traitement de l'information nerveuse, jouent un rôle nourricier, de soutien, de défense immunitaire, et assurent également l'évacuation des débris cellulaires.
        Rosa Paolicelli et ses collègues ont observé au microscope que ces cellules se referment autour de certaines synapses et les engloutissent dans leur cytoplasme.
        Les synapses sont  détruites, éliminées  et ensuite, les membranes des neurones cicatrisent. Cette destruction profite alors aux autres.
        Les neurobiologistes ont réduit artificiellement par des mutations génétiques, le nombre de cellules microgliales dans le cerveau de souris. lls ont constaté que ces souris ont des synapses plus nombreuses, mais moins efficaces.
        Comment s'effectue le tri entre les “bonnes” et les “mauvaises “ synapses?
         Peut-être les cellules microgliales détruisent elles indistinctement les synapses, et seules les plus actives parviennent-elles à résister à leur action.
        ll est plus probable que les synapses moins actives émettent des signaux chimiques qui attireraient les “ jardiniers cellulaires”.

        Cette élimination des connexions certes en diminue le nombre, mais renforce la qualité des connexions restantes et l’efficacité du cerveau, l’enfant ayant de nombreux enseignements à emmagasiner avant de devenir adulte.
     
         Un autre point important, les connexions de notre système d'apprentissage. Elles sont très sollicités chez le jeune enfant : il faut qu'il apprenne à se servir de ses mains en liaison entre la vision et la commande des muscles, puis à marcher, ensuite parler, puis à lire et écrire. Egalement à découvrir son environnement, puis les réactions des autres personnes qui l'entourent ou de ses camarades de classe.
          Cela va lui prendre 6 à 7 ans.
          Ensuite l'enfant aura encore de nombreuses choses à apprendre, mais moins basiques et moins nombreuses dans une période donnée. Elles feront toujours appel au système d'apprentissage, mais aussi beaucoup plus au cortex préfrontal, au cervelet et à nos mémoires.
           Alors vers 7 ans, le nombre de synapses du système d'apprentissage et de récompense diminue d'un tiers. Mais là encore celles qui restent deviennent plus performantes.

     

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  •           Une de mes filles a envoyé au vieux singe que je suis, quelques photos d'une jeune guenon (mais une vraie celle là!) que j'ai trouvées attendrissantes et je ne résiste pas à l'envie de les publier.

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  • Pourquoi tant de ruptures

         Comme je vous l'ai dit, je m'étonne de certaines ruptures dans des amours qui n’étaient pas des amourettes, mais avaient l’air de devoir durer et je m’interrogeais sur leurs raisons.
         Je vais donc compléter mon article d'hier, mais en faisant abstraction du coronavirus, qui est une raison nouvelle que l'on n'a pas encorebien analysée.


        Une première constatation : lorsque les deux amours diminuent simultanément de part et d’autre, la rupture est plus facile. On s’aperçoit qu’on se plaît moins, qu’on s’entend moins, qu’on s’éloigne mutuellement l’un de l’autre et puis un jour on fait le constat et on se sépare.
        Ces cas là ne font pas trop mal et donc on ne vient pas trop m’en parler.

        Le cas difficile est celui où l’un aime beaucoup plus que l’autre dont l’amour diminue.
        Il y a des cas où cela vient peu à peu : la vie ne correspond plus à l’évolution de chacun, un mal être, ou une situation étouffante s’installe, celui ou cellequ’on aime paraît soudain distant(e), et vos sentiments restent attachés alors que l’autre fuit : l'amour que vous portez ne rencontre plus d'écho.
        Là on est prévenu, mais on reste parfois aveuglé dans son amour pour l’autre, ou l’on n’y croit pas, on pense que c’est passager.
        Mais il y a des cas où c’est plus soudain, brusque, violent par sa soudaineté.
    Pourquoi.?


        Je pense qu’il y a au départ un manque de communication. Celui qui accumule peu à peu des griefs, ou celui qui tergiverse et hésite, n’en parle pas; l’autre n’est pas attentif et ne fait pas d’effort pour diminuer ces griefs qu’il ne soupçonne pas.
        Quand on se parle qu’on se dit (presque) tout, le bon comme le mauvais, avec calme et sans reproches véhéments, on arrive à percevoir les détériorations de la situation quand il est encore temps, et chacun peut faire effort, redresser la barre à temps.
        Rien n’est pire que celui qui rumine dans son coin et ne dit rien. Avec lui on va au clash à terme.
        Dans le silence de l’autre, il faut parler, interroger, prendre la température, être vigilant.

        Il y a aussi des cas ou l’un écrase l’autre et lui fait subir sa loi.
        Cela peut être une différence importante d’instruction et de culture, ou de niveau financier, ou de réussite dans le métier. Cela on le savait au départ, mais les inconvénients n’apparaissent que peu à peu, quand on vit ensemble.
        Cela peut provenir surtout d’un autoritarisme, d’une volonté de dominer, voire simplement d’un charisme et d’une réactivité beaucoup plus grande, qui font que c’est toujours le même qui entreprend et l’autre qui cède, qui fait des sacrifices, qui peu à peu étouffe dans son coin. Et en général celui qui en est la cause ne s’aperçoit de rien et celui qui subit n’ose en parler de peur de choquer l’autre et de le perdre.
        Là aussi le manque de communication est flagrant.

        Mais le problème peut aussi apparaître alors que les deux protagonistes ont à peu près le même niveau et le même caractère fort.. Seulement ils ne le reconnaissent pas ou ne veulent pas l’admettre. Dans un couple il faut le respect absolu de l’autre, de sa liberté de penser et d’une certaine liberté d’agir à l’intérieur de règles communes.
        Je suis souvent frappé par le caractère “macho” de certains garçons qui souffrent d’avoir une compagne qui les égale intellectuellement, qui soit moins timide et plus décidée qu’eux, de telle sorte qu’elle prend plus d’initiatives.
        Ils ont alors une impression fausse d’être à sa remorque et ils le cachent soigneusement, ayant honte de cela.
        Ils ne savent pas combien au contraire ils auraient de la chance d’être ainsi avec quelqu’un qui peut les comprendre, si elle a le même respect pour lui.

        Très souvent on a beaucoup d’activités communes, on s’entend bien, tout a l’air de baigner dans l’huile, mais on s’éloigne peu à peu intellectuellement et sentimentalement l’un de l’autre, parce qu’on a aussi des occupations différentes, des amis différents, et que l’effort pour faire la conquête de l’autre est passé.
        Aujourd’hui avec l’évolution des moeurs et l’influence des médias, les jeunes ne sont pas conscients de l’évolution normale d’un amour. Pour eux ce devrait être l’excitation permanente de la conquête, l’effort pour plaire et s’occuper de l’autre, la volonté de faire des compliments et d’éviter les reproches, les mots doux, les coups de fils et les SMS plusieurs fois par jour, le souhait de n’avoir que des jours de bonheur et pas des jours de peine à partager.
        Et ils sont déçus quand cette situation diminue, évolue et pour eux c’est la catastrophe de la routine, de la contrainte.

        Autrefois la pression sociale était différente. On savait qu’après l’effervescence de la découverte, venait la vie de tous les jours en commun, avec ses occupations parfois sans intérêt voire contraignantes, avec ses joies et ses peines. On savait que le grand amour du début s’émoussait avec la réalisation de la conquête de l’autre , que ce coté motivant allait être remplacé par une habitude mais qu’il resterait un amour moins fort mais plus profond et un profond attachement pour l’autre, mais qu’il fallait entretenir, et qu’il fallait imaginer et réaliser une vie de couple, faite de souhaits, d’efforts et de réalisations communs. On savait qu'on s'engageait non seulement à s'aimer beaucoup, mais dans une "coopération" pour bâtir une vie commune, pour créer un nid où il ferait bon vivre avec des enfants, pour affronter à deux les caprices de la vie et du métier, et probablement un jour pour vieillir ensemble.

        Aujourd’hui, le jeune qui ne sent plus sa passion croit qu’il n’aime plus, parce qu’il n’a plus rien à conquérir, mais tout à défendre et réanimer en permanence.
        C’est d’ailleurs pour cela que plus de 50% des couples mariés divorcent aujourd’hui. Il ne savent pas vivre ensemble, avec amour mais sans passion, en partageant joies, mais aussi les peines, en se soutenant mutuellement. L'amour sentimental et physique peut être là  très fort, mais cette responsabilité commune de bâtir une vie n'est plus dans les moeurs, et lorsque l'amour faiblit, usé par l'habitude, il n'y a pas d'entreprise, de défi commun, de réalisation qui vous motive et soutienne cet amour et on va vers la séparation. C'est plus la société d'aujourd'hui et l'éducation qui est la responsable de ces ruptures.

        Tendresse, respect de l’autre, de ses idées et d’une certaine liberté, communication et effort de vie commune, de former un vrai couple, ce sont des qualités qui ont fait en partie défaut , car la société et les parents d'aujourd'hui n'ont pas su les enseigner..

        Quand je vois un couple sur le point de rompre, et qui vient m'en parler, j’analyse leurs préférences cérébrales, leurs goûts, leurs valeurs (au sens moral), leurs niveaux respectifs et leurs aspirations. En général je trouve les principales sources de divergence qui ont favorisé leur séparation.
        Mais il arrive que je trouve un couple qui en a fort peu, qui aurait pu s’entendre à merveille, et où la divergence est venue d’une susceptibilité mal placée et surtout d’un manque de communication.
        Je regrette alors beaucoup ce qui s’est passé, j'essaie de leur expliquer que tout n'est pas perdu, mais si je ny arrive pas, je pense que celui qui a rompu, regrettera par la suite, quand devenu adulte et plus réfléchi, quand il aura comparé avec d’autres conquêtes, la vie qu’il ou elle aurait pu mener, avec celle ou celui dont il s’est bêtement séparé.

    Pourquoi tant de ruptures

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