• Pourquoi croit on les horoscopes?

              Aujourd’hui, je me demanderai, pourquoi les élucubrations d’un horoscope paraissent elles si vraisemblables à bon nombre de gens ?

              D’abord certaines prédictions se réalisent : je rappellerai l’histoire de Raymond Devos, qui a lu dans son horoscope qu’il devait avoir un accident de voiture et qui, rentrant de son travail, arrive près de chez lui sans le moindre accrochage. Alors il prend le journal sur le siège à coté de lui, pour vérifier qu’il ne s’est pas trompé, quitte le route des yeux... et rentre dans la voiture devant lui qui avait freiné un peu fort. !
              Il demande au conducteur de cette voiture quelle est sa date de naissance, regarde son horoscope et lui dit “votre horoscope ne prévoit pas pour vous d’accident aujourd’hui, vous êtes en tort, monsieur !”
              Beaucoup de choses nous arrivent parce qu’on en est persuadé et qu’on fait tout, inconsciemment pour qu’elles se réalisent !

               Mais l’explication de la vraisemblance des bons horoscope réside ailleurs.
     

               Le chercheur américain Geoffrey Dean a identifié une trentaine de raisons psychologiques, dont la principale était « l’effet Barnum ».     
             
    Cet effet tire son nom de Phileas Barnum (1810-1891), qui était directeur d’un cirque, et qui disait que ce qui faisait le succès de ses spectacles était “qu’il y mettait un peu de ce que chacun des spectateurs espérait  y trouver”.

              En 1948, le psychologue californien Bertram Forer a étudié cet effet pour la première fois. et a demandé à ses étudiants de remplir un test de personnalité, en leur disant qu’ils leur en donnerait une analyse. Mais, au lieu de l'analyse personnelle annoncée, il a donné le même texte à tous les participants, qu'il avait assemblé a partir d'horoscopes trouvés dans les journaux.
              Les étudiants devaient alors juger de la conformité de l'analyse les concernant en lui attribuant une note entre 0 (ne me correspond pas du tout) et 5 (me convient parfaitement). La moyenne des notes rassemblées fut égale à 4,2.        
              Par la suite, le test a été répété avec d'autres sujets et par beaucoup d'autres chercheurs avec des textes préparés selon certaines règles. Des affirmations vagues, générales et ambigües, telles que ”Vous avez tendance à trop critiquer” ou “Parfois vous doutez sérieusement d'avoir pris la bonne décision” font la quasi-unanimité : 97 % des sujets sont d'accord avec de telles “analyses”. !    
              D’après Forer, et d'autres scientifiques, les personnes sont d'autant plus d'accord avec les propositions de ce type qu'elles croient en l'astrologie, que les descriptions sont positives, et que leur date de naissance a été prise en compte - même si elles sont conscientes que les propositions sont formulées de façon très générale.
              Le psychologue viennois Andreas Hergovich conclut de ces expériences, que nous sommes capables d'appliquer les propositions Barnum à n'importe quel événement ou n'importe quelle caractéristique nous concernant, et que nous pouvons même accepter des propositions contradic-toires. Ainsi, nous serions capables de considérer que n'importe quel horoscope s'applique à nous personnellement. 

               Un autre mécanisme impliqué est nommé “pseudo-individualisation”. 

               En 1973, le psychologue américain Rick Snyder, de I'Université du Kansas, avait donné des textes astrologiques identiques supposés décrire leur caractère à trois groupes de sujets. 
             
    Il avait expliqué, au premier groupe qu'il s'agissait d'une description générale de la personnalité, qui pourrait s'appliquer à tout le monde, au deuxième groupe, que le texte était fondé sur une description de personnalité en fonction de l'année et du mois de naissance, et aux sujets du troisième groupe qu'il s'agissait d'un horoscope établi pour chaque individu à partir de sa date de naissance.

              Bien que les participants aient tous reçu le même texte, (sans le savoir), ils ont émis des jugements différents : le premier groupe a jugé le texte ni particulièrement juste ni particulièrement faux; le troisième a considéré que les propositions étaient en bon, voire très bon, accord avec leur cas personnel; l'évaluation faite par le deuxième groupe était intermédiaire.    
              Cela signifie que plus un horoscope est présenté comme étant “pseudo-individualisé”, plus l'impression qu'il est exact est marquée. 

               Un troisième phénomène qui rend les horoscopes convaincants pour le lecteur est “l'erreur d'attribution”.

              Les psychologues nomment ainsi la tendance à chercher les causes d'un comportement dans les caractéristiques stables d'une personne plutôt que dans les conditions changeantes de l'environnement.            
              L’astrologie a tendance à penser qu'une personne se comporte de façon plutôt réservée, plutôt obstinée ou plutôt émotionnelle, selon qu'elle est née sous le signe du poisson, du taureau ou du cancer. Si un taureau se comporte de façon obstinée dans une situation particulière, un partisan de l'astrologie aura tendance à attribuer la cause au signe du zodiaque, sans penser que beaucoup d'autres personnes auraient réagi de la même façon dans la même situation, quelle que soit leur date de naissance. 

               Nous avons tendance a trouver ce qui répond à nos attentes ou à nos convictions. Les partisans de I'astrologie ne retiennent souvent que ce qui confirme leurs attentes, oubliant le reste. 

              Pour vous faire sourire, 200 volontaires avaient été recrutés par une petite annonce, pour participer à une émission de télévision traitant d’un “projet de recherche en astrologie”.
              On leur avait distribué, sans qu’il le sachent un même horoscope, en leur disant qu’il avait été établi spécifiquement pour eux et les 3/4 des personnes ont trouvé qu’il décrivait très bien leur personnalité.
              Or cet horoscope avait été établi par un astrologue pour Friedrich Haarmann, un tueur en série allemand, qui avait assassiné 24 personnes !!.

               Le nombre d'éléments d'interprétation dans un horoscope complexe est tellement grand qu'on peut finalement trouver n'importe quel trait de caractère dans n'importe quel horoscope, et qu'on y trouve toujours quelques faits qui réponde à nos désirs et nos attentes. 
              Alors rien d'étonnant si on croit ce qu'il nous prédit !

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  • La folie des horoscopes

               Je suis toujours étonné par le nombre de personnes, même avec une instruction dite scientifiques, qui soit croient en les prédictions diverses d’avenir, soit, du moins lisent, sans doute sans y croire vraiment,  l’horoscope que publient de nombreux journaux.
               
    Et dans le petit bourg où je suis en vacances, le supermarché vend aussi des journaux et ceux ayant une rubrique d’astrologie occupent plus du dixième de l’étalage
               
    Quelques personnes que je connais, ont même été voir des voyants en tous genre et m’ont raconté leurs séances.
               
    Je connais même un psy qui envoyait ses patients consulter un marabout, mais je n’ai jamais su quelle était son intention véritable.

     Voyons aujourd’hui : que sait on sur l’astrologie.?

               Pourquoi y aurait-il une connexion entre les positions des astres ou des planètes et le caractère ou l’avenir de personnes ? Même les astrologues ne sont pas d'accord entre eux sur le sujet.  Historiquement, iI s'agissait de I'expression de la volonté des dieux et des démons. Mais cette approche a perdu sa crédibilité, quand, il y a quelque 2500 ans, nos ancêtres ont appris à calculer les trajectoires des planètes sur plusieurs siècles et que Képler a expliqué les lois de leurs mouvements, au début du 17ème siècle.
               On a alors proposé I'existence d'influences physiques sur nos vies, un peu comme l’attraction de la lune en a sur les marées. Mais cette théorie est apparue de plus en plus improbable à mesure du développement des sciences.             
               Les astrologues ont alors admis qu’il n'y avait pas des influences des astres, mais bien des “analogies symboliques” - c’est à dire que quelque chose se passe de façon analogue “en haut” (dans le firmament) et "en bas", sur terre , parce qu’une certaine “qualité du temps” règne partout. De nombreuses études ont montré que de telles connexions n'existent pas et la relativité d’Einstein a porté un coup définitif à ces théories fumeuses.
               Alors, les astrologues ont fait appel au contenu “archétypique” des systèmes de symboles en tant que produit de I'histoire culturelle humaine. Interprétation curieuse des théories de Jung sur l’inconscient collectif : il a dû se retourner dans sa tombe, lui qui s’indignait de ce que “L'astrologie moderne se rapproche de plus en plus de la psychologie et frappe déja cIairement aux portes des universités” !  

               Mais voyons avant ce qu’est un horoscope pour ceux qui y croient (ou font semblant d’y croire, mais veulent paraître sérieux aux yeux de leurs clients), car j’ai connu aussi un informaticien qui a fait fortune en inventant un logiciel de calcul d’horoscope..

                Comment fabriquer un horoscope et comment travaillent les astrologues du 21ème siècle ? 
               
    Tout d'abord, ils entrent les dates de naissance d'une personne dans un ordinateur qui calcule alors une configuration compliquée de différents symboles mythologiques, qui sont la base d’un horoscope. Cette configuration repose sur une projection assez peu conventionnelle sur une feuille de papier, des positions des planètes dans le ciel. Les corps célestes eux-mêmes, leurs attractions ou leurs distances ne sont pas intéressants pour les astrologues. La plupart d'entre eux ne sont pas capables de reconnaitre ne serait-ce que les constellations les plus importantes dans le ciel nocturne, parce que le monde symbolique des astrologues n'a presque rien en commun avec l’univers étudié par les astronomes.

               Le métier d'un astrologue consiste à “interpréter” I'horoscope : il doit combiner le contenu des symboles, parmi lesquels au moins 9 planètes, 12 signes du zodiaque, 12”maisons” (des champs symboliques, dont un plus influent, qui s'appelle I'ascendant), de nombreux “aspects” (des relations d'angle entre les symboles), si bien qu'émerge d'une façon ou d'une autre, une image qui semble sensée.
               II n'existe pas de système d'interprétation unique, reconnu par tous les astrologues - iI faut plutôt utiliser son “intuition”. En tous les cas, différents astrologues arrivent souvent a des propositions très différentes en partant de la même date de naissance et, chose curieuse, ils n’essaient jamais de prédire leur propre vie !

               Mais peut on savoir l’influence de la date de naissance sur un horoscope ou sur votre avenir ?
               
    Pour le tester, les chercheurs ont systématiquement comparé des horoscopes fondés sur de vraies dates de naissance et sur des fausses.

               Si les deux conduisent à des phénomènes et  des expériences de la même intensité et aussi fréquentes, alors ces expériences ne peuvent pas être liées a la date de naissance ni à la position des étoiles et des planètes. C'est exactement ce qu'ont montré de nombreuses études, portant sur des milliers de sujets.
               L’une d’entre elles, menée par Edgar Wunder, à l’université d’Heidelberg, est amusante, car, bien que les astrologues aient eu la possibilité de demander aux sujets tout ce qu'iIs voulaient - à I'exception de leur date de naissance, iIs ont été incapables de décider laquelle, parmi deux dates de naissance possibles, était celle des personnes interrogées. De même, les sujets n'étaient pas capables de déterminer laquelle de deux analyses astrologiques avait été établie pour leur propre date de naissance.
               D'autres études, dont certaines réalisées par les astrologues eux-mêmes, confirment ces résultats.
               G. Dean, qui a abandonné son activité d'astrologue à cause de ces résultats décevants, et  a comparé plus de 50 études de ce type, a conclu que ses anciens collègues ne sont pas capables d'associer un horoscope établi sur la base de la date de naissance à un profil de personnalité ou à une histoire, mieux que ne le ferait un tirage au sort.
               Malgré cela, iI semble plutôt que la psychologie académique frappe aux portes de I'astrologie et je suis scandalisé quand je vois certains recruteurs dans de grandes sociétés, trier certains candidats à partir de données d’astrologie ou de numérologie. La bêtise humaine n’a pas de limite, même chez les gens dits intelligents.

               Et si vous êtes agacé parles proposition de voyance par démarchage au téléphone, je vous livre ma façon de m’en débarrasser. Je leur dit qu’ils sont un ou une mauvais(e) voyant(e). Interloqué on me demande pourquoi. Je leur réponds que s’ils étaient de bons devins, ils auraient dû savoir que cela ne m’intéressait pas et ils n’auraient pas perdu leur temps à me téléphoner.
               En général, on me raccroche au nez !!

               Demain j’essaierai d’expliquer pourquoi, psychologiquement, on croit aux horoscopes.

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  • Cannabis, tabac et alcool.

              On parle beaucoup actuellement de dépénalisation du cannabis.

              Un de mes lecteurs trouve mes articles, écrits sur un autre blog, à propos du cannabis, trop alarmants et me dit que fumer du cannabis n’est pas dangereux, beaucoup moins que consommer du tabac ou de l’alcool et qu’on a tort de le qualifier de drogue douce, car il n’y a.aucune dépendance au cannabis
              Je ne suis pas d’accord avec lui.  

              Les termes de “drogue douce” et “drogue dure” sont couramment utilisés par les chercheurs et les médecins : ils désignent des produits en général psychotropes (d'où le terme de drogue) à forte dépendance physiologique (les drogues dures) ou à faible dépendance, celle ci étant plutôt psychique (drogue douce), ce terme méritant d'ailleurs certaines précisions.
              Les études des années 1990 sur le cannabis, que cite mon correspondant dans son mail, étaient très incomplètes et des études plus récentes (2005 -2006), puis en 2014/2016, utilisant les moyens d'investigations actuels sur le cerveau, sont plus complètes et plus pessimistes.
              Par ailleurs on ne peut comparer "en bloc" un “danger” qui a des facettes multiples.

              Si on compare la dépendance physiologique cannabis, alcool et tabac, effectivement la dépendance physiologique au cannabis est moindre.
              Il faut des “doses” de “tétrahydrocarbinol” (ou THC, le principe actif du cannabis) très importantes pour induire une dépendance physiologique, ce qui implique de fumer plusieurs joints tous les jours.
              Au contraire la nicotine entraîne une dépendance plus ou moins importante selon les personnes et la façon dont elles fument. L'arrêt de l'usage du tabac peut entraîner un véritable “manque”, sans compter l'effet sur la prise de poids.
              L'alcool entraîne également une dépendance assez variable suivant les individus, car elle dépend, évidemment des quantités régulièrement absorbées, mais aussi de la réaction de l'organisme qui a une capacité plus ou moins importante de destruction de l'alcool absorbé.

              Par contre la dépendance psychologique du cannabis est au moins aussi importante que pour l'alcool ou le tabac. Il s'agit d'une réaction de nos “centres d'apprentissage”  qui sont aussi les “centres du plaisir” comme les appellent les journalistes
              Il s'agit de l'incitation à refaire à nouveau (ou corriger), une action qui nous a apporté un bénéfice, une amélioration de notre condition, un plaisir...
              C'est par la répétition et la sélection des résultats par ces centres d'apprentissage, que nous apprenons chez le bébé à prendre des objets, à marcher, chez l'enfant à lire, écrire et le comportement de tous les jours et chez l'adulte de nombreux mécanismes et une certaine expérience.            
              Mais ce sont aussi ces centres qui nous incitent aussi à refaire une action qui nous a apporté du plaisir à court terme, sans se soucier des conséquences à moyen et long terme.
              L'usage régulier du cannabis entraîne une telle dépendance au moins aussi importante que pour l'alcool et plus importante que pour le tabac, l'addiction (l'habitude pour être plus simple), résultant pour le tabac, plus du manque de nicotine, de la peur de grossir ou de la manipulation de la cigarette par les doigts.

     

              En ce qui concerne la dépendance “sociale”, l'usage du cannabis et du tabac résultent en partie d'un besoin de faire “comme les autres” ou pour un ado “comme les adultes”.
              C'est moins le cas de l'alcool.
              Par contre, alors que fumer du tabac est plutôt une action individuelle, fumer du cannabis ou boire de l'alcool est souvent une “occupation de groupe”.

              En ce qui concerne les dangers, il faut voir divers aspects.
              Le plus gros danger du cannabis actuellement est la conduite d'un véhicule Dans ce domaine le tabac n'a pratiquement aucun effet.
              On connaît les effets de l'alcool et 30% des accidents environ sont dûs à ces effets.
              Mais ce qui est moins connu c'est que dans ce domaine, fumer du cannabis est encore plus dangereux. Le cannabis modifie les perceptions et notamment l'interprétation de la vision par le cerveau; les réflexes baissent considérablement et  il diminue l'évaluation du danger, et donne une confiance exagérée. Fumer plusieurs joints augmente de façon importante le risque d'accident, la personne sous-évaluant les limites dangereuses des manoeuvres.
              D’où des accidents dus au cannabis aussi nombreux qu’à l’alcool.

                  En ce qui concerne les effets à court terme autres que les effets sur la perception et l'attention, le cannabis entraîne des troubles de la mémoire, et une incapacité à réfléchir et travailler par perte d'attention, mais il semble que pour la plupart des fumeurs, ces phénomènes soient passagers et le trouble disparaît si on arrête de fumer.
              Toutefois de récentes études semblent montrer que pour les très gros fumeurs une atteinte permanente de la mémoire est possible et on n'a pas assez de recul pour connaître les effets à long terme, mais une certaine suspicion règne car l'atteinte de l'hippocampe (le “professeur” de la mémoire), est toujours inquiétante (c'est cette atteinte qui est à la base de la maladie d’Alzeimer).
              Des études récentes américaines sur des fumeurs de longue durée (plus de 10 ans), et qui ont commencé jeunes (16 ans), montrent une baisse systématique du QI due surtout à une diminution des capacités de la mémoire, qui semble alors irréversible, par atteinte des neurones. Mais la diminution des capacités d’attention, de concentration et donc de réflexion ont également une influence.
             A long terme on connaît les effets du tabac sur l'appareil respiratoire et de l'alcool sur l'appareil digestif et le foie.

              Enfin on connaît aussi les effets cancérigènes de l'alcool et surtout du tabac. Ce qui est mal connu et non encore quantifié de façon certaine, c'est l'effet du cannabis, car il faut un recul de plusieurs dizaines d'années pour se prononcer.
            Toutefois on peut mesurer les quantités de goudrons cancérigènes absorbées et on sait que fumer deux ou trois joints équivaut dans ce domaine à environ un paquet de tabac avec filtres.

              La raison invoquée par les fumeurs est en général l’oubli de leurs difficultés et ennuis. Mais si cela soulage un moment, ces problèmes persistent et doncd’une part ils sont encore plus préoccupants quand l’effet du cannabis diminue et cela incite à recommencer à fumer.

              Les effets du cannabis sont encore mal connus. Mais les études récentes semblent montrer qu'il est plus dangereux que l'alcool en ce qui concerne la conduite de véhicules et que les effets à long terme qu'il est susceptible d’entraîner, sont probablement plus nocifs que ceux du tabac.
              A faible dose, il entraîne des effets à court terme gênants, notamment sur la mémoire et la volonté, mais qui seraient, semble t'il, réversibles.
              Et surtout le cannabis induit une accoutumance psychique qui incite à continuer à fumer des joint et donc à provoquer des effets nocifs.

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  • Qui peut m'aider ? Merci.

              J'ai un gros ennui sur Eklablog.

              J'avais fait, dans la rubrique "Accueil", une table des articles, classés par rubrique, et qui renvoyait par un lien à l'article;
              Hier tout le contenu de la rubrique a disparu, alors que l'article est toujours présent mais vide.
              Cela m'ennuie beaucoup parce que je n'ai pa de sauvegarde et refaire cette liste pour 400 articles, c'est long !
              Je ne sais comment c'est arrivé car j'avais inscrit l'avant dernier article sans problème et c'est en ouvrant l'article pour y mentionner le dernier article que je constate ce vide.

    Alors,

              Quelqu'un peut il me dire comment je pourrais, si cela est possible, récupérer cette table.

              J'avais essayé de faire une sauvegarde avec "filesucker" qui fonctionnait très bien sur cowblog, mais sur eklabog cela ne fonctionne pas. D'autre part sur cowblog, le système pouvait fournir une copie.

               Savez vous s'il existe un moyen d'avoir une copie de son blog autrement qu'en copiant-collant un à un, les articles et en les mettant sur un traitement de texte?

    Merci à ceux ou celles qui pourront m'aider

    Papynet

        Du nouveau à l'instant : j'avais été sur "contenu" pour voir si ma table des matières apparaissait; j'ai cliqué sur accueil. L'article était bien mentionné. 

        JE SUIS ALLÉ SUR LE BLOG ET MIRACLE, MA TABLE DES MATIÈRE EST DE NOUVEAU LÀ. 

        Je vais en faire régulièrement une copie sur word !

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