• Aujourd'hui, ce sera un intermède entre des articles plus sérieux : des histoires humoristiques trouvées sur internet ou dans des bouquins.

        Quelques histoires d'animaux :

    http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux2/mite.jpg

    Deux mites se rencontrent sur un pull: 

    - tu vas où en vacances cette année? 
    - j'ai trouvé un refuge près du col et toi?
    - moi je vais dans la manche!!!




    http://lancien.cowblog.fr/images/Divers/oeuf10.jpg

     

     

     

     

    Deux oeufs sont dans un frigo.
    L'un dit à l'autre:
    - Pourquoi t'es tout vert et tout poilu
    L'autre  répond :
    - Parce que je suis un KIWI , imbécile !!!







     http://lancien.cowblog.fr/images/Photoscomiques1/vxo6j9zn.jpg             
           A la ferme, le cheval est malade.     
           Le vétérinaire dit au paysan :
    "Je lui injecte un remède, si dans 3 jours il n'est pas remis, il faudra l'abattre".
          Le cochon qui a tout entendu, dit au cheval :"Lève toi !"
          Mais le cheval est trop fatigué.
           Le deuxième jour le cochon dit :
    "Lève toi vite !"
            Le cheval est toujours aussi fatigué et ne se lève pas.
            Le troisième jour le cochon dit :
    "Lève toi sinon ils vont t'abattre !"
    Alors dans un dernier effort, le cheval se lève.
            Heureux le paysan dit :
    "Faut fêter ça : on tue le cochon !"
       

     

    http://lancien.cowblog.fr/images/Animaux2/IMFACCROCHEGWEBCHEMIN10541225961945.jpgUne femme arrive dans la cuisine et voit son mari avec une tapette à mouche...
             - Que fais-tu ?
    Il répond :
             - Je chasse les mouches...
             - En as-tu tué ?
             - Oui, 3 mâles, 2 femelles
    Intriguée, elle lui demande :
             - Comment fais-tu la différence entre les femelles et les mâles ?
    Il répond :
             - 3 étaient sur la cannette de bière, 2 sur le téléphone.

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  •   Les enfants tyrans Les enfants tyrans

     

     

     

     

     

     

         L'article d'hier m'a valu trois mails de parents qui me demandent de préciser ce que j'entends par des "enfants tyrans", mais
    Ils ne me disent pas qu'elle est leur motivation pour faire cette demande, ni s'ils ont des enfants, tyrans ou pas.

        Je vais quand même essayer de répondre, mais évidemment ce n'est qu'un avis personnel, du fait que j'ai discuté, il y a quelques années, avec de nombreux jeunes dont quelques spécimens du genre. Mais il ne faut surtout pas généraliser.

       Lors de l’adolescence il est normal qu’il y ait des disputes, des confrontations, des oppositions entre parents et enfants; elles sont typiques d’un être qui grandit et s’interroge sur son avenir et essaye de sortit du cocon familial, tout en se demandant ce que lui apporte ce milieu protecteur et en regrettant cette protection. De tels conflits de générations sont nécessaires et participent à l’évolution de l’homme en général et surtout de l'enfant qui grandit et doit être capable de s'assumer, le jour où il sera adulte.
        Les parents eux certes sont en général sortis de l’adolescence, mais ils travaillent beaucoup, sont fatigués et parfois s’énervent facilement.

        Mais j"ai constaté chez certains jeunes, une intolérance aux frustrations, un refus de la réalité, des contraintes de la vie et de la vie en société. Il est effectivement plus simple de nier les adversités quotidiennes et de rester dans un monde imaginaire et narcissique. Leur attitude rejaillit malheureusement sur la famille, voire par contagion sur les jeunes qui les côtoient.

        Je ne parle pas ici de jeunes qui ont souffert d’un milieu familial particulièrement difficile. Cela malheureusement existe aussi et il m’est arrivé d’essayer de les aider.
        Non, ceux ou celles qui ont appelé mon attention, ont connu un amour parental constant, ne souffrent pas de problèmes affectifs importants, sont en général dans des familles aisées, qui non seulement pourvoient à leurs besoins normaux, mais acceptent de leur fournir un large superflu : on trouve dans leur chambre radio, chaîne hi-fi, de nombreux CD, un ordinateur avec l’ADSL ou la fibre, voire une télévision.
        Ils vont au cinéma, en vacances au moins une fois par an, souvent au ski, sortent avec les copains et disposent d’argent de poche.
        Et pourtant plus ils sont ainsi gâtés, plus ils désirent de nouvelles choses et se révoltent si cela ne leur est pas accordé.
        Plus grave, ils refusent les contraintes de temps, quelquefois les contraintes scolaires, tous les interdits de sorties ou autres (même s’ils les ont mérité), n’acceptent pas les contradictions de la vie et les petites frustrations quotidiennes, ni évidemment les contraintes financières.
        Ils considèrent que leurs avis sont infaillibles, que leurs goûts sont sans failles et les meilleurs, et n’admettent pas que les autres aient des idées et des goûts différents. Ils sont devenus, autoritaires, capricieux, intransigeants, non seulement avec leurs camarades, mais également vis à vis de leurs parents et plus généralement des adultes.
        Ils interprètent le monde à partir de leurs sensations et de leurs idées, sans même en vérifier la véracité et c’est forcément une source de conflits tant avec leurs parents que leurs camarades.

         Ce sont non seulement des enfants gâtés, mais des enfants tyrans.
        C’est à mon avis un phénomène de société et cela m’a rien à voir avec les “crises de l’adolescence”.   
        Comme j’ai peut être un peu forcé la note, je pense que je vais avoir encore des commentaires assez vigoureux. Rassurez vous, je pense que la plupart des ados ne sont pas ainsi et d’ailleurs j’en ai peu connus qui ont une telle attitude. Mon article est une caricature un peu forcée.
         Vous n’êtes sans toute pas aussi affreux que ma description le laisse supposer, mais n’y a t’il pas un peu de cela en vous par moment ? Et j'espère ne pas avoir trop choqué les parents qui m'ont écrit.

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  •      Les jeunes avec lesquels il m'arrive de discuter, sont souvent en révolte contre les règles auxquelles les soumettent leurs parents.
        Et pourtant, depuis une soixantaine d’années, la conception de l’autorité au sein de la famille a considérablement évolué.
        Ces jeunes trouveraient certainement que mes parents et grands-parents étaient très sévères avec moi et que je l’étais également vis à vis de mes enfants.
        Et pourtant, quand j'étais enfant, cela ne me traumatisait vraiment pas de leur obéir !

        L’évolution des idées en mai 68 a provoqué un changement considérable de la famille, et a entraîné notamment une plus grande autonomie de chaque individu.
        Même si l’on a conscience que la société ne peut vivre sans règles ni contraintes, il est acquis aujourd’hui, que chaque règle doit être discutée, analysée, critiquée : l’éducation des enfants s’appuie toujours sur des références et des idéaux, mais les parents doivent définir leur modèle d’éducation et l’expliquer à leurs enfants.
        Les croyances religieuses et  les idéologies se sont effritées, les lendemains qui chantent ne sont plus d’actualité avec l’extension du chômage et de la pauvreté, et le respect des traditions s’est envolé; de plus les familles pluri-parentales, suite aux divorces, diluent encore la responsabilité des parents.
        Beaucoup de parents, soucieux du bonheur et de l’épanouissement de leurs enfants,  sont convaincus qu’ils exercent trop de contraintes sur eux et cette croyance introduit une confusion entre la tyrannie, qui empêche et interdit, et l’autorité, qui permet et autorise.
        La plupart des parents sont persuadés que les conflits vont à l’encontre du rapport affectif, et que l’amour ne peut se manifester que de façon positive. Cette conviction, alliée à une admiration sans borne pour les potentialités de leurs enfants, les conduit à se prosterner devant eux, comme s’il n’existait que des individus uniques et parfaits qui n’ont nul besoin d’être éduqués.
        Peut être cela rappellera t’il à certains d’entre vous , des lectures de Jean-Jacques Rousseau.! (Si on les fait encore au lycée !).

        La mode de la psychanalyse et des psychologues a également déresponsabilisé les parents lesquels refusent de “frustrer” leurs enfants par des interdits, les empêchant par là même, de se frotter à la réalité et de s’y habituer.
        Et s’ils sont tristes, on ne cherche pas à savoir pourquoi, on les confie plutôt à un psy !
        C’est une erreur car  les conflits ne mènent pas à la destruction des liens, mais au contraire, permettent de les construire.
        Nous oublions que si l’enfant est une personne, il n’est pas un adulte pour autant et quand il n’y a plus de règles, la famille rencontre des difficultés.

       Un autre problème : le développement des smartphones et des réseaux sociaux. Les jeunes sont pendus à leurs engins électroniques et les contacts avec les parents sont devenus de plus en plus rares, seuls les SMSet autres messages des copains ayant une valeur indispensable à la vie.
       Et si j'avais pour modèle mes parents et grands parents, ce n'est plus le cas des jeunes d'aujourd'hui dont le souci est d'appartenir à un groupe et de ressembler aux copains pour se fondre dans le groupe, et d'adopter ses règles de façon souvent moutonnière.
        Par contre les parents sont toujours considérés être la pour fournir le vivre et le couvert, ce qu'on désire et son argent de poche.

        Je pense donc que les “enfants gâtés tyrans” ne sont pas des ados en crise, mais un produit de notre société actuelle, peu éducative.
        A force d’avoir tout ce qu’ils veulent, ils en désirent toujours plus, voire ne savent plus quoi demander, et le moindre refus les traumatise.
        Louis Roussel (sociologue spécialiste de la famille),constate :
    “L’abolition des contraintes était censée nous faire accéder à la liberté; elle nous condamne le plus souvent à l’irrésolution sur la façon de conduire notre vie privée, à l’angoisse terrible de se tromper de chemin 

        Et ceci est probablement une explication au phénomène surprenant de la souffrance de beaucoup d’adolescents, qui sont pourtant des privilégiés de la vie et qui sont obsédés par cette idée : trouver leur voie.

        Cela dit je ne voudrais pas généraliser. La plupart des jeunes ne sont pas des enfants -tyrans et beaucoup arrivent, avec quelques efforts, à trouver leurs parents encore “supportables”, et peu à peu aussi, à trouver leur voie.

        Par contre je suis également frappé que, à contrario, certains parents ont encore des méthodes d’éducation très rigides, encore plus sévères que celles que j’ai connues enfant, et qui parfois frisent la tyrannie ou la violence.
        C’est d’autant plus regrettable, que, dans le monde trop permissif d’aujourd’hui, cette attitude apparaît encore plus anormale à leurs enfants, qui comparent leur famille à celle de leurs camarades et ont évidemment tendance à se croire victime et à idéaliser à tort, la famille des autres.

        Le manque d’autorité comme son excès, sont finalement aujourd’hui la cause de beaucoup des malaises des jeunes que je côtoie.
       

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  • L'utilité du dictionnaire (2)

       Le mercredi, c'est le milieu de la semaine, on est fatigué!

       Reposons nous un peu avec la suite du dictionnaire humoristique
    que j'ai trouvé sur internet et que j'ai cité hier. (aujourd'hui extraits de E à Z) :

    ÉCONOMISTE
    Expert qui saura demain pourquoi ce qu'il a prédit hier n'est pas arrivé aujourd'hui.

    FACILE
    Se dit d'une femme qui a la même morale sexuelle que les hommes.

    GARDE-ROBES
    Endroit où pendent ses vêtements quand il n'y a plus de poignées de porte disponibles.
    (Cela je l'ai souvent vérifié)

    JURY
    Groupe de douze personnes, réunies par tirage au sort, pour décider qui, de l'accusé ou de la victime, a le meilleur avocat.

    MISÈRE
    Situation économique qui a l'avantage de supprimer la crainte des voleurs. (Alphonse Allais)

    MARIAGE
    Union qui permet à deux personnes de supporter des choses qu'elles n'auraient pas eu besoin de supporter si elles étaient restées seules.

    PARENTS
    Deux personnes qui montrent à un enfant à marcher et à parler, pour ensuite lui dire de s'asseoir et de fermer sa gueule.

    POISSON
    Animal dont la croissance est excessivement rapide entre le moment où il est pris et le moment où le pêcheur en fait la description à ses amis.

    PROGRAMMEUR
    Celui qui résout un problème que vous n'aviez pas, d'une façon que vous ne comprenez pas.

    PSYCHIATRE
    Homme intelligent qui aide les gens à devenir cinglés.
    (hélas, c'est souvent vrai !!)

    RICHESSE
    Seul moyen d'échapper à la misère. (Voir ce mot)

    SANG-FROID
    Chose facile à avoir au mois de décembre.

    TOURISME
    Activité consistant à transporter des gens qui seraient mieux chez eux, dans des endroits qui seraient mieux sans eux

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  • Un dictionnaire, c'est bien utile !
             Un petit intermède entre deux articles sérieux pour vous reposer (et pour me donner le temps d'écrire la suite).    

           J'aime bien les dictionnaires et je fais souvent appel aux lumières de mon petit ami Robert ou de ma petite amie La rousse
         Aujourd'hui, je vous donnerai des extraits d'un dictionnaire humoristique, trouvé sur internet. (lettres A, B, C, D pour le moment)
    évidemment ces définitions sont de l'humour noir et ne croyez pas que je les prends au sérieux !


    AIDE AU TIERS MONDE
    Aide payée par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres. (Robert Burron)

    AMI - AMIE
    Se dit d'une personne du sexe opposé qui a ce "Je ne sais quoi" qui élimine toute envie de coucher avec elle.

    AMOUR
    Mot en 5 lettres, trois voyelles, deux consonnes et deux idiots.

    AUTO-STOPPEUSE
    Jeune femme généralement jolie et court vêtue qui se trouve sur votre route quand vous êtes avec votre copine.

    AVOCAT
    Seule personne qui écrit un document de 10.000 mots et l'intitule 'Sommaire'. ( Franz Kafka)

    BABY SITTER
    Adolescents tenus de se conduire comme des adultes, de manière à ce que les adultes qui sortent puissent se comporter comme des adolescents.

    BAGNOLE
    Vieille auto dont toutes les pièces font du bruit, sauf la radio.

    BANQUIER
    Homme qui te prête un parapluie par beau temps et qui te le reprend lorsqu'il commence à pleuvoir. (Mark Twain)

    CONFIANCE
    Liberté que l'on accorde à une personne pour qu'elle fasse des bêtises.

    CONSULTANT
    Celui qui retire la montre de ton poignet, te donne l'heure et te fait payer le service.

    DANSE
    Expression verticale d'un désir horizontal.

    DÉMOCRATIE
    Régime où tout le monde a le droit de dire que l'on est en dictature. (Georges Hahn)

    DICTATURE
    Régime où tout le monde est obligé de dire que l'on est en démocratie. (Georges Hahn)

    DÉSILLUSION
    Sentiment ressenti lorsque le superbe postérieur ne coïncide pas avec le visage qui se retourne.

    DIPLOMATE
    Celui qui te dit d'aller te faire foutre d'une telle façon que tu as très envie de commencer le voyage.

          Je continuerai demain à la lettre E

     

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