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Suite de mon intermède sur les cathédrales de France.
La cathédrale de Chartres est très connue en raison surtout de son pèlerinage annuel.
Depuis le 9ème siècle, elle a été plusieurs fois détruite et reconstruite. Elle est l'une des premières cathédrales gothiques te a été élevée entre 1195 et 1233. Elle repose sur d'immenses arcs-boutants, comporte neuf portails et on trouve plus de 4 000 sculptures sur ses façades, qui, au Moyen Âge, servaient de bible au peuple qui ne savait pas lire. Ses vitraux sont parmi les plus beaux au monde.
La cathédrale de Bourges est peu connue, et pourtant c'est une église extraordinaire que je ne me lasse pas de visiter.
Saint Etienne de Bourges est la première cathédrale gothique construite au sud de la Loire, entre 1195 et 1230. La façade ouest a été modifiée au XIVème siècle et au XVème, la tour nord s'est écroulée et a été remplacée par la tour actuelle. Chose curieuse, ce n'est pas un coq qui est au sommet du clocher, mais un pélican en bronze.
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J'avais dit que je referai des articles de pause sur les cathédrales de France. Les photos que je vous présenterai , proviennent essentiellement du site "l'internaute".
J'ai déjà fait plusieurs articles sur Notre Dame de Paris, la plus connue des français et des étrangers. Elle a plus de 800 ans? Sa construction a commencé en 1163 et s'est achevée en 1272. Elle mesure 130m de long, 48 m de large, 35 de haut au niveau de la nef et peut accueillir 6000 fidèles. Ses tours ont une hauteur de 69 m et la flèche s'élevait à 98 m
Des milliers d'hommes et de femmes ont travaillé à l'édification de cette merveilleuse cathédrale dont j'admire à chaque visite les gargouilles extraordinaires.
J'espère vivre encore quelques années pour le voir reconstruite après le terrible incendie qui a ravagé sa toiture.J'ai fait également deux articles sur la cathédrale de Strasbourg et je n'en retiendrai donc également que deux photos.
Ce magnifique édifice de grès rose a été érigé de 1176 à 1439, sur les fondations d'une ancienne basilique de l'an 1015, détruite par un incendie.
C'est la plus haute avec une flèche de 142 mètres.
Tout aussi connue des français et des étrangers la cathédrale de Reims où furent sacrés la plupart des rois de France depuis Louis le Pieux en 816.
Un autre édifice antérieur avait vu le baptême de Clovis en 498. La cathédrale actuelle a été construite de 1211 à 1275. Endommagée fortement à la guerre, elle fut rénovée de 1918 à 1938. On peut y admirer 2 300 statues et notamment des anges célèbres, aux ailes déployées.
Demain, je vous montrerai les cathédrales de Chartres et de Bourges.
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Un deuxième problème dans les couples peut provenir de ce que l’un des partenaires est extraverti, tandis que l’autre est introverti.
Je vais essayer de vous donner des exemples concrets en reprenant notre couple : Tristan que nous supposerons extraverti (« E »), et Iseult, introvertie (« I »).Tristan souhaiterait être tout le temps en compagnie d’autres personnes; il a beaucoup d’amis et les voit souvent, fait de nombreuses randonnées, du sport, mais le reste du temps discute avec eux, et adore déjeuners, sorties au café, ou apéritifs chez les uns ou les autres.
Il va aux anniversaires, aux mariages de ses copains, à de nombreuses fêtes de toutes sortes. Il adore les concerts où une foule nombreuse trépigne et hurle en rythme et s’enflamme pour le groupe sur scène.
Bref il n’est jamais là, car le reste du temps il est à la fac, et les quelques soirs de la semaine où il reste à la maison, il a alors du travail à faire. Iseut ne le voit presque pas.Iseult a peu d’amies. Elle les voit surtout pour discuter, échanger des idées.Randonnées et sport, elle aime bien mais elle préfèrerait être avec son copain dans la cohorte d’amis. Les déjeuners et autres soirées où elle se retrouve au milieu de gens peu connus lui font plutôt peur si elle n’y retrouve pas une amie de longue date à qui parler. Elle préfèrerait rester chez elle à lire, à consulter internet ou à se cultiver. Quant aux concerts, elle a peur de la foule et préfèrerait écouter un CD, tranquille dans son fauteuil.
Lorsqu’ils sont dans une de ces réceptions qu’un l’un adore et l’autre redoute, leurs attitudes sont opposées.
Tristan oublie Iseut. Il papillonne de personne en personne que ce soit un ami ou un inconnu, il faut qu’il parle, de la pluie du beau temps, de n’importe quoi, qu’il raconte sa vie.
A la même table dans un déjeuner, Iseult l’écoute gentiment, mais ses paroles la soûlent. Pour être polie, elle parle à son voisin de table, répondant aux questions qui ne sont pas indiscrètes. Pour qu’elle parle vraiment, il faut qu’on la lance sur un sujet qui la passionne et donc qu’elle connaît parfaitement.
Dans une soirée, Tristan adore faire le boute en train, l’organisateur des activités, le “présentateur” de télé, avec un certain bagout.
Au contraire, Iseult n’a qu’une peur, qu’on lui pose une question à laquelle elle doive répondre en public.Mais ce qui lui déplaît le plus c’est qu’ils évoluent séparément dans la foule des amis ou des invités, comme s’ils ne se connaissaient pas : est ce là un vrai couple ?
Dès que quelqu’un lui demande un renseignement, un service, Tristan ne lui refuse pas et l’invite tout de suite à venir chez lui, exposer son problème. C’est ainsi un défilé permanent et la maison est toujours pleine de gens, la plupart du temps inconnus.
Iseult en a marre d’être ainsi dérangée. Elle voudrait être tranquille pouvoir réfléchir, avoir des occupations communes à eux deux seuls, avoir davantage d’intimité.
Finalement ils mènent deux vies presque séparées, bien que souvent l’une suivant l’autre, mais alors, à quoi bon vivre ensemble.?
Iseult commence à penser qu’elle aurait dû avoir un petit ami introverti.
Quant à Tristan, il ne s’aperçoit pas que Iseult souffre de la situation. Il lui reproche plutôt de manquer d’entrain et de ne pas savoir s’amuser ou de l’empêcher de voir ses copains. Il s’ennuie tout seul avec elle !
Iseult a peu d’ami(e)s, mais elle ne s’ennuie pas. Elle n’a pas besoin de parler et la présence de quelqu’un, elle s’en passe. Toujours quelque chose à faire, à lire, à étudier, de la musique à écouter, un peu de sport : athlétisme et judo. Elle a un blog mais surtout pour mettre ses idées au clair, pour s’exprimer, mais pas pour pas pour discuter de broutilles : aussi ni Whatshap, ni Facebook, on y perd trop de temps. Demain c’est formidable, elle n’a pas cours à la fac (ces amphis pleins de gens c’est odieux). Elle va pouvoir aller consulter des bouquins à la bibliothèque. Mais elle ira seule. Tristan ne veut pas s’enfermer ainsi dans ce tombeau. Il restera discuter sur Facebook avec les copains.
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Je vous ai parlé hier des ruptures et du problème de la mauvaise adéquation entre les personnalités des deux amoureux, mais aussi du manque de connaissances mutuelles et des illusions qu’on se faisait sur les qualités de l’autre, que l’on voit tel qu’on voudrait qu’il soit et non tel qu’il est réellement.
Aujourd’hui je voudrais parler plus particulièrement des personnalités, à la lumière des préférences cérébrales de chaque partenaire.
La plus grande source de difficulté entre deux personnes d’un couple (ou deux amoureux), c’est lorsque l’un a tendance à vouloir maîtriser les événements (il privilégie la décision et on dit qu’il est « J », comme Jugement), alors que l’autre n’aime pas décider, mais cherche à s’adapter (il privilégie la prise d’information et on dit qu’il est « P », comme perception).
Je vais vous en donner quelques exemples, d’abord pratiques dans la vie de tous les jours, ensuite sur leur vision de l’avenir.
Tristan et Iseult sont en couple, sont colocataires et vont tous deux à la fac où ils préparent un mastère. Tristan est P et Iseult est J. Pas moyen qu’ils partent ensemble.
Iseult (J), est levée tôt et bien qu’ils ne soient qu’à dix minutes de la fac, elle part 20 ou 30 minutes avant l’heure des cours. Du coup elle traîne un peu à ne rien faire dans la cour ou dans les couloirs, et discute avec quelques copains, encore rares à cette heure.
Tristan (P), n’est jamais pressé : un bon quart d’heure sous la douche (restera t’il encore de l’eau chaude pour les autres ?), autant pour se raser et se donner un coup de brosse dans les cheveux, ensuite le petit déjeuner au pas de course, Iseut étant déjà partie. Oui , mais faut quand même prendre le temps de manger, et il est très vite 8h50 et il ne part qu’à 9h01 alors que le cours est à 9h. Pas grave, en général le prof est encore plus en retard et ne commence qu’au quart ! (il est P lui aussi, coup de chance !).Tristan et Iseult font leurs courses au supermarché.Iseult (J), a fait sa liste à l’avance. Elle sait ce qu’elle veut et où sont les rayons correspondants, et elle a donc en tête l’itinéraire dans le magasin. Elle se contente de comparer les prix de quelques produits, les dates de péremption, l’aspect des fruits et légumes ou des poissons. Au bout de 20 minutes elle pourrait aller à la caisse.
Oui mais elle doit attendre Tristan ! Lui (P) ne sait pas trop ce qu’il veut mais a quelques envies à priori, mais il va faire un tour pour voir et se donner des idées, et regarde un peu tous les produits. Déjà 20 minutes de passées, alors il revient à certains endroits où il désirerait acheter. Il veut choisir une barquette de raisin, en prend une, la regarde sur toutes ses faces, puis regarde le poids. Peut être y a t’il un peu moins; il cherche, mais celle là est moins belle. Après avoir retourné sur toutes leurs faces les trois-quarts des barquettes, finalement il reprend, cinq minutes plus tard, la première qu’il avait initialement choisie.Cela se répète souvent et une heure après son arrivée au magasin, il est enfin devant les caisses, mais c’est bien parce qu’il est pressé, sinon il retournerait pour voir s’il n’y a pas une caissette de clémentines plus belle que celle qu’il a choisie et dont certaines ne sont pas très mures ! Et puis il y a ces quetsches qui lui faisaient envie pour faire une tarte : ces belles prunes noires qui sont rouges quand elles sont vertes ! Seulement, Iseult l’attend depuis plus d’une demi-heure près de la caisse et fulmine!! Moi, à sa place je serais partie !Les vacances c’est horrible s’ils veulent partir ensemble. Deux mois avant Iseult sait où elle aimerait aller et il faut réserver les billets ou les chambres dans un gîte. Mais pas moyen de décider Tristan, qui ne sait pas, il n’a pas encore vu tous les prospectus, et il faut qu’il se renseigne auprès des copains.
Le délai approche et quand Tristan s’est décidé enfin, il n’y a plus de place dans le gîte où ils voulaient aller et les billets de train sont plus chers. Iseut est furieuse. La prochaine fois, elle n’attendra pas Tristan.Le jour V (comme vacances), ils s’étaient donnés rendez vous dans le train.
Iseult était très en avance et a fait le pied de grue sur le quai, mais Tristan ne s’est pas pressé et le train est parti à l’heure, mais sans lui. Qu’importe, il a pris le suivant ! Au fond ils auraient dû partir en avion, car tout le monde connaît la devise d’Air France : “Vous ne raterez jamais votre avion, nous sommes toujours plus en retard que vous !”.En vacances Tristan et Iseut ont été au cinéma au casino et après la séance, ils traversent la salle de jeu, histoire de voir ce que c’est, puisqu’ils sont majeurs.
Iseult s’intéresse au mécanisme des jeux; comment peut on gagner. Mais elle se garde bien de jouer. On ne peut maîtriser les événements même avec de savants calculs, alors à quoi bon. Surtout que le casino a davantage de chances de gagner : faut bien que cela lui rapporte, il n’est pas philanthrope !
Tristan par contre a une envie irrésistible de tenter sa chance; il faut bien parfois prendre des risques. Comme il n’est pas très riche, il va essayer quelques euros aux machines à sous, et formidable gagne un peu au premier coup, alors on continue. Mais au bout de 10 minutes, déception, il a perdu 10 euros. Bof ce n’est pas la mort, c’est juste “pas de chance”.Tristan a juste oublié que les machines à sous doivent rapporter de l’argent au casino !Iseult aimerait vivre avec Tristan de façon définitive, quand ils auront fini leurs études ; elle voudrait un toit, des enfants. Alors elle en parle à Tristan.
Mais lui ne répond jamais, il élude ; c’est trop tôt ; il ne veut pas la forcer à décider, il est la grande âme qui la laisse libre de décider ce qu’elle veut faire…. Mais finalement sans lui.
Un « P » ne décide jamais à l’avance ; ce sera déjà bien beau s’il se décide un jour, au dernier moment et le couteau sur la gorge.
Alors Iseult est triste et pleure.
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Il y a longtemps que je n'ai pas fait d'article sur les amours ou sur les préférences cérébrales et, pourquoi pas, les relations entre les préférences cérébrales et les problèmes de couple.Depuis 16 ans je corresponds avec des jeunes de Tchatcheblog, de Cowblog, puis d'Eklablog, et une part importante des problèmes que l’on me soumet, sont des chagrins d’amour. Mais j'ai beaucoup moins de jeunes correspondant(e)s sur Eklablog et donc ces échanges sont moins fréquents. Alors moins d'articles les concernent.
Aujourd'hui je voudrais parler de l'évolution que je constate chez les jeunes dans l'origine des chagrins d'amours, avant de faire plusieurs articles sur les relations entre les problèmes de couples et les préférences cérébrales des deux partenaires.
Mais j'ai davantage l'expérience des chagrins d'amour des jeunes filles. Les garçons en parlent très peu, pour plusieurs raisons : d’abord ils se font larguer moins souvent. Ensuite leur fierté et leur susceptibilité les empêchent d’en parler. Enfin, en général les garçons n’aiment pas parler de leur problèmes et souvent ceux ci les préoccupent moins.Quatre points m’ont frappé plus particulièrement :
- La différence de mentalité entre jeunes filles et garçons que je connaissais étant jeune, s’est beaucoup accentuée avec l’évolution de la société.
Les jeunes filles sont restées très romantiques. Certes le « prince charmant », est resté un mythe, mais elles rêvent d’un compagnon qui soit dingue d’elles, aux petits soins, qui apprécie et reconnaisse les efforts qu’elles font et leur amour, qui les accepte telles qu’elles sont, avec lequel elles aient un vrai fusionnement, et qui soit prêt à parler d’avenir, de vivre ensemble, de faire des projets de vie future. On partage avec lui les joies, mais c’est aussi en même temps, un confident sur lequel on peut s’appuyer, et qui vous aide dans les moments difficiles.
Les garçons eux, ont évolué dans l’autre sens. L’amour est le plus souvent une aventure, une amourette dans laquelle on partage volontiers les plaisirs mais pas les peines. Leurs copains d’une part avec leurs fêtes (où souvent on se saoule et on fume du crack!), leur formation (s’ils ont le courage d’y travailler), voire les distractions sur internet (jeux en particulier), passent souvent avant les distractions avec la petite amie, jugées trop mièvres. Et pas question d’aliéner sa liberté, de parler d’avenir. On reste vague et surtout on ne s’engage pas !- le deuxième point qui me paraît responsable de bien des chagrins, c’est qu’on s’entiche du premier venu s’il a une bonne tête, s’il est gentil et drôle et s’il a un bon baratin. Ce qui n’est qu’une simple attirance est pris par les filles (et parfois par les garçons), comme de l’amour auquel on croit.
On ne connaît pas grand chose de l’autre, ni de sa personnalité, ni de ses goûts, ni de la façon dont il envisage l’amour et l’avenir.
La libération des mœurs et la contraception (très souhaitable et souvent insuffisante), fait que l’on prend l’attirance physique pour des sentiments.
Et finalement la rupture vient de ce qu’on a construit un amour comme un château de sable, sans s’assurer qu’il avait des fondations assez solides pour durer.- Le troisième problème est celui bien connu de « l’amour aveugle ». L’amour fait qu’on a tendance, non seulement à beaucoup estimer l’être aimé (ce qui est nécessaire), mais qu’on le magnifie, et qu’on le pare des qualités qu’il a, mais aussi de celles qu’il n’a pas, et qu’on voudrait qu’il ait.
Bref on en fait un « rêve », « un prince charmant », qui doit vous apporter ce que vous souhaitez voir en lui.
On aime donc, non pas un certain partenaire bien vivant et réel, mais un mythe, un rêve, un modèle, c’est à dire le partenaire tel qu’on voudrait qu’il soit.- En général la jeune fille finit par s’apercevoir que son chéri ne correspond pas à l’image qu’elle se faisait, qu’elle espérait. Si elle a de la chance, et si elle a été réaliste dans ses souhaits, ce n’est pas trop grave car la différence n’est pas prohibitive. Mais il arrive souvent qu’elle soit considérable.
L’attitude raisonnable serait, surtout si la différence n’est pas prohibitive, d’admettre son partenaire tel qu’il est, d’essayer de faire quelques concessions mutuelles et d’essayer de construire, si c’est possible, sur la réalité des deux êtres.
Mais je constate que ce n’est pas ce qui se passe : en général chacun espère que c’est l’autre qui fera des concessions, ou même que sa personnalité changera à votre contact.
C’est une énorme erreur : la personnalité de quelqu’un qui a une vingtaine d’années change peu et, je n’ai jamais vu un garçon aimé par mes lectrices , mais ne correspondant pas à leur rêve, changer de personnalité pour devenir le prince charmant. Tout au plus fera t’il des efforts et souvent, qui ne seront que passagers et s’estomperont dans le temps. Ce n'est que retarder la séparation.
Lorsque les conditions que je viens de décrire sont remplies, je n’ai malheureusement jamais vu les problèmes se solutionner : soit il y a eu assez rapidement rupture, ce qui est le cas favorable; soit l’un des deux aimant trop l’autre, cette personne n’a pas voulu entériner le fossé qui s’était créé, et a alors abdiqué en essayant de faire toutes les concessions possibles pour garder l’être aimé. Mais sa personnalité ne pourra que très peu évoluer, pas plus que celle de son compagnon, et c’est alors une succession de crises pénibles, de heurts, de reproches mutuels, qui finiront par créer tellement de souffrances que la séparation deviendra inéluctable.Finalement le problème c’est que l’amour est un sentiment, une succession d’émotions. Alors c’est le cerveau émotionnel qui traite principalement le problème et le plus souvent, il n’écoute pas le cortex préfrontal qui prêche le rationnel et la logique. La subjectivité remplace l’objectivité.
Cela ne se passe bien que si on a bien choisi son partenaire de départ et si on a évalué un minimum, les chances que l’on avait d’avoir une liaison durable.
Mais pour cela il faut arriver à maîtriser ses émotions et ses sentiments, ne pas laisser tourner en rond dans le cerveau émotionnel les idées tristes, avec l’amygdale qui aggrave la situation de stress à chaque tour, et arriver à garder une communication minimale entre le cerveau émotionnel et le cortex préfrontal, qui réfléchit en examinant objectivement les situations.Dans les prochains articles, j’examinerai l’importance des préférences cérébrales sur ces processus d'entente ou de mésentente entre deux personnes.
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