•      Vous savez que j’aime bien les oiseaux, j’en nourris avec des graines, sur ma terrasse en région parisienne, mais de moins en moins car la pollution et le bruit les chassent, et puis le 5ème étage c’est haut. Par contre en Bretagne beaucoup viennent dans mon jardin, nichent dans les pins et se régalent de ce que j’ajoute à leur nourriture naturelle et se baignent dans une grande coupe plate pleine d’eau.
        
        Aujourd’hui je vous parlerai des hirondelles, cet oiseau migrateur que nous avons beaucoup de plaisir à voir revenir dans nos contrées, annonciateur du début de la belle saison. On l’entent gazouiller mais aussi parfois un cri d’alarme « tsivitt" strident, quand la chatte de la fille sort de la maison. Il y a quelques années j’en ai soignée une qui avait été blessée, et elle avait fini par ne plus avoir peur de moi., quand je lui apportais ce que je trouvais comme insectes et aussi des miettes de sablé breton, qu’elle avait fini par trouver à son goût, faute de scarabées.

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        Les hirondelles ont entre 15 et 20 cm de long, le front et la partie supérieure  de la gorge brun rouge, et la partie inférieure bleue, et le dessous du corps blanc et de grandes ailes bien musclées.
        Les nids sont des demi coupes à base de brindilles que le couple met 15 jours à construire, en le renforçant avec des boulettes de boue, et la femelle couve 4 à 5 œufs pendant environ 18 jours et les parents, qui forment un couple responsable, élèvent les oisillons au nid pendant plus de 20 jours, et il y a souvent deux nichées par an.
        Vous reconnaîtrez le mâle à sa queue fourchue un peu plus longue que celle de la femelle et plus effilée.

         J’ai lu avec beaucoup de plaisir des articles de Dominique Couzens sur la vie des oiseaux de nos campagnes et il m’arrivera de vous résumer ses propos.
         Dominique Couzens parle d’expériences scientifiques sur la vie de ces oiseaux, montrant comment l’évolution avait formé leur instinct, et leur comportement m’a plutôt amusé.

       http://lancien.cowblog.fr/images/oiseaux/Unknown2.jpg Les femelles trouvent que les mâles les plus séduisants sont ceux qui ont une longue queue, non seulement dans le choix de leur mari pour former un couple, mais aussi pour leurs aventures extra-conjugales.
        Si on coupe les filets caudaux d’un don Juan hirondelle, raccourcissant ainsi fortement sa queue, on lui fait perdre tout son succès auprès de la gent féminine.;;(par contre l’étude ne parle pas du succès auprès des autres mâles).
        Une longue queue est une entrave pour voler et le mâle ainsi doté et qui a du succès, à montré sa recherche d’une femelle au cours de longs vols, qu’il était assez fort pour surmonter ce léger handicap, et  Darwin nous enseigne que l’évolution incite les femelles à choisir les mâles susceptibles d’assurer la descendance la meilleure.
        D’ailleurs les mâles à longue queue possèdent un taux de testostérone plus élevée (chez les hirondelles), et son système immunitaire est plus efficace.

        Monsieur et madame hirondelle forment un couple monogame très conventionnel, mais les aventures extra-conjugales sont assez fréquentes. Cela permet à madame d’avoir des enfants de plusieurs hommes, ce qui favorise statistiquement la qualité de la descendance (au moins au niveau de la population).
        Mais monsieur hirondelle est un mari jaloux, qui veille à ce que l’été à la plage, sa compagne n’ait pas trop d’occasions de lui être infidèle, et il éconduit vigoureusement tous les amants éventuels manu militari, renforçant sa surveillance quand la femelle pond ses œufs et couve. Quand les petits sont nés;et qu’il est ainsi sur de sa paternité, il relâche sa surveillance, et devient moins macho, afin d’aider sa femme à les nourrir.
        Mais madame hirondelle est une coquine, et elle profite des quelques minutes où son mari, fatigué par sa veille de garde, s’assoupit, pour se glisser hors du nid, à la recherche d’un beau garçon à qui elle pourrait rapidement plaire.
         Et si le mâle se réveille trop tôt, avant que la femelle ne soit rentrée, alors, suprême astuce, il pousse très fort le cri d’alarme, réveillant toute la colonie aux alentours, qui s’agite. La femelle volage a peur de se faire surprendre en délit d’adultère, et rentre précipitamment au nid. On ne saura jamais si elle a déjà consommé ou non.!!

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        Mais il y a aussi de méchants infanticides parmi les hirondelles.
    Un mâle qui n’a pas de compagne ou qui l’a perdue (la femelle a dû probablement courir le guilledou et se trouver un prince plus charmant), ne rêve que de reconstituer une famille recomposée et il a pour cela un procédé assez horrible.
        Il repère un nid avec des oisillons qui ne savent pas encore voler, assez haut pour qu’ils se tuent en tombant, et il vire les enfants par dessus bord, en l’absence du couple, parti chercher de la nourriture (il n’y a malheureusement pas de verrou de sécurité au nid !). En général la perte de la progéniture sonne la fin du couple, le mari signifiant à la femelle qu’il mettait un terme à leur vie commune,
        Alors le mâle infanticide vient faire sa cour et récupère l’épouse et mère éplorée, se gardant bien, évidemment, de lui dire qu’il est l’auteur de l’infanticide fatal à la couvée.

        Il y a aujourd’hui beaucoup de divorces dans le monde des humains; j’espère que les hommes n’imiteront pas les hirondelles pour constituer un nouveau couple !!
        J’ajoute cette phrase pour que cet article, qui dévoile les secrets d'alcove des hirondelles, ne soit pas jugé scandaleux pour les lectrices et lecteurs d'Eklablog, et j’espère que Stéphanie, notre modératrice, ne me demandera pas de le supprimer, comme contraire aux bonnes mœurs.  



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              Sur la photo ci dessus, vous voyez, vu de ma terrasse au 5ème étage de l'immeuble voisin en bordure de rue,  le quatrième immeuble de la copropriété où j'habite qui est au milieu de la cour. Vous en voyez le toit en terrasse dont la surface est un lino bitumineux soudé au chalumeau et qui est recouvert de petits débris d'ardoise pour résister au frottement.
              Les tuyaux que l'on voit sont d le système de ventilation des pièces humides, qui rejette l'air à l'extérieur
             Le vent amène sur la terrasse de la poussière, des feuilles, des débris végétaux
             Pour éviter que les descentes d'eau de pluie ne se bouchent, une petite grille filtre l'eau de pluie et se trouve légèrement au dessus de l'étanchéité, de telle sorte qu'après chaque pluie il reste environ un à deux centimètres d'eau sur le toit, laquelle disparaît peu à peu par évaporation.
             Mais c'est un abreuvoir et même une excellente piscine pour tous les oiseaux du coin, et on voit très souvent pigeons, corbeaux et pies qui se disputent la place. 
             Ci dessous des photos des pigeons :


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        Quelle n'a pas été notre surprise de voir dans la "piscine", des mouettes, mais elles ont dû avoir une déception, l'eau n'était pas salée.
        Admirez mes mouettes parisiennes sur les 5 images ci dessous assez ternes car il faisait un temps gris et sombre.:
        Et la sixième image, (très colorée c'était l'été au soleil,) à titre de comparaison, est une mouette bretonne de Saint Colomban, près de Carnac.

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  •      A la fin de l'hiver on se met à rêver de nouveau de chaleur et cela m'a fait penser au Sahara, cher à mon cœur, car j'ai de très bon souvenirs du temps que j'ai passé là bas.
         J'ai déjà fait un article sur les animaux de ce désert, mais j'ai retrouvé quelques autres photos et je refais donc un article.

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         J'ai rencontré plusieurs fois sous des pierres une vipère à cornes, mais j'ai gardé mes distances.. Sa morsure n'est pas toujouirs mortelle mais vous met en fâcheux état si on n'est pas soigné.
         Il faut faire attention quand on remue les pierres pour trouver des vestiges archéologiques (silx taillée, poterie) ou des roses des sables.

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         Un cobra ( de la famille des najas); qui gonfle son cou quand il est excité, ce qui permet de paraître beaucoup plus gros qu'il n'est, pour impressionner l'adversaire. Il siffle en même temps et on l'appelle le serpent à sonnette.
    Il ne faut pas plaisanter. Son venin est rapidement mortel. Nous avions toujours une seringue auto-injectable de sérum dans le véhicule, car il faut immédiatement se l'injecter si on veut en réchapper.
         Mais si on ne l'approche pas, le cobra s'enfuit. Le danger, c'est surtout en remuant des pierres.

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         Le chat des sables;, avec ses grandes oreilles et ses petites pattes. Nous en avions semi apprivoisé un, qui venait manger dans le camp, mais on ne pouvait le caresser Il s'en allait si on approchait et on se serait sûrement fait griffer.
         Chose curieuse il avait des poils sous les pattes, pour le protéger de la chaleur du sable du désert, qui est facilement l'été à 50 /60 d°C.

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         Le fennec, qui est le renard du Sahara.
         Nous en avions plusieurs dans le camp et on peut assez facilement les apprivoiser, mais ils dorment le jour et circulent la nuit.
        Un de mes collaborateurs en avait ramené un  en France et il s'était adapté. Mais il dormait le jour sous une couette et une de ses filles s'est assise dessus par mégarde, brisant les reins de la pauvre bête.

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         Une gazelle. Elle s'apprivoise très bien aussi. Nous en avions une dans le camp et j'avais eu le malheur de lui donner des biscuits, alors elle me suivait partout et je devais lui fermer au nez la porte de ma chambre,qui était au niveau du sol, dans une maisonnette en terre-cuite, grosses briques très isolantes, qui gardaient une fraicheur (toute relative 28 d°C) .

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         Dans ma chambre j'avais deux petites bêtes : par terre dans un trou du mur, une gerboise. C'est gentil, cela grignote des biscuts, mais il faut garer les chaussures dans le placard, car elle aime aussi le cuir.
         Et ce n'est pas une souris, car elle a de grandes pattes et saute comme un kangourou, mais c'est cependant un rongeur.
      
         L'autre bestiole c'était un petit caméléon brun, qui logeait dans un coin du plafond et gobait toutes les mouches en sortant une langue de 15cm, enroulée comme un serpentin de cotillon. Quand j'arrivais le soir, il descendait sur la couverture de mon lit et il fallait que je lui gratte le jabot. Puis il remontait sur la petite aspérité du plafond en terre , qui lui servait de nid.

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         Ma chambre était en fait une maisonnette en briques d'argile, sur un plateau rocheux, face au désert. J'avais une petite terrasse bordée par un petit mur devant la fenêtre, avec des trous dans ce mur rustique. Cela servait d'abri à un petit hérisson du désert que j'avais trouvé, une patte cassée, exposé aux prédateurs du désert, et je l'avais ramené là , en lui mettant une attelle. Il avait peu à peu guéri et je le nourrissais avec des légumes et il s'était peu à peu apprivoisé, ne connaissant pas l'homme comme dangereux pour lui. Mais pas question de le caresser : ça pique !!

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         Je ne vous montrerai pas de dromadaire - le chameau du désert, car vous connaissez.
         Par contre, une dernière image : celle d'un scorpion : les nomades du désert vous en montrent un , scorpion jaune dont la piqûre est souvent mortelle, et ils le mettent dans une poêle, sur un feu. 
         Le scorpion se recroqueville puis noircit et devient un morceau analogue à du charbon de bois. Ils le mettent alors dans un petit seau d'eau et au bout de quelques minutes,si vous retournez le seau, vous voyez partir un scorpion tout guilleret, réhydraté. !!

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  • Extraordinaire : un vrai mille-pattes

             
              Etant enfant, j'ai souvent attrapé des mille-pattes dans le jardin où j'habitais, dans les Pyrénées et j'étais toujours déçu : appeler cette bestiole un mille-pattes était une vraie tromperie : je n'en ai jamais trouvé plus de 40 !
              Je viens de lire dans le numéro de janvier de la revue "Pour la Science", un article qui comble un désir de mon enfance : on vient de trouver en Australie, un "vrai mille-pattes",  (voir la photo ci-dessus), qui a 1306 pattes (heureusement un nombre pair : il ne boite pas). Les chercheurs l'ont appelé "Eumillipes Perséphone", en référence à la déesse grecque du monde souterrain.
              C'est en effet un animal sans yeux et sans pigmentation, qui vit dans l'obscurité, à 60 mètres sous terre. On en a trouvé 4 exemplaires dans un puits de forage. Son grand nombre de pattes qui augmente sa force de traction, et les segments flexibles de son corps, lui permettent de se glisser facilement dans les micro-cavités du sous-sol. Ces bestioles sont en effet très flexibles et peuvent s'étirer facilement, avec un mode de locomotion télescopique, ce qui leur permet de passer par des fentes étroites.
            Il mesure 10 cm de long et 1 mm de large. (une mignonne  petite ficelle !)

            Perséphone mille-pattes a une tête conique et de grandes antennes.
            J'ai appris aussi que l'on avait trouvé déjà de grands mille-pattes, avec une morphologie voisine et notamment 'l'Ilacme pleines", autre myriapode, qui aurait 750 pattes.
           J'ai emprunté à la revue la photo ci-dessous, qui représente Perséphone, retourné sur le dos, photo sur laquelle, à gauche, on voit les segments, avec sur chacun 4 pattes et à droite, sa tête avec ses deux antennes et un espèce de bec pour se nourrir.
          1306, c'est un nombre curieux, et en plus, ce n'est pas divisible par 4. Ou les chercheurs ont mal compté, ou il y a un segment anormal à 6 pattes !

    Extraordinaire : un vrai mille-pattes

             On a peu de renseignement sur cette bestiole. Les chercheurs vont étudier ce qu'il mange, comment il se reproduit, et comment il perçoit son environnement.

           J'espère que ce mille-pattes n'a pas froid aux pattes, car s'il doit mettre 1306 chaussettes, il en a pour un moment !

           Au plan de l'évolution, les mille-pattes sont parmi les premiers animaux à respiration aérienne sur Terre, et certaines espèces éteintes ont atteint plus de deux mètres de long. 
          Ils seraient sur terre depuis environ 400 millions d'années.
          Ils jouent un rôle vital dans les écosystèmes qu’ils habitent, en mangeant des détritus et en recyclant les nutriments. Leurs bébés éclosent de leurs œufs avec seulement quatre pattes, mais peuvent continuer à développer de nouveaux segments, avec de nouvelles pattes, jusqu’à l’âge adulte. (heureusement que l'homme n'est pas ainsi bâti !).
         Il y aurait environ 70 espèces différentes de myriapodes, réparties sur tous les continents, à l’exception de l’Antarctique.

          

     

     

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  •            J'ai trouvé sur un site internet quelques clichés extraordinaires Il s'agit de photos de foetus, mais pas humains, c'est trop connu, mais d'animaux, ce que l'on voit plus rarement.
              C'est à la fois instructif et étonnant, jugez en 

             La première est celle d'un serpent, mais je ne sais pas si c'est un serpent vivipare ou dans un œuf. On croirait presque un anchois roulé !

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             Ensuite le plus gros des animaux; pauvre maman éléphant, sa gestation dure 2 ans
    Bébé a une mignonne trompe.

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           Un oppossum; pour ce mammifère marsupiau, c'est moins pénible : 13 jours de gestation, mais ensuite un long séjour dans la poche, avec lait à domicile.
    Il ressemble à une petite larve !

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              Un guépard : l'image d'échographie  est extraordinaire on voit déjà la peau tachetée et on voit bien aussi le placenta et la vascularisation

    Des foetus animaux.





     

     

     

     

     

     

     

            Un dauphin : sa gestation dure un an.


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             Un requin tigre qui adulte fera quatre mètres de long !!
    On ne voit que la tête du fœtus, mais il a l'air féroce, bien que sse dents soient encore toutes petites.!

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          Un ours polaire (gestation 5 mois) : on dirait une petite peluche; dommage lla photo que j'avais mise était très sombre et peu visible. Stormalo a eu la gentillesse de la retoucher et on voit alors les détails; merci. <<<ce sont des jumeaux.


    Des foetus d'animaux.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


           Enfin un chien : un chihuahua, le chien le plus petit. J'avoue que je n'aime pas beaucoup ce chien de luxe une fois adulte.  Mais en fœtus il est mignon, et il a un cordon ombilical d'une longueur extraordinaire? Gestation :  2 mois environ

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