• Anxiété ou dépression

         C'est actuellement la période des examens qui se termine et toi sont fatigués, profs, comme élèves. C'est aussi l'approche des vacances et cela ne se déroule pas toujours bien, soit au bureau dans attente du départ, soit que ce que l'on pensait faire ne se passe pas comme prévu.
         Bref beaucoup de stress dans l'air. 
         D’autres ont un gros chagrin d’amour parce que l'autre part en vacance seul(e).

         Certain(e)s sont proches d’une petite dépression passagère, qui s’installe pendant quelques jours, puis heureusement s’atténue et disparaît avec les vacances
         Pour d'autres, c'est plus sérieux, on n'a plus goût à rien et on se croit en dépression.
        C’est vrai que la frontière entre une grande anxiété, un grand stress et une dépression est assez floue et on ne sait pas trop où on en est.
        Certaines d’entre vous me disent qu’ils ou elles ne comprenaient pas comment leur souffrance pouvait cohabiter avec une vie de tous les jours, active et joyeuse, et d'autres ont aussi honte de cette peine et se croient des exceptions, des personnes  “anormales”, des folles à envoyer à l’asile.
    Heureusement ce n'est pas vrai !

        Parlons d’abord un peu de la dépression.
        Dans une étude publiée en 1995 , Marie Choquet, médecin spécialiste des adolescents indique que la dépression est un trouble de l’adolescence qui touche 7,5 % des garçons et 22,5 % des filles de moins de 18 ans. L’”épisode dépressif majeur”, la dépression profonde, varie selon les études de 3 à 7 % de la population des 12 à 23 ans. Ce sont de très fortes proportions.
        Vous n’êtes donc pas “anormal(e)”.

        L’opinion publique pense que le déprimé est apathique, qu’il ne sort plus, ne parle plus et dépérit. Ce cliché est vrai pour l’adulte, faux pour l’enfant ou l’ado.
        L’adolescent au contraire déborde souvent d’énergie, se perd dans l’action, sort régulièrement, est apparement gai et en mouvement permanent.  
        Ce qui fait le fond de sa dépression, c’est une autodévalorisation, la conviction qu’il n’a pas de valeur qu’il est inutile et abandonné et sans défense dans un monde hostile et affreux. Cest évidemment faux, mais encore faut il l’en convaincre.
      

    Anxiété ou dépression


            En général il s’agit au départ d’anxiété, de stress, et l’ado s’en sort au bout de quelques semaines, mais s’il persiste dans cette voie, ces sentiments qui tournent en rond dans son cerveau émotionnel s’ancrent peu à peu et on glisse vers la dépression avec la fatigue qui s’installe et la perte de toute envie, la difficulté à prendre une décision et agir, le repli sur soi.

        Il ne faut donc pas trop vous affoler d’une période de crise passagère. Ce n’est sans doute qu’une vague d’anxiété.
        Vous me demandez comment je fais la différence entre anxiété et dépression.

        Je ne suispas psychiâtre, donc ce que je vais vous dire n’est qu’une “recette” que j’emploie et seul un médecin compétent pourrait vraiment répondre :

    Quand vous êtes seulement                       Quand c’est plus grave
          anxieuse


    Vous êtes inquète.                                 Vous êtes triste

    Vous êtes préoccupée mais                   Vous êtes découragée et vous
    vous essayez de vous adapter               n’avez plus envie de faire des
    de vous en sortir seule.                          efforts.

    Vous essayez de prévoir les                  Vous ruminez les échecs et ne
    problèmes, de tourner la page,               pensez que regrets et remords.
    d’anticiper les difficultés.

    L’anxiété varie. Vous vous sentez           Vous vous sentez toujours mal
    aussi par moment rassurée et                dans votre peau
    détendue.

    Vous avez des doutes sur votre                Vous avez la certitude que votre
    avenir :                                                     avenir sera déplorable :
    “Que va t’il se passer”?                           “ Cela va mal se passer ! “

        Alors ne paniquez pas et si vraiment cela ne va pas, confiez vous à quelqu’un.

     

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  •           Je discutais avec un jeune élève, dans un mail, des oraux du bac et des programmes de SVT actuels et de mon temps très ancien (de l'ordre de 75 ans) et j'ai parlé de dahu et on m'a demandé ce qu'était cette bête pourtant connue. Alors peut être que cette description vous intéressera.

              J’avoue être étonné. Le niveau du bac a nettement baissé : on ne vous explique plus ce qu’est un “dahu”.?  Quand j’étais jeune, à Pau dans les Pyrénées nous avions en 3ème des cours de zoologie et on nous apprenait les données suivantes :.

              Le “dahu” cela ressemble à un chamois ou à un isard et on en trouve, un peu dans les Pyrénées, et surtout dans les Alpes.
              C’est un animal qui vit exclusivement sur les pentes des montagnes et  que l’évolution darwinienne et la sélection naturelle des espèces, a adapté à cette vie.
              Je vous montre ci-dessous  deux planches anatomiques tirées d'un de mes anciens bouquins de zoologie.

    Un animal des montagnes.         Il a deux pattes plus courtes du coté de l’amont ce qui lui permet d’être beaucoup plus stable sur une pente abrupte qu’il peut parcourir aisément. Mais cela l’oblige à tourner toujours dans le même sens dans sa montagne préférée. Si ce sont les pattes gauches qui sont les plus courtes, il s’agit d’un “dahu lévogyre” .
             Il se déplace dans le sens trigonométrque au flanc de la montagne.

       


    Un animal des montagnes.        Si au contraire ce sont les pattes droites, c’est alors un “dahu dextrogyre” qui tourne dans le sens des aiguilles d’une montre.
           Ces deux espèces se sont conservées jusqu’à nos jours et ne se mélangent pas
           En effet un dahu dextrogyre et un dahu lévogyre, s’ils se rencontrent, peuvent facilement se faire des bisous, mais ne peuvent pas s’accoupler ou bien c’est si dangereux qu’en général, ils finissent tous deux au fond du précipice.


              Les vieux montagnards qui conservent les traditions orales, prétendent cependant que deux espèces issues de croisement ont existé :

    Un animal des montagnes.          Le dahu descentus frontalis :ses pattes arrières plus courtes que ses pattes avant lui valurent de disparaître dès le milieu du 18ème siècle. En effet, tournés vers l'aval, les dahus descentus frontalis se retrouvèrent vite dans la vallée, et incapables de rester à l'horizontale, ils moururent ou furent tués par des chasseurs.



    Un animal des montagnes.

     

          Le dahu ascentus frontalis, qui avait les deux pattes avant plus courtes que les pattes arrières. Faute de place au sommet des montagnes, cette particularité a causé la disparition de cette espèce au milieu du 20ème siècle. 





               Le dahu est un animal “bio” car il se nourrit  exclusivement d'herbes, de plantes, de baies et de feuilles, et il boit exclusivement de l'eau des sources pures, de préférence non gazeuse, mais équilibrée en minéraux et riche en calcium ainsi qu'en oligo-éléments.

               Il paraît que la chasse au dahu est très excitante. Les chasseurs signalent entre eux la position des dahus, par exemple : "dahu à 15 minutes" (pour un dahu dextrogyre, qui tourne dans le sens des aiguilles d'une montre) et "dahu à Pi/2" (pour un dahu lévogyre qui tourne dans le sens trigonométrique). Pour le capturer, il faut lui faire rebrousser chemin et, déséquilibré par ses pattes plus courtes alors vers l'aval, il tombe, cul par dessus tête, en bas de la pente où on le capture.

              Quand j’étais petit, j’ai vu des dahus dans les Pyrénées, mais de très loin, car c’est un animal sauvage, et je n’avais pas de jumelles.

              Et si vous trouvez cela invraisemblable, allez voir sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dahu

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  •       Suite à mon article sur les médicaments psychotropes (28/06/2019), et celui d'hier sur la surconsommation d'anxiolytiques, un lecteur m'a demandé de préciser la façon d'agir de ces médicaments.

        Pour comprendre l’action des  neuro-transmetteurs et des anxiolytiques, il faut d’abord comprendre comment fonctionne une synapse.
        Les étapes de ce fonctionnement sont schématisées sur le schéma ci dessous.

    Synapss et anxiolytiques


        Autour des synapses et dans l’interstice (appelé fente synaptique, on trouve des ions à des concentrations diverses, relativement constantes en moyenne, principalement calcium Ca++, sodium Na+, potassium K+ et chlore Cl-.
        L’arrivée de l’influx nerveux dans l’axone du neurone précédent provoque l’entrée massive d’ions calcium qui libèrent le neurotransmetteur contenu dans des capsules, dont les molécules vont migrer dans la fente synaptique.
        Ce neurotransmetteur est capté par des récepteurs spécifiques et cette capture va ouvrir des canaux ioniques qui permettront à des ions soit sodium positifs Na+, soit chlore négatifs Cl- , d’entrer dans la dendrite du neurone suivant et de transmettre un potentiel d’action vers le neurone lui même. Si l’ensemble de ces potentiels en provenance des diverses dendrites est supérieur à un certain seuil, ce neurone enverra un influx nerveux dans son propre axone;
        Pour décrire tout à fait de manière simple le phénomène, un mot de ces récepteurs et “canaux ioniques” . Regardez le schéma ci dessous :

    Synapss et anxiolytiques


        Un canal ionique est constituée par une très longue protéine, qui traverse plusieurs fois la paroi entre la fente synaptique et la dendrite suivante.
    Certaines parties qui se trouvent sur la paroi de la fente ont une structure telle que des molécules de neurotransmetteurs (ou parfois d’autres produits chimiques de structure voisine), peuvent venir s’ccrocher sur cette partie émergeante.
        Plus loin la protéine traverse une nouvelle fois la paroi en s’enroulant en spirale et constitue un canal qui toutefois est bouché à ce stade.
        Lorsque le neurotransmetteur est fixé sur son récepteur spécifique, la protéine subit un changement de structure chimique et stérique et  la partie qui bouche le canal se distend. De plus des phénomènes électriques se produisent à la surface du canal qui attirent des ions Na+ ou Cl- à travers ce canal, de telle sorte qu’ils peuvent traverser la paroi pour entrer dans la dendrite.
        Selon le neurotransmetteur et l’ion concerné on aura ainsi crée une polarisation positive ou négative dans la dendrite du neurone suivant.
        Certains canaux ioniques comportent plusieurs récepteurs pouvant créer des ouvertures à partir de neurotransmetteurs différents (ou de produits chimiques ayant une structure voisine)

       Les neurotransmetteurs de l'anxiété.

        Le processus chimique dans le cerveau, à partir des actions des centres amygdaliens, est mal connu parce que très complexe.
        Les systèmes de neurotransmetteur qui peuvent avoir une influence sur l'anxiété sont nombreux. La sérotonine est souvent citée pour ses taux élevés dans certaines régions du cerveau associées à l'anxiété et pour son rôle dans les troubles obsessionnels- compulsifs et la dépression, qui sont tous deux états voisins de l'anxiété. Et le fait que les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (qui augmentent sa concentration) aient un effet sur ces états montre que la sérotonine y joue un rôle.
        La noradrénaline  en excès est souvent associée aux états de panique, une forme aiguë d'angoisse.
        Dans le processus de préparation à la contraction des muscles, l’excitation, la colère, les amygdales utilisent l’acétylcholine.

       Par contre on connaît mieux les réactions de l’organisme destinées à faire diminuer la peur ou l’anxiété qui sont dues à l’action d’un neuro-transmetteur le GABA (acide gamma-amino-butyrique), très répandu dans le cerveau, qui a pour fonction naturelle de diminuer l'activité nerveuse des neurones sur lesquels il se fixe.
        Le récepteur GABA est probablement le récepteur le plus répandu dans le système nerveux des mammifères. !près de 40 % des synapses du cerveau humain fonctionneraient avec du GABA et impliquerait donc son récepteur).
       Ce récepteur canal,  lorsque le GABA s'y fixe, change légèrement de forme et permet ainsi à des ions négatifs Cl- de traverser son canal central, ce qui a pour effet de diminuer l'excitabilité du neurone.
        D’autres produits peuvent influencer ce récepteur en se fixant à d’autres endroit sur la grosse protéine.

        Ces substances sont dites modulatrices car elles diminuent ou augmentent l'effet du GABA, mais sont sans effet en absence de GABA. Celles qui diminuent l'efficacité du GABA, donc la perméabilité au chlore, auront un effet anxiogène. Celles au contraire qui augmentent l'efficacité du GABA, et par conséquent la perméabilité au chlore, auront un effet anxiolytique.
    Synapss et anxiolytiques
       C'est le cas des de benzodiazépines, le potentialisateur le plus puissant de la perméabilité au chlore donc de la puissance inhibitrice du GABA (vous avez sûrement entendu parler du valium, du diazépam, du lexomil, du tranxène, ou du témesta qui sont les plus connus - le xanax et l’équanil ne sont pas des benzodiazépines, mais ont des effets analogues).

        Elles accroissent l’action du Gaba en augmentant l’ouverture du canal, ce qui facilite le passage des ions chlore et contribuent ainsi à diminuer l’intensité du message nerveux des amygdales.
        Mais ces médicaments ne sont pas sans danger et on contate notamment en France, une surconsommation anormale d’automédicalisation
        Les anxiolytiques, s’ils sont pris de façon régulière, produisent une certaine addiction, et surtout diminuent l’ensemble de l’activité cérébrale, provoquant des baisses de motivation, de volonté et d’attebtion, voire même à long terme certains troubles de la mémoire.

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  •  

    Nous consommons trop d'anxiolytiques

       Nous sommes les plus gros consommateurs de psychotropes du monde. Et cette situation ne cesse d'empirer. Plus d'un quart des Français consomme des anxiolytiques, des antidépresseurs, des somnifères et autres médicaments pour le mental. 150 millions de boites sont prescrites chaque année

        J’ai parfois des correspondant(e)s qui sont tristes et pessimistes et prennent des anxiolytiques, le plus souvent des benzodiazépines (Valium, Xanax, Lexomil, Temesta, Seresta…) ou un médicament apparenté (Stilnox, Imovane, Myolastan…), et de nombreux médicaments se terminant par "azépam" : (bromazépam, prazépam, oxazépam, clonazépam...)
        Je connais aussi des personnes plus ou moins âgées auquel leur médecin donne de tels médicaments pour qu’elles soient plus heureuses, ou parfois simplement pour qu’elles dorment mieux.
        La France est d’ailleurs l’un des pays où la consommation de ces médicaments est la plus forte. Chaque année, un Français sur cinq consomme au moins une benzodiazépine. et 17% de la population a consommé au moins une prescription en 2017.
         En 2015, 64,6 millions de boîtes de benzodiazépines anxiolytiques et 46,1 millions de boîtes d’hypnotiques ont été vendues en France.

        Sur tous les articles et livres de médecine que je possède, il est dit que ces médicaments ne doivent pas être prescrits plus de 12 semaines (en gros 3 mois), mais un article récent indiquait que la moitié des patients prenait des benzodiazépines plus de 4 mois et 16 % d'entre eux ont même été traités en continu avec une durée médiane d'environ 6 ans!
        Ce même article indiquait que le consommateur de benzodiazépine est le plus souvent une femme (67 % des consommateurs), l'âge médian des patients est de 55 ans, un tiers d'entre eux étant âgés de plus de 65 ans et 10 % de plus de 80 ans.

        Certes il y a des cas de dépression où un traitement par des benzodiazépines est nécessaire, de même que l’administration d’autres psychotropes, mais les patients  qui ont de simples angoisses, ont tendance à demander un traitement qui leur donne l’impression d’être moins anxieux et d’autre part les médecins cherchent la tranquillité et donnent facilement un médicament qui calment leurs clients.
        En fait ce bien être est passager, le temps d’action du médicament, et ensuite les problèmes et l’angoissent ressurgissent, plus forts qu’avant, et donc incitent à reconsommer.
        On arrive à une certaine accoutumance psychique et même physique, qui conduit à une sorte d’addiction.

        La plupart des personnes que j’ai connues et qui prenaient des anxiolytiques depuis quelques mois, éprouvaient une baisse d’efficacité de la mémoire à court terme et un ralentissement dans l'apprentissage des nouvelles informations.
        A long terme pour des personnes âgées, j’ai pu constater une aggravation de la maladie d’Alzeimer et du déclin cognitif; bien sûr on n’a pas de preuve de effet des benzodiazépines, mais je reste persuadé que leur prise aggravait le déclin de fonctionnement du cerveau.
         A court terme les principaux effets secondaires cités sont les suivants :
                   - Environ 23% des effets indésirables graves déclarés avec les benzodiazépines sont des affections du système nerveux (somnolence, comas, convulsions voire, plus rarement, amnésies).
                   - Les affections psychiatriques représentent 12% des effets indésirables graves des benzodiazépines anxiolytiques et 17% des hypnotiques avec majoritairement des états confusionnels.
                    - Des études internationales montrent une augmentation de  60 à 80% du risque d’accidents de la route, ce risque étant multiplié par 8 en cas de consommation concomitante avec de l’alcool.

        Par ailleurs certains chercheurs pensent que certains de ces psychotropes sont peu efficaces et donc leur efficacité est faible vis à vis du risque pris.
        Il faudrait que l’on éduque les médecins à moins prescrire, mais malheureusement les fabricants de médicaments ne l’entendent pas ainsi, et que l’on persuade les patients que leurs problèmes ne peuvent être résolus par une simple pilule. Elle peut les aider, comme un plâtre aide l’os à se reconstituer, mais la guérison dépend avant tout de leur volonté.

     

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  • Evidemment l'amour fait marcher le monde. Alors on trouve sur internet des histoires d'amoureux :

     

      J'ai envoyé un sms à une copine que j'aime bien :
            "Ça te dirait de prendre un café ?"
        Elle répond aussitôt :
            "Excellente idée, je vais m'en faire un."

        Je suis allé faire les magasins avec ma petite amie amie. Elle ressort de la cabine pour me montrer ce qu'elle vient d'essayer.
        Je lui réponds : "Ha non ! Le t-shirt, il est vraiment horrible !"
        Manque de bol, c'était le pantalon qu'elle essayait. Le t-shirt, c'était le sien

        J'ai secoué la cannette de soda de ma copine pour lui faire une blague. Je n'avais pas vu qu'elle était déjà ouverte.

        J'étais au restaurant avec mon petit copain. Je le regarde fixement dans les yeux et lui dis : "Dis moi la première chose à laquelle tu penses en me regardant."
        Lui : "Je peux finir ton steak ?"

        Mon copain m'a dit que je ne l'intéressais plus et que je pouvais oublier nos projets de vie commune pour l'an prochain.
        Au bout d'une heure de larmes, il a souri : "T'es parti sans me dire je t'aime sur MSN hier soir... Disons qu'on est quittes."
        Je sors avec un psychopathe.!

        Une personne de Greenpeace nous aborde dans la rue.
        Je lui réponds en anglais en prenant l'accent : "Sorry, we are not French."
        Au même moment, ma copine rajoute : "Désolé, on est pressés."

        Depuis 18 mois que je sors avec mon petit ami, j'ai enfin découvert qu'il était normal. Il arrive à dire "Je t'aime" à quelqu'un.            
        J'espère qu'après le chien, la suivante ce sera moi..

        J'ai reçu 2 SMS de ma copine. Le premier pour me dire que tout était fini entre nous, le second pour me rassurer car elle s'était trompée de destinataire.

        J'ai passé 10 bonnes minutes à renifler la rose que mon copain m'a offerte dans un élan de romantisme, avant de remarquer que c'était une fleur en tissu.

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