• Paresse ou recherche d’efficacité ?

                Il nous arrive tous d’avoir envie de ne rien faire, de choisir une façon moins fatigante de faire une tâche donnée, ou d’emprunter un escalator ou un ascenseur pour aller dans une salle où l’on va se dépenser à faire du sport. Cela paraît paradoxal et nous mettons en général ces attitudes sur le compte d’une paresse innée.
             Nous utilisons aussi quotidiennement des objets qui nous permettent de réduire nos efforts physiques, comme les portes de garage, volets ou vélos électriques, les nombreux appareils ménagers, ou notre auto, là où nous pourrions faire 2 ou 3 kilomètres à pied.

              Des études ont permis de constater que nous avions dans notre cerveau un régulateur d’énergie. L’utilisation de tapis roulants ou d’exo-squelettes montrent que nous adaptons instinctivement notre mode de marche ou de course pour dépenser un minimum d’énergie.(J’ai appris autrefois en terminale que la nature a aussi cette tendance, de converger vers une entropie minimale).

              Cette tendance à l’économie d’énergie pourrait expliquer l’écart paradoxal entre l’intention d’être actif et nos comportements réels d’activité physique, beaucoup moindres.
              D’autres études ont montré que des personnes, auxquelles on demandait d’éviter des images sur un ordinateur, étaient en général plus rapides à éviter les images de sédentarité que les images d’activité physique, et ceci d’autant plus qu’ils étaient actifs physiquement dans la vie. Ces résultats confirment que les participants avaient bien l’intention d’être actifs.
             Mais l’enregistrement des signaux électriques montrait que lorsqu’ils évitaient les images de sédentarité, une zone du cortex préfrontal qui gère les conflits s’activait, ainsi qu’une autre zone qui est chargée d’inhiber les comportements automatiques.
             On peut penser que le conflit oppose vraisemblablement, d’une part, la volonté de s’éloigner des images de sédentarité, et d’autre part, l’attraction automatique vers ces images associées а une faible dépense énergétique.
              Des études menées sur des vrais jumeaux (qui partagent le même patrimoine génétique) et des faux jumeaux (qui n’en partagent que la moitié), ont montré que le temps passé dans les activités sédentaires était beaucoup plus variable entre les faux jumeaux qu’entre les vrais jumeaux. Les chercheurs ont estimé qu’environ 30 % de notre tendance à la sédentarité serait expliquée par notre patrimoine génétique. Des études sur des souris ont abouti à la même conclusion.

              Cette tendance inconsciente à la minimisation des efforts pourrait être le fruit de l’évolution, car elle augmentait les chances de survie et de reproduction; le passage de la quadrupédie à la bipédie est associé à une diminution importante du coыt énergétique de la marche, ce qui procure un avantage évolutif en réduisant le coût des déplacements associés à la recherche de nourriture, d’abris, ou à la fuite.
             Mais à l’inverse, sans la capacité à se déplacer, il est impossible de rechercher de la nourriture ou un abri, de lutter contre des concurrents sexuels, ou encore d’échapper à des prédateurs. Il faut donc bouger et dépenser de l’énergie.
              Les êtres vivants qui ont survécu au processus de sélection naturelle, sont ceux qui étaient capables d’être actifs mais qui étaient aussi capables de minimiser leur dépense énergétique.

            Des études menées dans 21 pays européens ont montré que que les ressources cognitives des participants (comme le langage, la mémoire, le raisonnement, les fonctions sociales, ou le contrôle des pulsions.) expliquaient leur niveau d’activité physique.
              Notre réflexe naturel  nous pousse à l’économie et donc à l’inactivité et il faut faire un effort conscient, volontaire, et sensé pour être actif.

              Cela me rassure énormément, je ne suis pas paresseux mais je suis quelqu’un d’efficient ! C’est beaucoup plus flatteur pour mon égo.

     

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  • Les inter-neurones des caresses.

              On sait, on le ressent, que la caresse à un enfant, ou l’étreinte entre amis ou amants, procurent du plaisir et un apaisement. Le toucher est un sens qui favorise les liens sociaux et les états émotionnels.
              Les neurobiologistes savent que ces information tactiles remontent au cerveau et sont converties en sensations de plaisir par les centres de récompense et d’apprentissage. Mais le circuit neuronal correspondant était mal connu.
             Un chercheur américain, Benlong Lius et son équipe, ont identifié la voie neuronale qui assure la transmission du signal tactile agréable, de la peau а la moelle épinière.

              On savait déjà que des neurones connectés  au cerveau et à la molle épinière étaient spécialisées dans la dimension affective du toucher. Ces fibres qui innervent les zones pileuses de la peau, sont sensibles aux légères pressions exercées sur la peau, comme celles provoquées par une caresse, et décodent l’émotion correspondante, alors que d’autres se chargent de localiser le contact sur le corps. 
             Le contact tactile est d’abord capté par un neurone sensoriel de la peau, puis transmis а un neurone intermédiaire dans la moelle épinière, appel inter-neurone, lequel transmet à son tour l’information à un troisième neurone, qui la mène jusqu’au cerveau et ces inter-neurones utilisent un neurotransmetteur chimique particulier, un neuropeptide appelé PROKR2, que les synapses détectent grâce à un récepteur spécifique de ce neurotransmetteur.
            Les chercheurs ont fait des études sur les souris, en les isolant d’abord pour qu’elles ressentent une absence de rapport sociaux, puis les ont caressé artificiellement avec des brosses en soie. Les souris recherchaient préférentiellement ce plaisir et ils ont pu mettre en lumière les circuits neuronaux concernés
             Ils ont alors inhibé ces interneurones et les souris n’ont plus recherché les caresses mais étaient stressées.
              De très jeunes souris, privées d ces neurones dès l’enfance, ont montré une déficience sociale et émotionnelle, entrainant isolement social, anxiété et stress.

             Lorsque de tels troubles sont constatés sur de jeunes enfants, un examen du toucher et de ce circuit neuronal pourrait probablement permettre un diagnostic et une thérapie..
             

     

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  • Un cerveau qui vieillirait moins vite

     

               Malheureusement, en vieillissant, nos performances cérébrales diminuent, même si on n’est pas atteint de dégénérescence ou d’Alzheimer.
                La mémoire d’abord : la mémoire immédiate à court terme est moins performante sur des choses peu importantes : vous bricolez et vous ne savez plus où vous avez posé votre outil, que vous retrouvez 20 secondes plus tard, après avoir cherché tout autour de vous, et vous vous  rappelez alors que effectivement vous l’aviez posé là.
                Ma mémoire épisodique (le souvenirs de la vie de tous les jours) est encore très bonne, mais ma mémoire lexicale a des ratés : je rédige un article et tout à coup, je ne trouve pas un mot, je l’ai  « sur le bout de la langue » mais il me faut 20 secondes pour le retrouver : cela m’agace !
               Plus grave, si je lisais soigneusement un article technique, que je l’avais bien compris, en général l’essentiel restait en mémoire plusieurs mois, voire de façon presque définitive si c’était un sujet important pour moi. Aujourd’hui il faut que je le lise plusieurs fois pour le retenir, je retiens moins de détails et si je ne reviens pas sur ce sujet, au bout de quelques mois, j’ai oublié : mes capacités d’apprentissage ont nettement diminué.
               J’ai 91 ans et mon cerveau a perdu des neurones et la circulation de l’influx nerveux est moins rapide; et il ne faut pas que je me plaigne, cela pourrait aller plus mal.
               Trouvera t’on un jour un médicament qui permettra au cerveau de vieillir moins vite ?

               Une communication dans la revue américaine « Nature » de juin 2020, de Sarah Moyon, du Neuroscience Initiative Advanced Science Research Center, à New York, laissait espérer qu’il y a des pistes à long terme.
               Dans le cerveau, les dendrites et les axones, surtout quand ils sont longs, sont entourés de myéline, une gaine de graisse qui isole ces éléments conducteurs de l’influx nerveux, et qui augmente considérablement la vitesse de transmission de cet influx entre des neurones éloignés.  
             Cette enveloppe des prolongements des neurones est produite par un type particulier de cellules gliales : les oligodendrocytes. Ces cellules sont encore capables de se multiplier à partir de cellules souches qui se différencient en cellules gliales, en fonction de facteurs environnementaux, comme l’activité physique ou intellectuelle. Mais cette gaine s’altère et se régénère moins bien avec l’âge, le renouvellement des oligodendrocytes diminuant et ne permettant plus de réparer suffisamment une myéline abimée et provoquant ainsi une diminution des facultés cognitives et motrices.

               L’équipe de Sarah Moyon a analysé les oligodendrocytes de souris plus ou moins âgées, pour identifier ce qui les rendait moins efficaces.
              J’ai déjà parlé dans ce blog de l’ADN et de la présence de groupes méthyl -CH3, qui stabilisent l’ADN et qui agissent comme un modèle qui conditionne l'expression des gènes dans chaque cellule : lorsque la séquence promotrice d’un gène est méthylée, le gène en aval est en général réprimé et n'est donc plus transcrit en ARNm, qui permet ensuite la production des acides aminés et des protéines.
               Ces groupes méthyl peuvent être détruits par hydroxyméthylation, provoquée par des enzymes de la famille des TET (Ten-Eleven-Translocation).
               Les chercheurs ont mis en évidence une diminution de la présence d’une seule de ces enzymes dans le cerveau des souris âgées, la TET1, qui concerne les gènes qui interviennent dans la production de myéline.
               L’équipe étudie comment cette TET1 pourrait être augmentée chez les souris âgées et quelles en seraient les conséquences. Je n’ai pas trouvé de communication sur ce prolongement de leurs recherches. De toutes façon avant une extension d’un traitement à l’homme, il faudrait plusieurs années d’études.

               La jeunesse du cerveau à 90 ans n’est pas pour demain !

     

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  • On n'est pas "cerveau droit" ou " cerveau gauche"

     

              J’avais fait un article succinct le 5 août 2021, sur la différence entre cerveau gauche et cerveau droit. Je vais essayer de le compléter aujourd’hui.

               Au premier abord, les deux hémisphères de notre cerveau semblent parfaitement identiques. Ils sont reliйs entre eux par le corps calleux, épais faisceau d’environ 250 millions de fibres nerveuses qui permet d’йchanger et de coordonner sans cesse des informations entre les deux côtés de notre cerveau. Presque toutes les structures du cerveau humain se trouvent aussi bien dans l’hémisphère droit que dans l’hémisphère gauche. Mais elles ne sont pas identiques à 100 % et elles peuvent différer par leur taille ou le nombre de connexions avec d’autres régions du cerveau, ou par leur fonction.

              Il est connu que 95% des droitiers et 75 % des gaucher traitent le langage dans l’hémisphère gauche (voir mon article du 01/11/2021, sur les centres de Broca, de Wernicke et de Geschwind). La partie temporale du cerveau est beaucoup plus importante à gauche qu’à droite.
             Les processus sociaux et l’attention visuo-spatiale sont traités chez la majorité des personnes par l’hémisphère droit.
             L’hippocampe , l’aiguilleur de la mйmoire, est aussi asymétrique : le langage à gauche, lrd images et les représentation spatiales à droite.
             Les centres amygdalites sont également dissymétriques : l'amygdale droite réagit aux émotions négatives, mais est liées aux prise d’action qu’elles entraînent.  L'amygdale gauche permet le souvenir de détails, mais induit également des réponses aux stimuli émotionnellement stressants, mais plus en pensées qu'en actions.
             Ces asymétries ne se limitent pas а l’homme, on les retrouve dans tout le règne animal

              On raconte n’importe quoi sur le rôle des cerveau droit et gauche.  C’est un mélange de quelques faits réels et de beaucoup d’autres entièrement faux.
              Une croyance populaire : Vous êtes créatif, avez beaucoup d’intuition, vous êtes émotif ? Vous êtes « cerveau droit » ! Rationnel et méthodique ? Vous êtes « cerveau gauche. L’hémisphère droit est artiste et doué pour le dessin et le gauche pour l’expression orale et écrite (les écrivains).
              Quand vous dessinez, vous utilisez vos deux hémisphères. La vision de votre dessin se construit dans l’hémisphère droit. Mais, si vous êtes droitier, vous utilisez votre hémisphère gauche, car c’est lui qui commande la main droite. Donc, dire que c’est l’hémisphère droit qui dessine, c’est ignorer qu’en réalité les deux moitiés de votre cerveau communiquent en permanence, grâce au corps calleux, pour réaliser votre dessin.
             L’IRM montre que l’imagination est surtout contrôlée par le cortex préfrontal de l’hémisphère gauche.
             L’hémisphère droit guide notre attention dans les représentations visuo-spatiales,
             Mais pour être un artiste, il faut du repérage spatial, de l’imagination, de l’intuition et là encore les deux hémisphères sont importants

              On dit aussi que si l’hémisphère gauche gère le langage, le droit prendrait en charge les émotions et comprendrait ou provoquerait les nuances émotionelles des intonations. Cela est vrai.         C’est toutefois souvent plus complexe.
             Reconnaître une mélodie et de l’apprécier, c’est lé rôle d’un circuit, localisé dans l’hémisphère droit, symétrique du circuit du langage, qui est situé dans la moitié gauche du cerveau. Mais dans le même temps, les véritables aires du langage, s’activent également lorsque nous écoutons de la musique, tout particulièrement chez les musiciens professionnels, comme si, à mesure que l’on progresse dans l’expertise musicale, elle s’apparentait de plus en plus à un véritable langage, mais un langage qui mobiliserait les deux côtés du cerveau.

              Pourquoi le fait d’être droitier ou gaucher influe-t-il sur la localisation des aires du langage ? On n’en. sait rien. L’hypothèse la plus admise est que le langage aurait été d’abord gestuel, il y a des millions d’années. Donc un droitier utilisant sa main droite, commandée par l’hémisphère gauche, les centres du langage se seraient créés dans cet hémisphère.

             Pourquoi la main droite est elle prédominante ? : on n’en sait rien non plus, mais cette latéralisation est très répandue chez les animaux.
             Mais c’est un avantage. Si pour fuir un danger, il fallait que les deux hémisphères communiquent, le temps de réaction serait plus long et les chances de survie moindres.          
             L’hémisphère droit identifie les visages et donne l’alerte devant le danger et notamment les centres amygdaliens droits; l’hémisphère gauche semble avoir pris en charge des tâches de construction d’actions positives pour l’avenir, ce qui est un processus plus lent.

              Le cerveau peut faire plus de choses en distribuant les tâchesà droite et à gauche.mais il ne peut le faire que parce que les deux hémisphères communiquent en permanence. C’est en ce sens que personne n’est « cerveau gauche » ou « cerveau droit ».

             

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  • Bien alimenter son cerveau

     

            J’ai cité, dans un article du premier juin 2023, 10 façons d’améliorer le fonctionnement de son cerveau, qui étaient exposées dans le numéro de mars de la revue « Cerveau et Psycho » et j’avais dit que j’examinerai l’une après l’autre ces recommandations,
          Aujourd’hui je traiterai de la neuvième action :.
                             - Bien alimenter son cerveau
         
    C’est un résumé de l’article correspondant de la revue.

           Il faut nourrir son cerveau sur le plan psychique, mais aussi au plan matériel et son alimentation est importante pour conserver son équilibre mental.
          Comment bien manger pour renforcer et conserver son cerveau. ?

          Comme pour d'autres organes humains il faut éviter les graisses non saturées et en sucres rapides :  notamment l'alimentation ultratransformée: la viande rouge doit être limitée.
         Les graisses non satures risquent d'entraîner une obstruction des capillaires sanguins, et outre les AVC, provoquer des inflammations, et engendrer des troubles de mémoire ou des dépressions.
        Le fer est indispensable pour l'oxygénation des cellules et donc des neurones (via l'hémoglobine du sang); mais son excès peut aussi provoquer des oxydation qui peuvent favoriser les maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer. C'est une raison supplémentaire de limiter la viande rouge, qui comporte beaucoup de fer. L'excès de viande rouge peut en outre perturber le microbiote intestinal dont le bon état est indispensable au cerveau.
          Un régime favorable au cerveau est l'alimentation dite "méditerranéenne", utilisant des huiles riches en oméga 3, et des fruits divers, de légumes et de légumineuses. Les surgelés peuvent être une option commode car ils conservent en grande partie les qualités des nutriments. La consommation de légumes réduit de risque de dépression de 9% et celle de fruit de15%.
      Les poissons sont riches en oméga3.

          Les légumineuses associées à des céréales, renferment de nombreux acides aminés utiles au cerveau.
         Le triptophane est un. précurseur de la sérotonine qui régit en partie nos humeurs et le sommeil.
    La phénylamine est un précurseur de la dopamine qui agit sur notre système de récompense et la motivation.
    la thréonine favorise la réparation des neurones la production d'acétylcholine, qui favorise la mémoire, l'apprentissage et surtout le bon fonctionnement de muscles.
           Certaines légumineuses sont riche en magnésium qui réduit l'anxiété et améliore le sommeil.

          Toutefois les aliments continent aujourd'hui moins de vitamines et de minéraux en raison de la culture intensive et de l'épuisement des sols.
         Ce fait ainsi qu'une exposition au soleil (il ne s'agit pas de bronzage),entraînent une carence en vitamine D, indispensable au bon fonctionnement du revenu et à sa conservation, ainsi qu'à un bon système immunitaire.

        Bref nous avons intérêt à limiter les acides gras non saturés et la viande rouge, manger légumes, fruits, légumineuses et céréales ainsi ue du poisson.


          Comme ce n'est pas long, je voudrais aussi résumer le dixième article de la revue : 
                                    
    - Combattre le déclin cognitif.
         C'est un plaidoyer de la pratique du sport.

        Avec l'âge nous perdons peu à peu une partie de nos capacités cérébrales : mémorisation, attention, concentration, planification de tâches et d'actions, flexibilité mentale, capacité d'apprentissage et fonctions exécutives.
       Comment freiner ce déclin ?

         Des études semblent montrer que le développement de la capacité cardiorespiratoire diminuait ce déclin. Une meilleure oxygénation des neurones est en effet bénéfique.
          L'article vante donc l'utilisation d'activités aérobiques.
          Par ailleurs la pratique du sport diminue le stress et l'isolement et il favorise également l'oxygénation et la nutrition des neurones il améliore les taux de dopamine et d'adrénaline.
         Une pratique raisonnable du sport est d'ailleurs bénéfique à l'ensemble du corps et cela est bien connu.

         J'ai été déçu par cet article qui enfonce des portes ouvertes !
          J'aurais aimé des informations sur des études sur les exercices et les activités cérébrales qui peuvent aider à freiner le déclin de chacune des fonctions.
         Certaines études semblent par exemple montrer que la diminution des connexions du cerveau est freinée par les relations sociales.
          Continuer à apprendre, se passionner pour des choses nouvelles force le divers centres à une activité qui exige d'eux une certaine plasticité.
           Les activités ludiques exigeant réflexion semblent aussi bénéfiques.

          
          

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