• Coronamuguet.

    Coronamuguet.

               

     

     

     

     

     

     

                       Le muguet aussi appelé lys des vallées, une plante originaire du Japon, est présente en Europe depuis le Moyen-Age.

                     C'est une petite fleur blanche de printemps. Selon la tradition, le 1er mai, on offre un brin de muguet aux gens que l’on aime. Le muguet est une fleur "porte-bonheur" et l'on dit qu’elle apporte bonheur et santé jusqu’à l’année d’après. Au printemps, les clochettes du muguet sont blanches, alors que l’été elles sont rouges.

                   Pour cueillir un brin de muguet il est préférable d'utiliser des ciseaux car il faut faire attention de ne pas arracher sa tige souterraine. Dans certaines régions cette fleur est protégée. Si on arrache ses "racines" ou plus exactement ses rhizomes qui portent les racines, le muguet ne pourra plus refleurir au prochain mois de mai.

                   Offrir du muguet le premier mai est une tradition très ancienne qui remonte à l’antiquité, car c’était à cette date que les marins reprenaient la mer..

                   En France, à la Renaissance, on prêtait déjà au muguet une réputation de porte-bonheur et on dit que la tradition d’en offrir remonte à Charles IX, qui en avait reçu avec plaisir quelques brins et qui en aurait distribué aux dames de la cour et aux courtisanes en gage de porte-bonheur et pour célébrer l'arrivée du printemps..

                   Rien à voir donc avec la Fête du Travail mais depuis, le muguet antique du premier mai est devenue le symbole de cette fête, vers 1907.

                   L'origine en France de la fête du travail remonte à la révolution : en 1793 une fête du Travail est fixée le 1er pluviôse (en janvier), par Fabre d’Églantine.
               C’est en juillet 1889 que la IIe Internationale socialiste  décide le 20 juillet 1889 de faire de chaque 1er mai une journée de manifestation avec pour objectif la réduction de la journée de travail à huit heures, soit 48 heures hebdomadaires, le dimanche seul étant chômé à l’époque.

                   La première célébration a lieu le 1er mai 1890 et les manifestants arborent un triangle rouge, pour signifier que la journée devait être découpée en trois parties égales : une pour le travail, une pour le repos et une pour les loisirs. Ce symbole fut ensuite remplacé par une fleur d’églantine, symbole de la foi en la Révolution et fleur traditionnelle du nord de la France, puis par le muguet.

                   Mais le premier mai est aussi une fête internationale annuelle célébrant les travailleurs.
                   A l'origine c’était une journée annuelle de grève pour la réduction du temps de travail, et elle est encore l’occasion d’importantes manifestations

                  Elle est célébrée dans de nombreux pays du monde, le 1er mai, en Amérique du Nord,  le premier lundi de septembre et au Royaume-Uni et en Irlande, le premier lundi de mai.
                 Bien qu’ils la fêtent maintenant un autre jour, ce sont les Américains qui ont initié en 1884 la Fête du Travail le 1er mai. La Fédération américaine du travail promit aux ouvriers, qui travaillaient alors 12 heures par jour si ce n’est plus, que, deux ans plus tard, la durée de la journée de travail serait fixée à 8 h. Mais le 1er mai 1886 seulement 200 000 ouvriers bénéficièrent de cette avancée sociale.
                 Et pourtant entre temps le Central Labor Union avait institué le "Labor Day", le premier lundi de septembre, mais le Congrès américain ne légalisera cette décision qu’en 1894, après des émeutes pendant lesquelles la troupe tua deux ouvriers à Chicago..

                C’est Lénine en Russie, qui le premier fit du premier mai un jour chômé

                En France le premier mai n’est un jour férié que depuis 1941, mais c'est en avril 1947 que le gouvernement, issu de la libération, en fit officiellement un jour férié payé.

    Coronamuguet.

     Coronamuguet.

                 

     

     

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  • La violence des jeunes.

                 J'avoue être à la fois surpris, inquiet voire horrifié et je me pose beaucoup de questions.
                Depuis la rentrée la télévision annonce tous les jours qu'un(e) jeune élève s'est fait blesser grièvement, voire tuer, par l'un de ses camarades. Il y a aussi toutes les agressions sexuelles et celles aussi dont on ne parle pas.
                Comment les jeunes peuvent ils être devenus ainsi, aussi violents et inconscients.?            
                Car certes il faut plaindre avant tout la victime et sa famille, mais le meurtrier gâche également sa vie à jamais, ne serait ce que parce qu'il va faire des années de prison.           
                Comment être assez inconscient et fou pour en arriver là.?
                De plus les motifs invoqués pour des actes aussi graves sont parfois futiles, (comme un "mauvais regard", des critiques ou de insultes sur internet). Là on ne comprend plus !            
                C'est vrai que pour quelqu'un de vieux comme moi, c'est incompréhensible. J'ai pourtant connu la guerre où la violence et la mort étaient le lot quotidien, mais entre adultes et pour des raisons politiques. Ce n'était pas mieux, mais justement peut être en avons nous compris quel était le prix de la vie et aussi celui de la souffrance.
                Pour moi agresser volontairement et dangereusement quelqu'un, est non seulement un délit, mais c'est une atteinte à une autre personne, qui est la même chose que moi. Bien sûr si on m'attaquait, si on violentait ma famille, je me défendrais et peut être blesserais-je l'agresseur, sous le coup de l'émotion et de l'action. Mais je ne me vois en aucun cas agresser quelqu'un par une vague idée de vengeance ou de vexation, ou de présumée insulte ou parce que mon amie m'a plaqué.
                Rien que le fait de la réciprocité, de ce que je n'aimerais pas qu'il m'arrive dans le cas inverse, me retiendrait de faire ces âneries.
                Je sais que le cerveau préfrontal des jeunes n'est pas mature, et que donc ils ont du mal à imaginer les conséquences de leurs actes. Je comprends donc que, dans le feu d'une dispute, un coup de poing au mauvais endroit, une chute malencontreuse, puisse entraîner des blessures graves, sans que l'auteur ait pensé à cette conséquence. Mais emmener un couteau ou une arme à feu, pour agresser quelqu'un, c'est de l'assassinat avec prémédi-tation à la clé ! La dimension de l'acte est tout autre.
                 Mais il faut l'admettre, la violence des jeunes est l’une des formes de violence les plus visibles. Les agressions, mortelles ou non, perpétrées par les jeunes contribuent fortement dans le monde entier au nombre total de décès prématurés, de traumatismes et d’incapacités. Cette violence entraîne des préjudices graves non seulement pour les victimes, mais aussi pour les familles, les amis et les communautés.
                Il y a des liens étroits entre la violence des jeunes et d’autres formes de violence. Les jeunes violents commettent fréquemment toute une série de délits et manifestent d’autres problèmes sociaux et psychologiques.
                Les combats physiques et les brimades ou harcèlement sont aussi plus fréquents chez les jeunes. Une étude, portant sur les enfants en âge scolaire dans 27 pays, a établi que la majorité des jeunes de 13 ans, dans la plupart des pays de l’étude, avaient exercé des brimadesou harcelé autrui au moins de temps en temps

    .             Des études ont été faites sur les facteurs de risque de telles violences et les facteurs que je vais citer sont extrait d'une étude de l'organisation mondiale de la santé.:                                    

                • Il y a forcément d'abord des facteurs individuels :
                               -  l’hyperactivité- l’impulsivité
                            - une maîtrise insuffisante de soi- des problèmes d’attention

                            - des antécédents de comportement agressif
                            - un faible niveau d’éducation. Il ne faut pas oublier que l'enfant naît avec un cerveau presque vierge et que c'est l'éducation et l'instruction qui développent l'intelligence, la logique et le bon sens.
                            - une absence de règles et là encore l'éducation est en cause.

              •  Il y a ensuite des facteurs familiaux :
                           
    - un encadrement insuffisant des enfants par les parents, des châtiments corporels durs pour discipliner les enfants;- des conflits entre les parents pendant la petite enfance;
                            - un attachement insuffisant entre les parents et les enfants;- une mère ayant eu son premier enfant trop jeune et qui ne peut le contrôler.
                            - la séparation ou le divorce des parents à un jeune âge;
                            - une faible cohésion de la famille;- un niveau socio-économique faible;- la fréquentation de camarades délinquants.             

                Mais il y a aussi des facteurs sociaux culturels, voire politiques :
                           
    - les bandes et un approvisionnement local en armes ou en drogues;
                            - la faiblesse des liens sociaux dans la communauté;
                            - l’administration du pays, sa législation et les moyens mis en oeuvre pour l’appliquer, ainsi que sa politique sociale;
                            - l’inégalité des revenus, l’évolution rapide de la démographie, et l'urbanisation conduisant parfois à des ghettos;
                            - les sociétés qui ne proposent pas de solutions non violentes pour résoudre les conflits semblent connaître une fréquence plus élevée de la violence chez les jeunes.

                Il est certain que les méthodes que l'on propose reposent en général sur l'éducation, mais que certains parents son défaillants, et que justement les violences de jeunes ont souvent lieu à l'école, lieu d'instruction.
                 L'un des problèmes est évidemment de prévenir ces violences par action sur tous, mais peut être aussi sur ceux dont les professeurs ou les parents pourraient détecter à temps la tendance à la violence.    

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  • J'ai enfin reçu ma première dose de vaccin contre le covid19

    J'ai enfin reçu ma première dose de vaccin contre le covid19   
           

     

     

     

     

                Le centre de Chatenay-Malabry, où j’étais inscrit depuis mi-janvier, qui gère les vaccins des 5 communes environnantes a reçu depuis le 15 mars davantage de doses de vaccin Pfizer contre le covid19, et d’autre part les maires des communes environnantes se sont mis d’accord pour réserver cet unique centre, aux habitants de ces 5 communes. Je me suis donc vu proposer un rendez vous et, ma femme et moi, avons reçu la première dose. Nous aurons la deuxième injection à la fin avril.

                Très bonne organisation, une heure précise, on n’attend pas; un première personne qui vérifie votre identité, puis un médecin qui vérifie que vous n’avez pas d’allergie connue et vous demande quels médicaments vous prenez. Enfin des petites tentes dans le fond du gymnase où deux infirmières se relaient pour préparer les doses et faire les piqûres. Très entrainées, on ne sent rien ! Puis on vous garde ¼ d’heure sur une chaise au cas où vous auriez une réaction anaphylac-tique. Ensuite retour à la maison.
                Aucune réaction ensuite (comme d’ailleurs le vaccin contre la grippe que je fais tous les ans depuis 30 ans. 

                 J’espère que l’on pourra d’ici la fin de l’année vacciner ainsi tous les adultes et les jeunes pour lesquels les essais cliniques des vaccins auront été faits, et que la vie pourra, peu à peu, redevenir normale, sans des centaines de morts et des milliers de malades tous les jours.

                J’ai été amené à discuter avec des personnes des immeubles où j’habite, de l’utilité des vaccins, et notamment avec ceux qui y sont opposés.

                Il y a ceux pour lesquels il y a une conviction religieuse, mais c’est rare. Bien sûr on peut toujours trouver, dans un livre sacré, un passage qui vous permet de dire que vous ne devez pas vous faire vacciner; d’ailleurs on pourrait toujours trouver un verset qui vous serve d’excuse pour n’importe quoi : c’est une question d’interprétation.
                Certes, on peut s’en remettre à Dieu pour vous protéger des maladies, mais cela n’a jamais empêché quelqu’un de mourir.
               Il y a aussi les gourous des sectes qui vous empêchent de vous faire soigner pour avoir davantage prise sur vous. Là encore c’est peu courant.
                Il y avait autrefois des réticences à cause du coût, mais avec le système français de sécurité sociale, cela a disparu.

                 Finalement la plupart des gens qui sont réticents aux vaccins, le sont par peur, peur des réactions secondaires, peur d’attraper la maladie (ce qui est absurde), et plus généralement parce qu’ils croient de nombreuses fausses nouvelles qui circulent, plus que jamais, sur les réseaux sociaux. Notamment on monte en épingle tout incident qui se produit après qu’une personne ait été vaccinée, même si cet incident ou accident n’a aucun rapport avec la vaccination.
              Bien sûr il peut y avoir de petites réactions secondaires, mais elles sont rares et en général bien minimes par rapport au risque d’attraper la maladie contre laquelle le vaccin va vous protéger, et parfois de la mort qui en résulte.

                 Beaucoup de gens opposés croient aussi avoir une système immunitaire exceptionnel car ils sont rarement malades, et ils jugent donc les vaccins inutiles.
                Dans ce domaine j’ai lu, sur internet, un témoignage de quelqu’un qui avait été éduqué avec une méfiance contre les médicaments et les vaccins, qui n’était pas vacciné contre quoique ce soit (illégalement), et qui n’étant jamais malade se croyait invincible et inoxydable.
                 A la suite de discussion dans sa famille et avec un médecin qui lui expliquait le rôle des anticorps, il a voulu avoir raison et montrer qu’il avait produit naturellement, sans le secours des vaccins de très nombreux anti-corps. Il s’est donc fait tester et, surprise, il n’avait pratiquement aucun anticorps dans son sang. Il n’était pas invulnérable, simplement son hygiène de vie était telle, et les personnes autour de lui étaient vaccinées, de telle sorte qu’il n’avait jamais été en contact avec les bactéries et virus.
                Mais il était à la merci d’une rencontre avec un méchant petit microbe, dans n’importe quel lieu public, pour qu’il ait immédiatement la maladie. Il a eu tellement peur qu’il est maintenant à jour de tous ses vaccins.

                 Je pense que ceux qui pensent qu’ils n’attraperont jamais le covid19, ou qu’il n’auront qu’une maladie bénigne, risquent gros avec leur vie, notamment s’ils sont âgés, mais même s’ils sont jeune. Je connais un homme de 23 ans, bon sportif et en bonne santé, qui vient de mourir du variant anglais du covid19.

                 Se faire vacciner, c’est échapper à la maladie, voire à la mort, et c’est aussi protéger les autres, car on a beaucoup moins de risque de devenir contagieux et de propager la maladie.
               Quant aux gens qui vont à des fêtes et manifestations agglutinés les uns contre les autres, et sans masques, je pense que malheureusement ils ont oublié, ou ils n’ont pas pu, développer leur intelligence, car, s’ils étaient tant soit peu capables de réfléchir, ils ne prendraient pas ce risque. On ne plaisant pas avec le covid19, c’est lui qui nous impose sa loi et sa contagion, parfois mortelle..

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  • Encore confinés !


               Nous voilà à nouveau confinés en région parisienne !

               Mais c'est un néo-confinement, fait pour ne pas perdre de voix des électeurs. On donne un peu de satisfaction aux soignants qui sont de nouveau en enfer, et on ménage la population, qui semblait récalcitrante.
                Est ce que cela sera efficace, seul l'avenir nous le dira.

               Certains disent qu'il aurait mieux valu le faire il y a un mois. C'est peut être vrai, mais c'est facile de critiquer après coup. Et l'Allemagne est en confinement depuis plusieurs semaines et, à cause du variant anglais, l'épidémie ne s'est pas arrêtée et ils ont prolongé le confinement.
               C'est le virus qui décide, pas nous !

               Ce confinement est une nouvelle mouture, avec plus de liberté. On peut sortir dehors sans contraintes, pendant la journée, dans un rayon de 10 km, à condition d'avoir une carte d'identité à jour sur soi. C'est appréciable, avec l'arrivée du printemps !
               Et pas d'attestation à remplir pour cela. C'était vraiment casse-pied.
    Je me demande si le fonctionnaire du ministère de l'Intérieur qui avait pondu le modèle d'attestation absurde manquait complètement de bon-sens ou l'a fait exprès pour faire capoter le document, ultra-touffu et sur 2 pages. Grâce à lui, nous en sommes débarrassés.
               Par contre ce que je ne comprends toujours pas, c'est la fermeture des petits commerces. Dans la plupart d'entre eux, on ne peut être que très peu nombreux dans la boutique et tous avec un masque; alors le danger est très faible et pas plus important que dans le supermarché où je vais toutes les semaines, où certes tous portent aussi un masque, mais où il y a beaucoup plus de monde.
              Cela risque de ruiner certains petits commerce qui feront faillite, ce qui est désastreux pour les propriétaires et employés, et cela coûte cher à l'Etat en subventions.

              C'est d'autant plus bizarre que l'étude toute récente de l'Institut Pasteur sur les circonstances des contaminations, ne considère pas les petits commerces comme dangereux.

               Cette étude indique que l'on a pu remonter à la cause des contaminations dans environ 65% des cas, 35% restant inconnues.
               Dans les cas connus, 35% d'entre eux se font au sein des foyers, car les personnes se côtoient sans masque. Pour les adultes, dans 64% des cas, ils sont contaminés par le conjoint. Dans les autres cas, la contamination par les enfants est probable, mais le fait que les enfants soient a- ou peu symptomatiques quand ils sont infectés, peut expliquer qu’ils ne soient pas souvent identifiés comme personne source de l’infection. Le nombre élevé de personnes au foyer augment le risque de contamination, ce qui est logique. Les enfants semblent peu contaminants jusqu'à 9 ou 10 ans, mais au delà, il est probable qu'ils sont beaucoup contagieux qu'on ne pense.

               Mais 65% des contaminations se font hors foyer, mais sur l'ensemble de ces contaminations, 33% sont encore d'origine "cercle familial". 29% se font ensuite dans le domaine professionnel et 21% entre amis.

               Dans les contaminations des milieux familial et amis, les contaminations se font le plus souvent au cours de repas (on ne peut porter le masque), ou de conversations sans masque.
    En entreprise, les bureaux partagés et les cantines sont la source des contaminations, ainsi que les réunions en présentiel. D'où l'intérêt du travail à distance.
                Les déplacements, notamment à l'étranger, augmentent aussi le risque de contamination.
               Par contre, les transports ne semblent pas être un lieu important de contamination (on porte le masque).

               Il y a peu de risques de contaminations en plein air, pratiquement nuls si l'on porte un masque. Le vent dilue les aérosols viraux. Les contaminations en plein air ont lieu dans des endroits peu ventilés et dans des conversations de durée importante (supérieure à 10 mn), sans masque.

               Il est difficile d'évaluer les contaminations par contact. Il semble que le lavage des mains ou la décontamination avec une solution alcoolique semble passés dans les moeurs. Ces contaminations seraient de l'ordre de 10%. Il faut faire attention d'éviter de toucher n'importe quoi, si cela a pu être touché par d'autres personnes, notamment de bien se laver les mains quand on a pris des fruits et des légumes dans un magasin.

               Je n'ai pas cité les bars, restaurants et boîtes de nuit, car ils sont fermés. Le risque serait grand car on est dans une salle fermée, sans masque pour manger ou boire, et que l'on parle, donc on émet des aérosols.

                Je crains que ce confinement n'empêche pas une troisième vague qui risque de submerger en partie les hôpitaux. Plus que jamais la vaccination est le seul remède sur lequel on puisse compter pour enrayer peu à peu l'épidémie. J'espère qu'elle va s'accélérer.

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  • http://lancien.cowblog.fr/images/Caricatures3/images-copie-22.jpghttp://lancien.cowblog.fr/images/Caricatures3/Unknown1-copie-2.jpg

       Ces jours-ci, j'ai entendu plusieurs ministres critiquer ce qu'avait fait leur prédécesseur, et d'autres politiques critiquer tout ce que faisaient ces ministres. C'est une manie très française.

        J’ai souvent vu des personnes qui dirigeaient une équipe, changer de poste. Cela m’est arrivé aussi.
        On voit certains s’empresser de critiquer ce qu’a fait son prédécesseur, changer des tas de choses et vouloir montrer à son entourage qu’il est «un homme fort».
        Il n’est pas rare que cela retombe du le nez de ce prétentieux au bout de quelques mois.

        Quand on arrive dans un nouveau poste, où on encadre une équipe, il faut se garder de ces réactions. Il faut écouter les autres, observer les habitudes, partir du principe que la plupart des choses ont été bien faites par le passé, s’intégrer à l’équipe (eh oui, le patron doit à son arrivée, s’intégrer à l’équipe, exactement comme un collaborateur).
        Ce n’est qu’ensuite qu’on peut essayer de modifier quelque chose et essentiellement ce qui ne fonctionne pas bien, aux dires de tous.

        Voilà une mésaventure arrivée à un directeur d'une grande entreprise :

        Un nouveau directeur arrive et il fait aussitôt le tour des bureaux avec certains de ses collaborateurs et son assistante, auxquels il veut montrer que, maintenant, c’est lui le patron.
        Il avise un jeune homme qui ne fait rien, adossé à un mur, fumant une cigarette.
        Il l’aborde et lui demande ce qu’il fait.
            - « Une petite pause entre deux travaux ».
        Le patron veut montrer son autorité :
            - « Combien gagnez vous pour votre travail ?»
            - « Pas beaucoup; 1000 € par mois. »
        Alors le patron sort son portefeuille, et fait un chèque de mille euros qu’il donne au jeune homme :
            - « Vous dégagez immédiatement; à la porte : je ne veux plus vous voir traîner dans mon entreprise »
        Et il repart, heureux de la bonne impression qu’il a dû donner à ses collaborateurs.

        Arrivant dans son bureau, il demande à son assistante :
            « Mais qui était ce jeune homme ? »
            « Un livreur de pizzas qui approvisionnait la cantine !», lui répond elle.

        On a toujours intérêt à se renseigner et à réfléchir avant d’agir !!


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